Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses 
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?




Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

• Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle. 
  

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

• Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.
  

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

• Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.
  

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle 
[suite du message]

• Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.
  

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles. 

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.


Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :







Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Phèbe, sur les remparts avec Valriel.


Elle fut surprise par sa proximité soudaine, elle ne l'aurait pas imaginer tactile en quelque circonstances. Elle l'écouta en sondant ses prunelles. Elle acquiesça de la tête pour approuver ses paroles.

- J'écoute votre proposition. Mais soyez bien sûre de votre choix.


Elle n'osa pas exprimer quoique se soit puisque visiblement il lui en coutait. Elle resta impassible.

Valriel, sur les remparts avec Phèbe, au point du jour

Il darda ses yeux verts et pénétrants dans ceux de la pyromancienne. Il avait longuement réfléchi à ce qu'il allait dire. Alors pourquoi était-ce si dur ? Il n'était plus temps d'hésiter cependant, sa décision était prise, il l'avait mûrement pensée et élaborée. Il fronça les sourcils et dit gravement :

- Partez. Fuyez loin, sur une île ou que sais-je. Mais ne restez pas ici, ça vous détruira. Vous avez vu la laideur des Hommes et des Mers. Vous savez de quoi ils sont capables. Vous méritez une vie meilleure. Ce qui adviendra après ne vous apportera rien de bon. Allez chercher de la quiétude. Vous ne gagnerez rien à rester ici.

Phèbe et Valriel sur les remparts de bon matin,


Elle dégagea son bras. Sans le brusqué mais avec fermeté. Que pensait-il? Que sur les paroles évasives et prophétiques elle allait soudain avoir une réalisation et tout abandonnée? Il était plus malin que cela. Quelque chose clochait dans son comportement, bien entendu elle n'aurais su dire quoi. Et comment ça elle méritait meilleurs? Hier encore il la traitait comme une sorte de misérable! Elle contient sa réaction et envisagea une réponse plus modérée. Valriel ne semblait visiblement pas dans son état normal et elle devait mettre de côté ses propres problèmes. Il avait bel et bien fait un pas vers elle, ce n'était pas le moment de lui faire regretter. 

- C'est bien la première fois qu'il y a un temps soit peu d'ordre dans ma vie. Je vous ai donné un bref aperçu de ce que j'ai vécu, je n'insulterais pas votre intelligence en vous disant qu'il y a pire. Mais j'entend vos paroles et je m'interroge: dites moi pourquoi devrais-je abandonné cela? Pour les chimères d'une vie heureuse baignée de sérénité? Je ne suis pas de celles qui croient qu'il y est de telles choses en ce monde.

Valriel, sur les remparts avec Phèbe, au même moment

Il la laissa retirer son bras, lisant les émotions qui passaient à toute vitesse sur son visage. Bien. Les choses étaient dites. Elle était adulte et tout à fait capable de prendre une décision. Il crut bon toutefois de lui faire remarquer l'importance de ses mots avant de simplement la laisser face à ses choix. Il baissa le ton un peu plus, s'approchant à quelques centimètres de son visage. Cette proximité le mettait lui-même mal-à-l'aise, mais il ne voulait pas prendre le risque d'être entendu et il comptait sur l'impression intimidante que cela pourrait donner. Elle avait bien dit qu'elle avait peur de lui ? C'était peut-être le moment d'en jouer.

- C'est justement au nom de ce que vous avez vécu que je dis cela. J'ai pensé que, pour une fois, vous pourriez échapper à un destin gorgé de cendres et de déceptions. J'ai peut-être tort, mais je veux vous offrir une chance. Écoutez-moi ou ignorez-moi, mais nous sommes quittes à présent. J'ai fait ce que j'avais à faire. J'aurais au moins essayé de vous prévenir. Qu'avez-vous besoin de plus Phèbe ? Que voulez-vous que je vous dise de plus pour vous convaincre du sérieux de ma proposition ?

Ivy a écrit:

BlackoutMj a écrit:Hamir, salle de repos avec Kiara au même moment


"Très bien petite enquiquineuse ! Tu ne veux plus de distinction ? Alors je ne te ferai pas de cadeau !" 
Hamir répondit à Kiara par un grand sourire carnassier, révélateur qu'il accepterait le défi. Il se tourna et pris la direction de la tour d'entraînement, avant de quitter la salle il tourna la tête vers Kiara et lui lança


- Je t'attends là haut, ne traine pas.

