Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses 
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?




Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

• Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle. 
  

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

• Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.
  

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

• Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.
  

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle 
[suite du message]

• Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.
  

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles. 

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.


Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :







Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Général Patafouin a écrit:Valriel, en compagnie d'Ivy, au même moment

Il ne s'était pas attendu à l'étreinte spontanée de la Brétonne et il se figea, les yeux écarquillés, incapable de savoir ce qu'il convenait de faire lorsqu'elle le serra avec force dans ses bras. Il leva légèrement les bras et posa maladroitement une main dans le dos de la jeune femme. Il fut quelque peu soulagé lorsqu'elle la relâcha, anxieux à l'idée de commettre un impair.

En entendant les mots d'Ivy, il eut un sourire. Il vint s'assoir auprès d'elle, fixant l'horizon.

- Ne te tracasse pas pour cela, tu as déjà beaucoup à penser. Le plus important est que tu sois en vie. C'est vraiment le moins que je pouvais faire. Autant que ce savoir serve à quelque chose. Maintenant, tu dois te concentrer sur ton rétablissement et laisser derrière toi cette sordide histoire pour mieux appréhender l'avenir.

Ivy avec valriel petit coins de tranquillité au même moment 

Elle acquiesça et sèche ses larmes en souriant à Valriel

- Vous avez raison, Vous savez si a mon tour je peux vous aidez ou vous soulager, je le ferais sans hésiter, je serais l'oreille attentive comme vous l'avez était pour moi. 

Elle se voûta quand une douleurs lui transperça l'abdomen, et au même moment des images lui perturbe l'esprit, elle se fige, ses yeux se ferme et se plisse, une sensation désagréable s'empare d'elle.

Valriel, en compagnie d'Ivy, au sud de la Citadelle

Il eut un rire, léger, tendre, adressant un petit coup d'œil à la Ivy. Sous ses bandages, il sourit doucement.

- Tu n'as rien besoin de faire, Ivy. Mais j'apprécie l'attention, j'y songerai, vraiment.

Il fronça les sourcils en la voyant se tordre subitement de douleur et reposa sa main sur son épaule. Il sent que les énergies ne sont pas tout à fait rétablies. Alors, il pose son autre main sur le poignard à sa ceinture et murmure quelque chose, une phrase à peine audible, dans l'espoir d'apaiser cette sensation qui traverse la Brétonne.

Ivy avec Valriel petit coin tranquille au même moment 

Elle se torder de douleurs, la douleur physique de ses blessures et la douleurs mentale, entre les séquelles de la capture de son âme et les voix.

Elle regarder Valriel sans pouvoir parler, ses yeux l'implorer de lui venir en aide.

Il posa ses mains sur elle, il ce concentra. Les voix spectrales qui résonner dans sa tête semblait se faire moins intenses elle laissèrent place à une voix, toute autre, familière, Valriel ?  La langue lui était étrangère, une langue qu'elle n'avait jamais entendu. Au début les mots étaient floues puis petite à petit ils devenait clair, limpide... 
Elle ne savait pas comment mais elle commençait à comprendre le sens de ses paroles étrangères. -d'apaiser les tourments de ceux qui n'ont plus de pouvoir sur ton âme et de laisser celle-ci se guider par le son de sa voix". - Une énergie magique parcourut son corps toute entier, un flux nouveau, une sensation qu'elle ne connaissait pas, la encore c'était lui, les images, qui la torturer se modèle, se transforme, en paysages inconnus, des lieux, des demeures a l'architecture incroyable, habillé de marbre blanc, des salles immenses baignée dans une douce lumière bleutée. Souvenirs ou rêves ? Impossible de le dire.
Mais au fur et à mesure qu'elle défilé la douleur s'amenuiser, pour disparaître entièrement .

Ivy se redressa sans mal, ou presque, étonné par ce qui venait de ce passer elle regarda Valriel, les yeux rond, sourcils lever.

- Comment ?... ça a disparu, et votre voix ?  Cette langue... Qu'avait vous fait Valriel. Sa voix était douce et apaiser 

Encore une fois il l'avait aider ... mais Elle ne comprenait pas tous ça n'avait aucun sens

Valriel, en compagnie d'Ivy, au coin de tranquillité

Sans retirer sa main de l'épaule de la jeune femme, l'Altmer se redressa, haussant les sourcils, dans une expression d'étonnement.

