Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses 
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?




Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

• Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle. 
  

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

• Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.
  

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

• Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.
  

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle 
[suite du message]

• Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.
  

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles. 

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.


Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :







Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Mazar, cour de la Citadelle, milieu d'après midi


Mazar quittait les dortoirs après avoir laissé Phèbe pour qu'elle se repose. Il s'inquiétait de son état mais elle semblait sereine alors il ne tarda pas à l'écouter et à la laisser dormir.
il s'apprêta alors à faire la chose à laquelle il était le plus doué, la Forge. Il se rendit donc à l'atelier. En arrivant, il tomba sur Silgrid en train d'y travailler.


- Bonjour, Sii.. Silgrid ? C'est bien ça ? Vous vous faites discrètes depuis votre arrivée ! Comment allez vous ?

Il s'installe près du four et contrôle le niveau de charbon.

Silgrid, dans la forge dans l'après-midi. 


Elle s'attèlait au meulage de la soie d'une lame particulièrement récalcitrante en surveillant du coin de l'oeil son feu. Soudain un officier s'approche ! Incertaine de la démarche à suivre, elle tente d'abord un salut mais dans sa main elle a ses outils. Alors elle envisage de les poser, mais remarque qu'il s'approche pour regarder son travail et finalement ils lui échappent des doigts. Tombant lourdement sur ses pieds. Elle ne clignant même pas des paupières quand le choc de la douleur frappa son système nerveux.

"Ch-chavalier Mazar!"

Elle le reconnaissait, il passait du temps ici lorsqu'il etait préoccupé. Elle avait pris l'habitude de mettre de côté des petites tâches qu'il accomplissait sans réfléchir. 

"Je suis les petites mains dans cette forteresse. C'est normal de se faire discrète. "

Zahïrk, tour d'entraînement, même moment


L'argonien était bien décidé, il devrait trouver les mots justes, surtout face à l'Archonte. Il réfléchissait à comment formuler sa demande. Après quelques instants de réflexion il se décida finalement à dire :


- Excusez moi, Beek-Ojel - il la salue d'une révérence - J''aurai une demande particulière à vous faire. J'aimerai faire un voyage, partir quelques temps, seul. Vu la réussite de la dernière mission et mon implication toute particulière dans celle ci, je me disais que peut être aurais-je mérité un petit temps de repos ?

Il regardait fixement Elia dans les yeux et cherchait à déterminer son ressenti sur sa question, dans le doute il ajouta :

- Oh bien sûr, ne vous inquiétez pas ! Ce ne sera pas long ! Je ne serai absent très longtemps. Juste le temps de lui faire plaisir !

Ses crêtes et ses écailles se redressent et frétillent frénétiquement lorsqu'il dit cette dernière phrase.


- Je montre mes crocs, Beeko, je vous sourie ! J'espère que vous m'accorderez cette permission.

Ivy a écrit:Kiara avec Hamir, salle de repos au même moment 

Elle était jeune à l'époque elle avait des brides de souvenirs de sa rencontre avec Hamir, des moments qu'ils avaient passés ensemble. 

- Je vous en pris, par de majesté même entre nous, à moin que vous appréciez les coups ? -elle sourie- Je vous connaissez Hamir, nous avons bien changer vois et moi, nous ne sommes plus des enfants. 

Elle regarda tous les manuels et en ouvrit un, 

-  Cependant si il y a bien quelqu'un qui puissent m'aider c'est vous, vous avez côtoyer ma famille pendant assez longtemps... 

Kiara expliqua à Hamir ce qui lui était arrivé, le mariage forcé, avec le fils du clan des couronnes, sa séquestration, son plan pour fuir, et comment elle c'est retrouvé inanimé dans le désert sauver par Ko’jahaani, ainsi que l'aide d'Ivy et Kar-jeenar pour fuir Alik’r.