Il reprit son chemin et gravit les marches en colimaçon 3 par 3, traversant les grands escaliers en un éclair.

Kiara, avec Hamir dans la tour d'entraînement le lendemain au petit jours

Elle rejoint Hamir, après avoir enfiler sa robe de combat  traditionnel, et dans un éclat de rire malicieux, elle lui dit  

- Alors Hamir, j'espère qu'à ton âge, tu n'est pas trop rouillé ?  - elle hausse un sourcil avec un sourire en coin - On commence sans armes d'abord veux tu ?  - elle se place en appui, et fait signe à Hamir de l'attaquer-

Hamir, salle d'entraînement,, à l'aube

Il se place face à Kiara et dépose toutes ses armes. Il prend la posture des guerriers Na-Totambu pour la provoquer et réduit la distance entre elle et lui en quelques foulées très légères et rapides. Il commence à envoyer des coups de paume et du bout des phalanges de ses indexs et majeurs vers des points précis visant à engourdir les muscles de Kiara en touchant les nerfs.
La princesse surprise dévie ses assauts mais perd peu à peu du terrain.
Il ne veut pas la blesser mais ne doit pas non plus être doux avec elle et la repousse finalement du plat de la main en frappant son diaphragme. Le coup ne la blesserait pas mais la forcera a reprendre sa respiration un moment.


Il reste ensuite sur place, un sourire aux lèvres, attendant que la petite princesse se relève et contre attaque.


- Alors ?! Je croyais que tu voulais te battre ?!

Phèbe, sur les rempart dans l'ombre de Valriel


Elle détestait ça, qu'on la surplombe, qu'on la menace. Elle se sentait prise au piège, elle détestait ça! Malgré sa volonté d'être patiente, sa voix fut froide. 

- Alors c'est ça votre glorieuse proposition? Me donner le choix de partir avant les dieux savent quel événement dont je suis sensé me méfier sans en connaître la nature? Mais Valriel, ce n'est pas un choix que vous me laissez! Inversez les rôles une seconde, vous écouteriez-vous? Vous prendriez-vous au sérieux? 

Pas de hurlement ou de cri. Sa voix, Phèbe ne la reconnue pas. C'était un murmure comme le sifflement du vent. Elle tente de se donner prestance, toute petite contre ce mur face au géant. Le givre qui depuis plusieurs jour avait planté ses griffes dans son cœur sembla tétanisé ses muscles. Alors compris. La glace. C'était cela le vide, le silence, le froid. Ce n'était pas l'absence d'un feu, c'était la renaissance d'un autre. Elle ne pu pas profiter de cette victoire, déjà car elle sentait qu'elle était tout à fait incapable de la maîtriser, ensuite car la conversation prenait une fois de plus une tournure déplaisante. Elle tente de réguler ses excès mais sent quand même que cela risque de lui échapper. Elle n'aimait pas qu'on la menace! 

- Oh, mais attendez... c'est exactement ce que j'ai fait! Vous mettre en garde contre les dangers de votre comportement puéril d'adolescent blessé! Mais vous ne m'écoutez pas hein? Quand je vous dit que vous vous perdez, que vous vous mentez, que vous courez à votre ruine! Vous n'écoutez pas. Vous ne faites pas un pas vers moi. Vous voulez m'éloigner. Je vais me dire que c'est par bienveillance mais posez vous la question: est-ce le cas ou craignez vous tant que je sois un obstacle que vous vous donnez bonne conscience en vous persuadant que c'est de la merci de me donner ce choix?

Ivy a écrit:Ivy au levé du jour, atelier d'alchimie 

Ivy avait passer la nuit à se tordre de douleurs, son corps était endoloris.. 
Elle se leva, pris du temps pour s'habiller, et décide de tenter de trouver un remède.. pour faire passer la douleur. 

Elle pouvait tenter de créer un remède Elle même, mais préféra cette fois demander de l'aide, et elle se diriga vers l'atelier d'alchimie en espérant trouver Elia

Zahïrk, atelier d'alchimie, au même moment


- Assis sous ses feuilles aux vents, parmi ses mots soufflés doucement.. *humhmhm hum hum huuumhmmm...*

Zahïrk jouait avec des fioles, broyait des plantes et en faisait boulot d'autres. Il chantonne en remplissant des tubes à essaie avec des liquides de couleurs vives pour la plus part et plus sombres et visqueux pour d'autres. Il lève la main au dessus des tubes et, tout en chantant, agite les doigts, laissant de fines particules de lumière se poser dans chaque liquide, les tenants soudainement éclatant et luminescent.
Il aperçoit soudain Ivy qui se tient péniblement debout, une main sur le ventre. Il s'interrompt.