- ... Je ne comprends pas Ivy, de quoi parlez-vous ? Vous allez bien ? Vous êtes très pâle, c'est inquiétant... Nous devrions peut-être rentrer et manger un peu de ce rôti que Fait-Plein-De-Soupes a préparé, cela vous remettra sûrement d'aplomb.

Il se releva, tendant la main à la jeune femme pour l'aider à faire de même.

Général Patafouin a écrit:Elia, tour d'entraînement, en compagnie de Korsen et Zahïrk

Elle préféra ne rien dire lorsque Mazar lui dit qu'à sa place, elle aurait compris. Non, elle ne comprenait pas. Mazar avait toujours été guidé par ses émotions et c'est cela qui l'avait mené à agir sous l'impulsion, à tuer ces gardes, à se précipiter dans les ennuis, à partir à la recherche de Phèbe sans prendre la peine de les prévenir... Elle se sentait fatiguée de lui expliquer que, pour elle, tout ceci manquait grandement de mesure.

Son dos commençait à être un peu moins douloureux de la chute qu'elle avait faite, mais ses côtes la lançaient toujours du coup qu'elle avait reçu. Elle ramassa l'équipement que Phèbe avait jeté au sol pour le ranger soigneusement dans les râteliers d'armes et récupéra son bâton qui vibra doucement au contact de sa main, comme un vieil ami qu'elle retrouvait enfin.

Elle jeta ensuite un coup d'œil à Korsen qui la regardait faire avec un air moqueur. Elle lui décocha un regard inquisiteur et lui demanda, vivement :

- Et vous, êtes-vous venu ici pour vous entraîner, ou simplement pour profiter du spectacle ?

Korsen, tour d'entraînement

Korsen prit la question d'Elia avec beaucoup de détachement. La main sur son fourreau, il la fixa pendant dix longues secondes, puis se mit soudain à rire aux éclats. Il ne décrocha pas un mot puis reparti de là où il venait, avant de se gratter férocement les parties intimes à travers ses grèves.

Phèbe dans sa chambre en debut d'après-midi.
Quand elle ouvrit les yeux elle du lutter contre la lourdeur de ses paupières. Il lui fallut une seconde pour se rappeler ce qui s'était passé. Elle glisse sa main sur son ventre, douloureux mais intact. 

Puis elle ressent ce frisson, ce silence. Le malaise dans sa poitrine est présent. Elle la frotte un peu. Elle a peur. Elle ne sent plus ses flammes. 

Alors ses yeux tombnt sur son bâton. Oui! Voilà la solution ! Elle tend avec difficulté le bras mais alors qu'elle s'apprête à l'effleurer un voix grave la stoppe:

- Phèbe?

Elle réalise alors. Non ! Elle ne voulait surtout pas approcher cette objet de malheur ! Elle se recroqueville sous les draps.

Ganzaëlle sur les murs extérieurs dans l'après-midi


Il était au anges, impatient et très excité. Il avait parlé avec Zéphyriel de son intention d'aller en Arteum, malheureusement aussi doué soit le nordique en magie psijiique il lui était tout bonnement impossible d'utiliser ses portails pour transporter quelqu'un d'autre. Et honnêtement il n'était pas sûr de vouloir envoyer dans un autre plan deux inconscients simplement pour le bonheur conjugal d'une bestiole. Mais Ganzaëlle était persistant et avait la langue bien déliée. A force de persuasion, Zéphyriel emit l'hypothèse qu'avec l'aide d'un mage suffisement brillant il serait possible de combiner ses compétences psijiiques et la magie traditionnelle des portails pour créer un passage.

Ça tombe bien, la guilde comptait un tel mage, intelligent, capable, puissant et qui malgré ce qu'il pourrait dire aimerait relever un defis. Elia Vifacier. La conversation ne fut pas forcément aisée, l'Archonte étant ce qu'elle est: pragmatique et désabusé. Ganzaëlle ne sait pas quel miracle tout deux acceptèrent,  mais ils le firent! Apparemment ils avaient l'intention de rencontrer le maître de Zéphyriel ou Sotha Sil lui même... 

Il fut conclut que quand tous les experimentations et préparatifs serait conclu : les deux bosmers serait avertis.

Ganzaëlle décida d'en informer Sabehla. Il la trouva sur les toits en train d'écrire un sorte de lettre ou elle griffonnait schéma et dessin. Avec l'agilité de son espèce il la rejoint sans chercher à cacher sa présence. Après tout c'était peut-être une lettre romantique qui ne lui était nullement adressée ! 