- voyez-vous maintenant si je veux rester ici, je dois trouver un moyen de faire oublier cette histoire et apaiser les tensions de mon départ à Sentinelle - elle posa son coude sur la table la mains sur sa tête - Au début je pensais trouver une autre filles de bonne famille assez noble pour accepter d'épouser cet imbécile de Medhir mais je ne souhaiterais cela même à mon pire ennemi, enfin c'est Tourbe qui m'a donner une idée... je vais affronter mon père, il n'osera pas refuser c'est un homme d'honneur même contre sa propre fille si je gagne je remporte ma liberté mais ... si je perd ... - Elle baissa la tête - Je dois juste trouver des arguments traditionnels pour appuyer ma démarche. Je préfère mourir que de passé ma vie enchaîner à cet homme.

Elle regarder Hamir avec détermination, son plan était bon, elle manquer de quelques détails pour si préparer et tous les jours elle s'entraîner seule.

Hamir, salle de repos, au même moment


Hamir écoutait Kiara avec une grande attention et quand elle eût fini son discours, il hocha la tête, se leva, marcha quelques pas en rond devant Kiara puis fini par s'arrêter et lui dire spontanément : 


- Très bien ! C'est d'accord, je vais vous aider ! - Il sourit à la Princesse - Tout d'abord, votre entraînement, je vais vous accompagner, si vous l'acceptez. Ensuite pour comment faire face avec votre père... 

Il garda le silence un long moment, regardant dans le vide, les yeux perdus vers le plafond.


- Je ne pense pas qu'il y ait plusieurs solutions.. soit vous tentez la diplomatie, en réunissant tous ceux qui sont de ton avis et lui faire entendre raison. Soit.. vous le confrontez épée à la main et, tout comme nos ancêtres Yokudéens, vous devrez être conquérante et vous seriez en droit de décider quoi faire de votre vie.

Il regardait Kiara avec du doute, de l'inquiétude et de la préhension.. comment une aussi jeune princesse arriverait à tenir tête au frère du Roi ?! Ce même Roi qu'il a servi durant tant d'années. Quel dilemme.. choisir entre sa loyauté à la couronne et sa loyauté à son amie.. mais il pencherait finalement facilement vers le choix le plus noble car personne ne devrait être privé du choix de sa vie.

BlackoutMj a écrit:

Ivy a écrit:Kiara avec Hamir, salle de repos au même moment 

Elle était jeune à l'époque elle avait des brides de souvenirs de sa rencontre avec Hamir, des moments qu'ils avaient passés ensemble. 

- Je vous en pris, par de majesté même entre nous, à moin que vous appréciez les coups ? -elle sourie- Je vous connaissez Hamir, nous avons bien changer vois et moi, nous ne sommes plus des enfants. 

Elle regarda tous les manuels et en ouvrit un, 

-  Cependant si il y a bien quelqu'un qui puissent m'aider c'est vous, vous avez côtoyer ma famille pendant assez longtemps... 

Kiara expliqua à Hamir ce qui lui était arrivé, le mariage forcé, avec le fils du clan des couronnes, sa séquestration, son plan pour fuir, et comment elle c'est retrouvé inanimé dans le désert sauver par Ko’jahaani, ainsi que l'aide d'Ivy et Kar-jeenar pour fuir Alik’r.

- voyez-vous maintenant si je veux rester ici, je dois trouver un moyen de faire oublier cette histoire et apaiser les tensions de mon départ à Sentinelle - elle posa son coude sur la table la mains sur sa tête - Au début je pensais trouver une autre filles de bonne famille assez noble pour accepter d'épouser cet imbécile de Medhir mais je ne souhaiterais cela même à mon pire ennemi, enfin c'est Tourbe qui m'a donner une idée... je vais affronter mon père, il n'osera pas refuser c'est un homme d'honneur même contre sa propre fille si je gagne je remporte ma liberté mais ... si je perd ... - Elle baissa la tête - Je dois juste trouver des arguments traditionnels pour appuyer ma démarche. Je préfère mourir que de passé ma vie enchaîner à cet homme.

Elle regarder Hamir avec détermination, son plan était bon, elle manquer de quelques détails pour si préparer et tous les jours elle s'entraîner seule.

Hamir, salle de repos, au même moment


Hamir écoutait Kiara avec une grande attention et quand elle eût fini son discours, il hocha la tête, se leva, marcha quelques pas en rond devant Kiara puis fini par s'arrêter et lui dire spontanément : 


- Très bien ! C'est d'accord, je vais vous aider ! - Il sourit à la Princesse - Tout d'abord, votre entraînement, je vais vous accompagner, si vous l'acceptez. Ensuite pour comment faire face avec votre père... 