- Bonjour Beek-Ojel, je ne m'attendais pas à voir quelqu'un debout si tôt par ici ! -il regarde sa main- est ce que vous allez bien ? Vous avez besoin d'aide peut être ?

Valriel en compagnie de Phèbe, sur les remparts

Valriel se redressa en arrière en entendant les mots de la Brétonne. "Un comportement puéril d'adolescent blessé..." Mais pour qui se prenait-elle, cette insolente ? Il avait eu un geste bienveillant, un geste plus hasardeux que ceux qu'il entreprenait habituellement, emplis de logique et de bon sens, il avait voulu l'aider et elle s'énervait contre lui, lui manquait de respect.

Il sentit un flux magique emplir l'atmosphère, mais d'une façon différente de ce à quoi la pyromancienne l'avait habitué... Ce n'était pas normal.

Toutefois, il réfléchit un moment à sa première question. Bien sûr que non, si on lui avait dit une chose pareille, il n'aurait jamais abandonné. Mais il n'était pas elle. Elle, à ses yeux et selon sa perspective d'Altmer, sa vie était bientôt finie. Elle, elle n'avait ni ses compétences, ni ses projets, ni son savoir. Les situations étaient entièrement différentes. Cependant, il était convaincu d'une chose.

- Vous avez raison sur un point, Phèbe. Je n'aurais jamais tout abandonné sur un simple avertissement. Mais j'aurais considéré la question et essayé de comprendre la signification de tout ceci. Tenté d'évaluer les différentes options.

Il se perdit à nouveau dans ses réflexions quelques secondes. Il voulait peser ses mots pour ne pas risquer de l'énerver davantage.

- Croyez-le ou non, mais si je vous dis tout ceci, c'est uniquement par bienveillance, tout comme vous, lorsque vous m'avez accordé votre pardon. Pensez ce que vous voulez, que je suis un calculateur, froid et arrogant, si cela vous chante, c'est de cela que j'ai été taxé toute ma vie. Et j'ai excellé à confirmer ces rumeurs. Mais aujourd'hui, comme je vous l'ai dit, je me montre à vous tel que je suis. Je vous apporte le peu de soutien qui soit en mon pouvoir. Vous vous imaginez que je cours à ma ruine, uniquement parce que... parce que vous ne voyez pas le tableau dans son ensemble. Vous vous défiez de moi, mais vous vous trompez de personne. Le véritable danger ici, ce n'est pas moi.

Phèbe sur les rempart en même temps de Valriel.


Elle n'a pas la force de se battre. Les elfes et leur combine. Les elfes et leur mystères. Toutes sa vie elle avait été balloté dans le brouillard et l'ignorance. Elle soupire et ferme douloureusement les yeux. Une fois de plus on la traitait comme une chose fragile qui demandait soin et protection. Comme si elle était incapable de survivre seule. Ah. Peut-être était ce donc ça... Elle était incapable. La chappe de froid se fait pesante, elle voulait plus d'information mais pouvait-elle subir longtemps ? Elle écarte les bras en signe d'impuissance.

- Je ne vous comprend pas. Je ne souhaite que vous aidez... Mais vous ne comprenez pas hein? Vous êtes persuadé que je fais cela par interêt. 

Elle était abattu. Elle ne pourrait jamais l'atteindre. Pourquoi essayer? Personne n'avait besoin d'elle. Personne.

-Bien, vous voulez me convaincre? Alors dites moi de qui je dois me méfier? De quoi? Je... Je ne sais pas Valriel. Dites moi quelque chose de concret. Vous ne pouvez pas me faire peur avec des fantôme et des spectres. Vous de pouvait pas non plus me convaincre sans me donner ... je ne sais pas... n'importe quoi. Oui n'importes quoi. Vous n'aimez pas que je vous traite comme un enfant? Ne faites pas de même avec moi. Même si à vos yeux je ne suis qu'une seconde éphémère et vaine de votre existence.

Valriel, sur les remparts avec Phèbe, au même moment

Devant son discours erratique et déstructuré, il eut un sourire amer. Il avait fait sa part désormais. Mais il avait tout de même envie d'aller au bout de sa démarche et de la mener à avoir le bon raisonnement. Et pour la suite, advienne que pourra.