Il l'appella "Sabehla! L'affaire est réglée, nous pourrons aller en vadrouille là au il faut! Mais quelle histoire! Voulez vous l'entendre ?"

Mazar, dans la chambre de Phèbe, au même moment 


Soulagement, joie .. Mazar regarde Phèbe qui ouvre finalement les yeux.
"Phèbe ?" Sa voix est à la fois inquiète et en même temps rassurée


- Est ce q..

Non.. il ne faut pas la prendre pour une petite chose fragile.. il lui sourit :


- Tu t'es bien débrouillée ! Et ce balayage ! Haha ! Une vraie lionne ! Je suis fière de toi ! La tête d'Elia quand tu t'es jetée sur elle ! Je donnerai n'importe quoi pour qu'on peigne cette expression sur son visage !

"Ne pas montrer son inquiétude" se dit-il, un grand sourire aux lèvres

Général Patafouin a écrit:Valriel, en compagnie d'Ivy, au coin de tranquillité

Sans retirer sa main de l'épaule de la jeune femme, l'Altmer se redressa, haussant les sourcils, dans une expression d'étonnement.

- ... Je ne comprends pas Ivy, de quoi parlez-vous ? Vous allez bien ? Vous êtes très pâle, c'est inquiétant... Nous devrions peut-être rentrer et manger un peu de ce rôti que Fait-Plein-De-Soupes a préparé, cela vous remettra sûrement d'aplomb.

Il se releva, tendant la main à la jeune femme pour l'aider à faire de même.

Ivy avec valriel même endroit même moment 

Elle leva un sourcil intrigué 

- comment ... ce n'est pas vous ? Ho hum oui, oui nous devrions allez manger un morceau cela me fera du bien ... je suppose.

Elle étai perturber, par ce qui venait de ce passé, Valriel semblait ne pas comprendre ... - suis-je folle ? Est-ce les séquelles ?  La fatigue - elle pris la main de Valriel, s'accrochant à son bras, ses jambes vaciller, elle le regarder comme pour lui demander la permission de s'accrocher à lui.

Valriel, en compagnie d'Ivy, cour de la Citadelle, en direction du bâtiment principal

Il lui adressa un regard bienveillant en resserrant son bras contre son torse pour permettre à Ivy de mieux s'y accrocher et soulager les muscles affaiblis de la jeune femme en lui offrant une base stable. Il adapta sa marche à son rythme pour lui permettre de suivre facilement et la mena tranquillement à l'intérieur du bâtiment. Il la laissa dans le réfectoire pour revenir des cuisines, une assiette remplie de victuailles à l'odeur alléchantes à la main, ses yeux en amande plissés en une expression joviale. 

Il déposa l'assiette sur la table et lui dit d'un ton avenant :

- Avec cela, vous vous sentirez mieux. On dirait que Fait-Plein-De-Soupes s'est surpassée, cette fois. C'est du rôti de Coursimpie. Goûtez, il sort du four et il a l'air délicieusement fondant.

Son propre ventre criait famine à la vue et à l'odeur de la nourriture, mais, une fois de plus, ses bandages l'incommodaient. Il songea qu'il irait manger dans un coin tranquille plus tard.

Phèbe dans sa chambre avec Mazar, dans l'après-midi.


Elle se redressa un peu, un entendant ses mots un sourire illumina son visage. Un vrai sourire, avec une joie sincère et toutes ses dents. Elle même en fut surprise. Puis elle se fit suspecieuse. Avec precaution, elle demanda:

- Tu te moques de moi?

Général Patafouin a écrit:Valriel, en compagnie d'Ivy, cour de la Citadelle, en direction du bâtiment principal

Il lui adressa un regard bienveillant en resserrant son bras contre son torse pour permettre à Ivy de mieux s'y accrocher et soulager les muscles affaiblis de la jeune femme en lui offrant une base stable. Il adapta sa marche à son rythme pour lui permettre de suivre facilement et la mena tranquillement à l'intérieur du bâtiment. Il la laissa dans le réfectoire pour revenir des cuisines, une assiette remplie de victuailles à l'odeur alléchantes à la main, ses yeux en amande plissés en une expression joviale. 