Il garda le silence un long moment, regardant dans le vide, les yeux perdus vers le plafond.


- Je ne pense pas qu'il y ait plusieurs solutions.. soit tu tentes la diplomatie, en réunissant tous ceux qui sont de ton avis et lui faire entendre raison. Soit.. tu le confrontes épée à la main et, tout comme nos ancêtres Yokudéens, tu devras être conquérante et tu seras en droit de décider quoi faire de ta vie.

Il regardait Kiara avec du doute, de l'inquiétude et de la préhension.. comment une aussi jeune princesse arriverait à tenir tête au frère du Roi ?! Ce même Roi s'il a servi durant tant d'années. Quel dilemme.. choisir entre sa loyauté à la couronne et sa loyauté à son amie.. mais il pencherait finalement facilement vers le choix le plus noble car personne ne devrait être privé du choix de sa vie.

Kiara salle de repos au même moment 

Elle le regarder faire les cent pas, ses expressions étaient chabgeante. 

- Tuwak'a sois loué ! Oui Hamir c'est exactement cela ! 

Elle se leva pour s'approcher de lui, 

- maintenant nous avons deux autres problèmes ... problème numéro 1, le temps il le reste peut de temps, avant que Elia ne décide de me dénoncer a la garde de Sentinelle, si je ne trouve pas de solution, et petit deux, Je dois agir lors d'une cérémonie officielle ainsi je serai sur de qu'il ne refusera pas, et ils y aura des témoins ainsi que le roi... est-ce que tu est toujours avec moi Hamir? 

Elle se retourna se tenant le menton pour réfléchir, puis s'arrêta en tapant des pieds.

- le combats se fera à l'épée... cela ne m'inquiète en aucun cas je manie l'épée depuis que je sais marché... mais cela fait un moment que je n'ai pas eu d'adversaires, donc tu as raison, je dois m'entraîner.
Merci beaucoup Hamir 

Elle croisa c'est bras et baissa la tête pour le remercier

Lilyth a écrit:Silgrid, dans la forge dans l'après-midi. 


Elle s'attèlait au meulage de la soie d'une lame particulièrement récalcitrante en surveillant du coin de l'oeil son feu. Soudain un officier s'approche ! Incertaine de la démarche à suivre, elle tente d'abord un salut mais dans sa main elle a ses outils. Alors elle envisage de les poser, mais remarque qu'il s'approche pour regarder son travail et finalement ils lui échappent des doigts. Tombant lourdement sur ses pieds. Elle ne clignant même pas des paupières quand le choc de la douleur frappa son système nerveux.

"Ch-chavalier Mazar!"

Elle le reconnaissait, il passait du temps ici lorsqu'il etait préoccupé. Elle avait pris l'habitude de mettre de côté des petites tâches qu'il accomplissait sans réfléchir. 

"Je suis les petites mains dans cette forteresse. C'est normal de se faire discrète. "

Mazar, à la forge, au même moment


Mazar se retient de rire de la maladresse de la Nordique. Il avance vers elle, se penche et ramasse son outil et le lui tend 


- Est ce que ça va ? Je ne suis désolé de t'avoir surpris, ne t'en fais pas je ne suis pas ici pour te réprimander ou quoi que ce soit. Je ne fais que me .. divertir. En venant ici, je ne pense plus au reste. La beauté du métal chaud, le choc du marteau qui rencontre la lame sur l'enclume.. ça m'avait manqué pendant un temps !

Il était rêveur, il avait le regard perdu dans l'âtre du four. Puis il releva la tête vers Silgrid


- Tu permets que je me joigne à toi ? Nous pourrions ainsi discuter si tu veux, ou garder le silence et éviter le feu chanter dans le foyer.

Hamir, salle de repos avec Kiara, au même moment


Hamir tira son épée et s'agenouilla devant Kiara en lui tendant sa lame en guise de preuve de dévouement


- Bien-sûr que je suis avec vous Princesse. Je vous serai loyal et me tiendrai à vos côtés quoi qu'il en coûte, je vous en fais le serment !