- Les choses sont sous vos yeux et vous ne les voyez pas. Est-ce ma faute si vous ne regardez pas au bon endroit ? Je ne vous traite pas comme une enfant, je croyais justement en votre lucidité, en votre intelligence. Regardez autour de vous. Regardez le brave et loyal Mazar, perdu dans sa vertu, regardez la naïve Ivy qui avance les yeux fermés, regardez l'avisé Zéphyriel, ce guerrier-mage gorgé de fierté et d'assurance, regardez l'impérieux et digne Ghorthul, droit et autoritaire... regardez Elia et sa soif de pouvoir fébrile et inextinguible. Alors seulement, vous verrez. 

Il prit une profonde respiration et se recula quelque peu, serein.

- Vous voulez m'aider ? Très bien : restez.

Phèbe dehors avec valriel en haut de muraille. 


Elle le regarda avec intensité. Avais-t-elle compris le message? Parce que si c'était le cas c'était bien la première fois qu'on ne prenait pas sa paranoïa pour un tare. Elle fronce les sourcils :

"Attendez.... soyons claire... ce que vous voulez c'est que je me méfie d'un homme si loyal qu'il en a oublié son existence, d'une gamine ignarde qui essaye de trouver sa place, d'un chef si obtu qu'il en perd de vue son camp, d'un nordique qui couvre sa honte sous un orgueil épuisant, et d'une femme si amoureuse du pouvoir qu'elle ne supporte pas de n'en avoir sur ses propres émotions ?C'est....cela votre avertissement? "

Elle guette son approbation, plisse les yeux:

" Je crois Valriel que c'est la première fois que nous tombons d'accord sur un quelconque sujet. Je voys le répète: je me méfie de tous, pas que de vous."

BlackoutMj a écrit:

Ivy a écrit:

BlackoutMj a écrit:Hamir, salle de repos avec Kiara au même moment


"Très bien petite enquiquineuse ! Tu ne veux plus de distinction ? Alors je ne te ferai pas de cadeau !" 
Hamir répondit à Kiara par un grand sourire carnassier, révélateur qu'il accepterait le défi. Il se tourna et pris la direction de la tour d'entraînement, avant de quitter la salle il tourna la tête vers Kiara et lui lança


- Je t'attends là haut, ne traine pas.

Il reprit son chemin et gravit les marches en colimaçon 3 par 3, traversant les grands escaliers en un éclair.

Kiara, avec Hamir dans la tour d'entraînement le lendemain au petit jours

Elle rejoint Hamir, après avoir enfiler sa robe de combat  traditionnel, et dans un éclat de rire malicieux, elle lui dit  

- Alors Hamir, j'espère qu'à ton âge, tu n'est pas trop rouillé ?  - elle hausse un sourcil avec un sourire en coin - On commence sans armes d'abord veux tu ?  - elle se place en appui, et fait signe à Hamir de l'attaquer-

Hamir, salle d'entraînement,, à l'aube

Il se place face à Kiara et dépose toutes ses armes. Il prend la posture des guerriers Na-Totambu pour la provoquer et réduit la distance entre elle et lui en quelques foulées très légères et rapides. Il commence à envoyer des coups de paume et du bout des phalanges de ses indexs et majeurs vers des points précis visant à engourdir les muscles de Kiara en touchant les nerfs.
La princesse surprise dévie ses assauts mais perd peu à peu du terrain.
Il ne veut pas la blesser mais ne doit pas non plus être doux avec elle et la repousse finalement du plat de la main en frappant son diaphragme. Le coup ne la blesserait pas mais la forcera a reprendre sa respiration un moment.


Il reste ensuite sur place, un sourire aux lèvres, attendant que la petite princesse se relève et contre attaque.


- Alors ?! Je croyais que tu voulais te battre ?!

Kiara avec Hamir meme endroit meme moment.

Le souffle court kiara se tient la poitrine ...
- bien jouer ! - elle avait analyser sont assauts, elle connaissait la technique mais ce n'était pas sa façon de combattre, 
Elle leva ma tête Essoufflé et dans un rire lui dit, 

- intéressant,  Na-totambu hein ? Je vois ... c'était l'échauffement, 

Elle se remet en position, 

Elle lance l'assaut à la manière des Ra-Gada, comme sont père et sont oncle se battaient avant elle. 