Il déposa l'assiette sur la table et lui dit d'un ton avenant :

- Avec cela, vous vous sentirez mieux. On dirait que Fait-Plein-De-Soupes s'est surpassée, cette fois. C'est du rôti de Coursimpie. Goûtez, il sort du four et il a l'air délicieusement fondant.

Son propre ventre criait famine à la vue et à l'odeur de la nourriture, mais, une fois de plus, ses bandages l'incommodaient. Il songea qu'il irait manger dans un coin tranquille plus tard.

Ivy et valriel au réfectoire au même moment .


Elle sentait la délicieuse odeur qui émaner des assiettes, elle sourie à Valriel en attrapant sa fourchette, puis elle s'arrête.

- hum ... Valriel je vous l'ai déjà dit mais vous pouvez les enlever devant moi, je ne serais en aucun cas choquer et si vous voulez je peux me retourner? J'entends votre ventre jusqu'ici ... cela me gêne de manger devant vous alors que vous aussi vous avez faim ... il n'y a personne tous le monde est à l'entraînement. Je ne vous devisagerai pas.

Elle lui sourie et pris son assiette et retourna sa chaise ... pour tourner le dos à Valriel.

Sabehla sur les toits en compagnie de Ganzaëlle. a écrit:
-C'est merveilleux! Vous avez trouvé une solution pour notre voyage, j'en suis très contente! Racontez moi tout, je suis impatiente de savoir comment nous allons nous y rendre!

Ganzaëlle avec Sabhela sur les toits de la citadelle durant l'après-midi.

Il s'assoit prêt d'elle et lui sourit en essayant de contenir son excitation.

"Je pensais initialement demander à l'une de mes amies à la Guilde des mages... Malheureusement nous avons eu un différent... Je me suis donc tourné vers notre expert es psijiique, notre Légat Zéphyriel. Je ne vais pas vous endormir avec mes histoires, sachez simplement qu'il ferra de son mieux pour nous aider avec l'aide de l'Archonte. Quand leur portail sera prêt, il nous informerons. Vu leur enthousiasme cela ne devrait pas être si long. En attendant, Ithildin peut continuer à vadrouiller un peu."

Il jeta un regard autour mais n'en vu pas trace de l'animal.

Lilyth a écrit:Phèbe dans sa chambre avec Mazar, dans l'après-midi.


Elle se redressa un peu, un entendant ses mots un sourire illumina son visage. Un vrai sourire, avec une joie sincère et toutes ses dents. Elle même en fut surprise. Puis elle se fit suspicieuse. Avec précaution, elle demanda:

- Tu te moques de moi?

Mazar, dans la chambre de Phèbe avec cette dernière, au même moment


Elle ..? Elle sourit ?! Vraiment ?? C'était sans doute la première fois qu'il la voyait avoir un vrai sourire. Cette vue le remplie de joie, c'était l'effet escompter mais c'était aussi inattendu.

- Non du tout ! Tu m'as impressionné, vraiment !

Il saisit la main de Phèbe pour l'embrasser. Problème. C'est glacial ! Il relève la tête, son regard est plein de quiétude, son sourire retombe..

- Phèbe.. Tu .. tu es gelée ..?! Ne bouges pas ! Je vais te chercher des couvertures je reviens !

Mazar sort en vitesse de la chambre de Phèbe et lui rapporte sa propre literie.

Ganzaëlle tenant compagnie a s
Sabehla sur le toit.


Il répèta en souriant: "Ainsi sont les belles..."
Il trouvait ça assez rafraichissant de pouvoir parler avec elle. Il avait tant eu ses derniers temps de confrontation et de prise de tête qu'il en avait oublier le plaisir d'une simple conversation. 

"Je ne vous ai jamais demandé quel lien vous unissez Ithildin et vous? Je crois que vous avez mentionné un sauvetage... cela semble tellement plus fort que cela."

Il posa sa tête sur son genoux replié et observa l'horizon songeur.

Phèbe dans sa chambre dans l'après-midi,


Elle regarda ses mains et les posa sur son front. C'est veaie elle était froide... elle pensait que c'était dans sa tête.  Elle avait perdue du sang, c'était sûrement pour cela qu'elle avait froid.

"Mazar ne t'inquiète pas et laisses tomber les couvertures, il fait bien assez chaud. Je vais... juste aller dormir maintenant. "

Ses paupières étaient si lourdes. Il ne lui faudrait qu'une seconde.