Il se releva et s'approcha un peu plus de la jeune femme pour pouvoir lui parler à voix basse.


- Bien, par quoi et quand voudriez vous commencer ? Et que pourrai-je faire pour vous aider en plus de votre entraînement au combat ?

BlackoutMj a écrit:Hamir, salle de repos avec Kiara, au même moment


Hamir tira son épée et s'agenouilla devant Kiara en lui tendant sa lame en guise de preuve de dévouement


- Bien-sûr que je suis avec vous Princesse. Je vous serai loyal et me tiendrai à vos côtés quoi qu'il en coûte, je vous en fais le serment !

Il se releva et s'approcha un peu plus de la jeune femme pour pouvoir lui parler à voix basse.


- Bien, par quoi et quand voudriez vous commencer ? Et que pourrai-je faire pour vous aider en plus de votre entraînement au combat ?

Kiara avec Hamir dans la salle de repos au même moment 

Princesse ? Et une révérence ?  En plus mais il veux que je me fasse griller ? Elle le regarde l'air assassin et le tire par le col pour qu'il se relève. 

- Hamir il va falloir travailler ça, plus de princesse ! Je suis votre égale c'est compris ? Grogna t-elle 

Elle se radoucit en tournant en rond, avant de lui lançais un regard sournois 

- nous commençons maintenant     et c'est vous qui allez m'entraîner, ou me servir de cible c'est vous qui voyait  

Elle rie à gorge déployer en regardant Hamir

Silgrid, dans la court prêt de la forge, avec Mazar


Elle récupéra l'outil les joues en feu et le posa cette fois ci délicatement sur l'établi. "O-oui! La forge c'est plus simple que les gens! Ahah..." Se rendant compte de ce qu'elle dit: " Enfin vous savez ce n'est pas que c'est pas bien les gens, mais euh c'est vachement compliqué! Et puis euh moi je préfère  les solutions plus..." Elle frape son poings dans sa main.

Elle sourit à Mazar sans le regarder: "Mais bien sûre vous pouvez rester, m'sieur! Enfin officier. Sous officier...? Ca me fera de la compagnie! Enfin euh... Je ne suis pas de très bonne compagnie.". Rouge comme une pivoine elle roule des yeux en se tordant les mains, elle marmone "Desolée..."

Hamir, salle de repos avec Kiara au même moment


"Très bien petite enquiquineuse ! Tu ne veux plus de distinction ? Alors je ne te ferai pas de cadeau !" 
Hamir répondit à Kiara par un grand sourire carnassier, révélateur qu'il accepterait le défi. Il se tourna et pris la direction de la tour d'entraînement, avant de quitter la salle il tourna la tête vers Kiara et lui lança


- Je t'attends là haut, ne traine pas.

Il reprit son chemin et gravit les marches en colimaçon 3 par 3, traversant les grands escaliers en un éclair.

Mazar avec Silgrid, à la forge, au même moment


Mazar enfila un tablier par dessus sa chemise en toile et se plaça derrière l'enclume, préparant ses ustensiles.


- Le Marteau, les tenailles, le sceau d'eau, un triangle..  Ok !

Il inspecta que chaque outil n'avait pas de défaut puis il demanda à Silgrid


- Dis moi Silgrid ? Tu avais quelque chose en cours ? Tu veux de l'aide peut être ?

Silgrid, à la forge au même moment


Elle désigna l'établit: "Ce n'était pas vraiment tu travailles de forge. Une arme dont j'ai démonté la poignée me donne du fil à retordre. Si tu veux m'aider... Si vous! Si vous voulez m'aider,  il y a beaucoup de petites besognes avec les nouvelles défenses dehors: des clous, des cerclages, des tiges en tout genre... Rien de bien prestigieux désolée..."

Si elle avait su qu'il passait, elle lui aurait laissé de côté quelques volutes pour les nouvelles grilles. Il y avait bien du travail de maréchal-ferrant, mais ça elle ne laisserait personne d'autre s'en occuper! Les sabot des chevaux étaient trop sensibles et leur santé trop précieuse pour qu'elle laisse un rougegarde en rogne rendre un animal boiteux.

Zahïrk a écrit:- Excusez moi, Beek-Ojel - il la salue d'une révérence - J''aurai une demande particulière à vous faire. J'aimerai faire un voyage, partir quelques temps, seul. Vu la réussite de la dernière mission et mon implication toute particulière dans celle ci, je me disais que peut être aurais-je mérité un petit temps de repos ?

Il regardait fixement Elia dans les yeux et cherchait à déterminer son ressenti sur sa question, dans le doute il ajouta :

- Oh bien sûr, ne vous inquiétez pas ! Ce ne sera pas long ! Je ne serai absent très longtemps. Juste le temps de lui faire plaisir !

Elia, à la tour d'entraînement, plus tôt dans la matinée

Après avoir regardé Korsen partir avec affliction, elle releva les yeux vers l'Argonien.

- Un voyage ? Oui, bien sûr, vous avez bien travaillé ces derniers temps, les officiers sont très satisfaits de vos efforts. Toutefois, j'ai besoin de savoir précisément combien de temps vous serez absent et où vous joindre en cas d'urgence.

Valriel, dans l'après-midi, au premier étage

Après avoir rangé les épées d'entraînement, ajusté le registre de la tour, préparé les rations pour les voyages à venir et rangé les écuries, Valriel se dirigea vers le premier étage, et vers l'atelier d'alchimie. Il jeta un regard par dessus la balustrade, il y avait bien Kiara et Hamir dans la salle de repos, mais ils semblaient engagés dans une vive discussion et ils avaient l'air de se rendre aux étages supérieurs. Il serait au calme un moment, à priori, personne ne viendrait le déranger au beau milieu de la journée, tandis que tout le monde était déjà bien affairé. 

Il fouilla l'armoire d'ingrédients. Elle était bien fournie et très organisée, chaque fiole soigneusement étiquetée de l'écriture élégante d'Elia, les plantes séchées triées par type et par fonctions, les solvants classés par usage, les potions à gauche, les poisons à droite. Il sourit : c'était parfait, tel qu'il l'aimait. Organisation et propreté. Rapidement, il sortit les ingrédients et fit bouillir un solvant sur la table d'alchimie. Avec précision et soin il commença à préparer sa mixture.

Dans la citadelle, tard dans la nuit ou tôt le matin....


Dans la salle commune une affiche a été abandonné sur une table. Il y en a peut-être d'autre éparpillée dans la Citadelle.

Dans les dortoirs communs, quelqu'un a déposé une note pliée sur le coffre d'effet personnel de Kiara.

Mazar, toujours à la forge


Il sourit à la Nordique, sa familiarité naturelle contrastant tellement avec la rigidité et la droiture de la guilde. C'était .. rafraichissant.


- Oh, ne t'inquiètes pas, tu peux me tutoyer. - Il fait un signe de tête à Silgrid - ça change de pouvoir être informel de temps en temps. Et pas de problème pour les choses à faire, aucun travail n'est ingrat ou plus grave qu'un autre quand on forge.

Il se prépara donc à forger les clous - il aimait bien ça, c'était simple et pourtant exigeait plein de précision - Il saisit les outils et commence son travail.

Mazar, Chambre de Phèbe, très tôt le matin (aux environs de 5h)


Mazar était à moitié éveillé, perdu entre rêve et réalité, la fatigue dominant tout son être. Les yeux encore fermés, il se tourna sur le côté, cherchant du bras la présence de son épouse dans le lit. L'espace était vide, mais bientôt, sa présence se refit sentir et elle retrouva sa place au près de lui. Il ouvre finalement les yeux et constate qu'elle est là. Ce schéma il l'a déjà vécu au moins 4 fois durant la nuit. Elle est agitée, elle se lève, sort de la chambre puis revient un peu plus tard et se recouche, ainsi de suite. Il pose une main sur elle mimant une personne endormi qui bougerait et reposerait son bras en reprenant une position plus confortable.
Elle est toujours glacée, depuis son combat contre Elia, son corps a gardé cette froideur non naturelle qui pourtant n'a pas l'air de lui nuire.
Il chuchote doucement à son attention :


-Tu n'as pas dormi, hein ?