Ivy a écrit:

BlackoutMj a écrit:

Lilyth a écrit:Ancre-les-mots, dans la bibliothèque, avec maintenant deux rougegardes.


"Mais vous êtes complètement boucher ma parole!" Il refusait toujours de monter le ton, parlant à mi-voix avec distinction et précision. Il toisa le nouvel arrivant. "Oh vous avez besoin de quelque chose peut-être?"

Hamir, dans la bibliothèque, au même moment


Hamir regarde les deux individus, visiblement il y avait eu un conflit ici.

- Excusez moi, je cherchais simplement la demoiselle que voici - il désigne respectueusement Kiara d'un geste de la main - je ne vous dérange pas plus, Bé~éko ?

Il sourit faussement à Ancre-les-mots et emboîte le pas de Kiara


- Je vous suis, je pourrai peut être vous aider si vous avez besoin ? - Il lui demande plus bas - Pourquoi faites vous des recherches ?

Kiara, salle de repos avec Hamir au même moment.

Kiara, s'arrêta net, et se retourna brusquement vers Hamir en le pointant du doigts l'air grave et visiblement en colère.

- AH ! Vous voulez m'aider ?  Vous aussi vous allez mentir ? Et me mettre des bâtons dans les roues c'est ça ?? 

Elle se retourna et pressa le pas 

- c'est pas possible ses individues qui non pas de parole, grogna t-elle dans le vent en regardant en l'air 

Elle arriva devant une grande table, y lâcha la pile de livres, elle s'assit bruyamment.
Le Rougegarde la suivie, 

- Je peux vous faire confiance à vous ? Ou vais-je encore être déçu ?

Elle le fixer, les yeux plissé, le regard froid

Hamir, salle de repos avec Kiara, au même moment


- Mais enfin.. Kiara.. vous savez qui je suis, vous pouvez me faire confiance, je ne vous trahirai jamais - Il place sa main droite sur son cœur et dit solennellement en baissant la tête - Je vous le jure, votre Altesse.

Hamir examina rapidement les titres des livres posés sur la table et demanda en s'asseyant aux côtés de Kuala.


- Alors, dites moi, Kiara? Quelles sont les but de toutes ses lectures et que puis je vous être d'une quelconque utilité ?

Il sourit à son interlocutrice.

Kiara avec Hamir, salle de repos au même moment 

Elle était jeune à l'époque elle avait des brides de souvenirs de sa rencontre avec Hamir, des moments qu'ils avaient passés ensemble. 

- Je vous en pris, par de majesté même entre nous, à moin que vous appréciez les coups ? -elle sourie- Je vous connaissez Hamir, nous avons bien changer vois et moi, nous ne sommes plus des enfants. 

Elle regarda tous les manuels et en ouvrit un, 

-  Cependant si il y a bien quelqu'un qui puissent m'aider c'est vous, vous avez côtoyer ma famille pendant assez longtemps... 

Kiara expliqua à Hamir ce qui lui était arrivé, le mariage forcé, avec le fils du clan des couronnes, sa séquestration, son plan pour fuir, et comment elle c'est retrouvé inanimé dans le désert sauver par Ko’jahaani, ainsi que l'aide d'Ivy et Kar-jeenar pour fuir Alik’r.

- voyez-vous maintenant si je veux rester ici, je dois trouver un moyen de faire oublier cette histoire et apaiser les tensions de mon départ à Sentinelle - elle posa son coude sur la table la mains sur sa tête - Au début je pensais trouver une autre filles de bonne famille assez noble pour accepter d'épouser cet imbécile de Medhir mais je ne souhaiterais cela même à mon pire ennemi, enfin c'est Tourbe qui m'a donner une idée... je vais affronter mon père, il n'osera pas refuser c'est un homme d'honneur même contre sa propre fille si je gagne je remporte ma liberté mais ... si je perd ... - Elle baissa la tête - Je dois juste trouver des arguments traditionnels pour appuyer ma démarche. Je préfère mourir que de passé ma vie enchaîner à cet homme.

Elle regarder Hamir avec détermination, son plan était bon, elle manquer de quelques détails pour si préparer et tous les jours elle s'entraîner seule.

Ivy a écrit:- hum ... Valriel je vous l'ai déjà dit mais vous pouvez les enlever devant moi, je ne serais en aucun cas choquer et si vous voulez je peux me retourner? J'entends votre ventre jusqu'ici ... cela me gêne de manger devant vous alors que vous aussi vous avez faim ... il n'y a personne tous le monde est à l'entraînement. Je ne vous devisagerai pas.