Il se colle un peu à elle et lui dépose un doux baiser dans le cou.

Phèbe, dans sa chambre tôt le matin.


Elle a froid. Encore. Toujours plus. Et en elle un vide immense qu'elle ne comprend pas. Incapable de rester allonger de peur de ne jamais se relever, elle quitte la pièce. Ca ne sera jamais que la quatrième fois cette nuit. Comme cette fois la nuit touche à sa fin elle emporte des vêtement et dans les termes, s'habille, avant de sortir.

Elle avait tenté d'en parler à Elia mais... La sorcière n'avait pas eu l'air de comprendre son problème et lui avait confirmé qu'aucun de ses sort n'aurait du lui causer cela. Elle ne pouvait pas insister et que sa consœur se croit responsable de la situation. Alors Phèbe sans répit retourne mille fois le problème. Elle marche de long en large sur les rempart en essayant mille fois de faire apparaître la moindre flamme. Rien.  Elle crache un hurlement de rage. Puis réessaye sans relâche, lachant de nouveau cris de frustration à chaque échec. C'est inutile. Elle ne sent aucune sensation familière le long de son échine, rien dans son bas ventre, aucune chaleur dans les tréfonds de son âme. Son brasier semble endormis.

Ce n'était pas possible! Elle ne pourrait pas abandonner cela! Il devait y avoir une raison?! Sans lui... Sans lui! Je ne suis rien! Juste une simple femme faible et impuissante. Incapable de se défendre. J'ai besoin de ce feu! J'en ai besoin! 

Elle se perche sur un créneau. Elle regarde le sol et ressent une sensation vertigineuse. Peut-être que Elia avait raison. Peut-être les voix avait-elle vraiment fais quelque chose. Peut-être que sans le bâton, elle n'était rien. Phèbe fixe le vide. Plus de vertige mais une étrange fascination. Ou alors peut-être qu'elle le méritait. Le brasier l'accompagnait depuis la mort de Lywen. Peut-être la mort d'Uraclon devait-il scellé son pouvoir également. Son seul pouvoir. La seule chose en laquelle elle avait toujours pu compter. Oui elle le méritait, elle l'avait trahis, elle avait faillis à son devoir d'épouse. C'était sa punition. Mais n'est-ce pas trop dur? Que valait-elle sans cela? Pouvait-elle survivre sans magie?

Phèbe veut mieux contempler la plaine et monte entre deux créneau. Elle fixe le vide. Le soleil est levé mes ses rayons rasant donne d'étrange contraste au sol. Un vent léger emporte ses cheveux pour une fois défait. Oh une chute pareil devait être mortel. Elle ferme les yeux et cherche une fois de plus la moindre sensation de magie.

Valriel, à l'aube, dans les dortoirs.

Cela faisait des heures qu'il était éveillé. Il avait guetté et attendu, faisant semblant de dormir, étendu sur son lit. En voyant du mouvement en provenance du quartier des officiers et la silhouette fluette et petite de Phèbe en sortir, très doucement, il s'était relevé et l'avait suivie. C'était le bon moment. Tout le monde dormait et les premiers rayons du soleil faisaient à peine leur apparition.

De loin, le plus discrètement possible, il la regarda gagner les créneaux. "Parfait". Il n'y avait presque jamais personne là-bas, à part lui.
Il s'était habillé légèrement d'une simple chemise de lin blanc à laquelle était accrochée le charme et de braies amples afin d'étouffer ses mouvements. Pas d'armure ou d'armes, après tout, il n'allait pas faire ses rondes. Il suivit Phèbe sur les créneaux et s'approcha d'elle discrètement, observant son petit manège. Quelque chose n'allait pas, c'était évident. Il crut un moment qu'elle allait se jeter dans le vide et crut bon d'intervenir.

- Phèbe. Je dois vous parler.

Phèbe, sur les rempart à l'aube.

Phèbe dans ses pensées cru avoir une crise cardiaque! Elle était tant investit en elle même qu'elle ne faisait plus du tout attention à l'extérieur. Finalement elle se dit: Dites moi que c'est une blague? Je croyais qu'il ne voulait plus me parler celui là! Phèbe réouvre les yeux, éblouit par le soleil. 

- Valriel.

Elle hésite à l'envoyer balader. Pourtant comme la veille, l'énergie lui manque. Elle ne peut que soupirer et vaincu lui dire mollement: 

- Ce n'est pas vraiment le moment.

Valriel, sur les remparts, à l'aube

L'Altmer lut la surprise dans la réaction de la Brétonne. Il ne se laissa pas décontenancer par la froideur de son accueil. Il répondit avec détachement :

- Je m'en fiche. Vous devriez vous éloigner de ces remparts. Croyez-moi, vous voulez savoir ce que j'ai à vous dire. C'est important. Et je ne le redirai pas. 

Il s'approcha d'elle.
- Je fais un pas vers vous. Voilà.

BlackoutMj a écrit:Hamir, salle de repos avec Kiara au même moment


"Très bien petite enquiquineuse ! Tu ne veux plus de distinction ? Alors je ne te ferai pas de cadeau !" 
Hamir répondit à Kiara par un grand sourire carnassier, révélateur qu'il accepterait le défi. Il se tourna et pris la direction de la tour d'entraînement, avant de quitter la salle il tourna la tête vers Kiara et lui lança


- Je t'attends là haut, ne traine pas.

Il reprit son chemin et gravit les marches en colimaçon 3 par 3, traversant les grands escaliers en un éclair.

Kiara, avec Hamir dans la tour d'entraînement le lendemain au petit jours

Elle rejoint Hamir, après avoir enfiler sa robe de combat  traditionnel, et dans un éclat de rire malicieux, elle lui dit  

- Alors Hamir, j'espère qu'à ton âge, tu n'est pas trop rouillé ?  - elle hausse un sourcil avec un sourire en coin - On commence sans armes d'abord veux tu ?  - elle se place en appui, et fait signe à Hamir de l'attaquer-

Phèbe, sur les remparts avec Valriel, au même moment


Il avait réussit son coup, il avait toute son attention à présent. 

Elle se tourna lentement vers lui. Elle réalisa alors à quel point elle était proche du rebord. Elle fronça les sourcils, tiens elle n'avait pas remarqué. Elle sauta avec grâce sur le sol, passa ses mèches en bataille derrière dans ses oreilles puis dans son dos. Elle ne cacha pas son humeur maussade mais fit l'effort de formuler ses pensée:

- Je suis désolée de ne pas pouvoir apprécier cette nouvelle avec toute l'enthousiasme qu'il devrait. Je n'ai pas eu une bonne semaine. Mais si vous êtes sérieux...

Elle pris une expression plus avenante:

- Je vous écoute.

Valriel, sur les remparts avec Phèbe, au même moment,

Nerveux, il prit une profonde inspiration. Il avait lui-même du mal à croire ce qu'il allait faire. En entendant ses efforts pour lui être plus agréable il soupira : une fois de plus, malgré son comportement, elle essayait de lui être agréable. Il ne comprenait véritablement pas.

Sans prévenir, il l'attrapa doucement par l'avant-bras pour la guider un peu plus à l'écart des entrées, se rapprochant d'elle pour éviter d'avoir à trop hausser le ton pour se faire comprendre. Il jeta un regard aux alentours pour s'assurer une fois de plus qu'il n'y avait personne, ferma les yeux, se traita cent fois d'idiot.

- Bien. L'autre fois, vous m'avez fait un présent, inestimable, précieux. Sachez que je réalise pleinement ce que ça signifie. Alors permettez-moi de vous faire un cadeau moi aussi. Vous avez demandé à me voir. À me voir vraiment. Alors laissez-moi vous montrer. Je vais vous faire une offre que je vous recommande vivement d'accepter.

Ivy au levé du jour, atelier d'alchimie 

Ivy avait passer la nuit à se tordre de douleurs, son corps était endoloris.. 
Elle se leva, pris du temps pour s'habiller, et décide de tenter de trouver un remède.. pour faire passer la douleur. 

Elle pouvait tenter de créer un remède Elle même, mais préféra cette fois demander de l'aide, et elle se diriga vers l'atelier d'alchimie en espérant trouver Elia