Elle lui sourie et pris son assiette et retourna sa chaise ... pour tourner le dos à Valriel.

Valriel, dans le réfectoire en compagnie d'Ivy, au même moment

La proposition d'Ivy était tentante, bien entendu. Il pourrait retirer ses bandages, juste assez pour lui permettre d'avaler quelque chose. Mais si quelqu'un arrivait, aurait-il le temps de les remettre ? La disposition des lieux n'était pas excellente, quelqu'un pouvait arriver d'un moment à l'autre sans qu'il ait le temps de l'apercevoir. Il doutait fort qu'Ivy se serve de cette situation pour le surprendre et découvrir son visage, mais ôter ses bandages ici le rendait nerveux et sa gorge se serra. Il repensa Ghorthul qui lui avait demandé de lui révéler son visage, sans quoi, il lui serait incapable de lui attribuer sa confiance et il se souvint qu'il avait encore du travail devant lui.

Il répondit à Ivy sur le même ton emprunt de douceur de d'amabilité :

- C'est vraiment adorable de votre part, Ivy, malheureusement, je n'ai pas une minute à moi aujourd'hui. Je mangerai en travaillant. Mais vous, régalez-vous. Vous le méritez bien !

Sur ces mots, il attrapa une pomme et une miche de pain posés sur la table et repartit en direction des escaliers en colimaçon menant aux étages supérieurs.

Général Patafouin a écrit:

Ivy a écrit:- hum ... Valriel je vous l'ai déjà dit mais vous pouvez les enlever devant moi, je ne serais en aucun cas choquer et si vous voulez je peux me retourner? J'entends votre ventre jusqu'ici ... cela me gêne de manger devant vous alors que vous aussi vous avez faim ... il n'y a personne tous le monde est à l'entraînement. Je ne vous devisagerai pas.

Elle lui sourie et pris son assiette et retourna sa chaise ... pour tourner le dos à Valriel.

Valriel, dans le réfectoire en compagnie d'Ivy, au même moment

La proposition d'Ivy était tentante, bien entendu. Il pourrait retirer ses bandages, juste assez pour lui permettre d'avaler quelque chose. Mais si quelqu'un arrivait, aurait-il le temps de les remettre ? La disposition des lieux n'était pas excellente, quelqu'un pouvait arriver d'un moment à l'autre sans qu'il ait le temps de l'apercevoir. Il doutait fort qu'Ivy se serve de cette situation pour le surprendre et découvrir son visage, mais ôter ses bandages ici le rendait nerveux et sa gorge se serra. Il repensa Ghorthul qui lui avait demandé de lui révéler son visage, sans quoi, il lui serait incapable de lui attribuer sa confiance et il se souvint qu'il avait encore du travail devant lui.

Il répondit à Ivy sur le même ton emprunt de douceur de d'amabilité :

- C'est vraiment adorable de votre part, Ivy, malheureusement, je n'ai pas une minute à moi aujourd'hui. Je mangerai en travaillant. Mais vous, régalez-vous. Vous le méritez bien !

Sur ces mots, il attrapa une pomme et une miche de pain posés sur la table et repartit en direction des escaliers en colimaçon menant aux étages supérieurs.

Ivy avec Valriel au réfectoire au même moment 

Elle hocha la tête et lui sourie 

- je comprends merci Valriel ! Pour tous ... 

Elle le regarda sans allez, et commença sont repas

Ganzaëlle et Sabehla sur les toits de la Citadelle.


Il se laissa porter par son récit. Qu'elle voix douce elle a. Il réfléchit tout de fois à ce qu'elle disait. Cette histoire n'était pas banal, elle était même peut-être tout à fait extraordinaire. Serait-il possible que...? Il secoua la tête et répondit à Sabehla:

" Votre cœur est grand demoiselle. Votre ami à quatre pattes et vous avez beaucoup de chance d'avoir su faire perdurer ce lien. Cela me conforte dans ma décision de vous accompagner et d'avoir demander de l'aide pour vous aidez: il serait fâcheux qu'un si belle déclaration de confiance envers Ithildin ne puisse aboutir."

Il sourit: " Je suis réellement enchanté que vous ayez partagé cela avec moi. Plus j'en apprend sur vous, plus vous me semblez sympathique."