Hamir esquive, Kiara profite de sont élan et de sa souplesse pour ce glisser derrière lui et le pousser vers l'avant. Déséquilibré, elle en profite pour le projeter au sol et le maîtriser un genoux sur le torse, une main sous la gorge en faisant comme si elle avait une dague.

- Alors, surpris ?

BlackoutMj a écrit:

Ivy a écrit:Ivy au levé du jour, atelier d'alchimie 

Ivy avait passer la nuit à se tordre de douleurs, son corps était endoloris.. 
Elle se leva, pris du temps pour s'habiller, et décide de tenter de trouver un remède.. pour faire passer la douleur. 

Elle pouvait tenter de créer un remède Elle même, mais préféra cette fois demander de l'aide, et elle se diriga vers l'atelier d'alchimie en espérant trouver Elia

Zahïrk, atelier d'alchimie, au même moment


- Assis sous ses feuilles aux vents, parmi ses mots soufflés doucement.. *humhmhm hum hum huuumhmmm...*

Zahïrk jouait avec des fioles, broyait des plantes et en faisait boulot d'autres. Il chantonne en remplissant des tubes à essaie avec des liquides de couleurs vives pour la plus part et plus sombres et visqueux pour d'autres. Il lève la main au dessus des tubes et, tout en chantant, agite les doigts, laissant de fines particules de lumière se poser dans chaque liquide, les tenants soudainement éclatant et luminescent.
Il aperçoit soudain Ivy qui se tient péniblement debout, une main sur le ventre. Il s'interrompt.

- Bonjour Beek-Ojel, je ne m'attendais pas à voir quelqu'un debout si tôt par ici ! -il regarde sa main- est ce que vous allez bien ? Vous avez besoin d'aide peut être ?

Ivy avec Zahïrk dans l'atelier d'alchimie au même moment 

Elle se tenait dans l'embrasure de la porte, en voyant Zahïrk elle lui sourie. 

- et bien je dois dire que je ne m'attendais pas à vous voir non plus je cherchais notre Archonte, mais vous allez peut-être pouvoir m'aider. 
- à demi-voix, dans un soupire- je ..  je vous avoue que la douleur ne daigne pas se résorber et je cherchais un remède à cela ...

Elle s'approche de l'atelier et attrape une chaise pour s'y assoir dans un grincement douloureux

Mazar, dans la chambre de Phèbe, pendant qu'elle est sorti fumer la pipe a sucrelune dehors avec Valriel ?!?  Ce temps là


Mazar hésitait.. il était dans sa chambre.. seul .. mais pour combien de temps ?! Il voulait savoir ... Il était tiraillé entre sa vertue et sa curiosité et son bassin de connaissance et de compréhension.
Il se leva, se dirigea vers le bureau de Phèbe, "huumm .. deux tiroirs ..", l'un d'eux possédait une serrure et l'autre non ... Il réfléchit "Si il n'y a pas de clé, c'est qu'elle a dû le fermer avec de la magie". Il se retourne donc et commence à fouiller la chambre du regard. Le coffre ! Il n'y avait qu'un seul meuble de rangement dans sa chambre du simple et dénouée de superflu. Il ouvre le coffre, y découvre quelques vêtements simples cachant une robe de bien meilleure facture tous minusieusement bien pliés et rangés. Il sort les habits du coffre et les dépose stratégiquement. Il trouve ensuite deux coffrets et un baluchon mais ne se souci pas de ce dernier. L'un des coffrets est tout à fait ordinaire alors que l'autre est une réalisation bien plus travaillée. Il saisit le premier et l'ouvre, entre plusieurs babioles et bric à brac peu intéressants, il trouve une clé, certainement celle du tiroir du bureau ?
Alors il se relève, retourne vers le bureau et insère la clé. "Ce son ... Ces marques ..?! Quelqu'un aurait il forcé la serrure auparavant ?!" Il réfléchit quelques secondes puis reprend. Il ouvre le tiroir, ce dernier contient des document triés en deux piles ainsi que des nécessaires d'écriture. Ne sachant pas dans combien de temps Phèbe pourrait revenir, il prend le document au dessus de la première pile. Ce dernier parle de lui et surtout..de Valriel ..?!

Mazar parcourt le document, il lui semble qu'une grande partie est un exutoire où Phèbe livre sa frustration à propos de l'Altmer. Il s'indigne, s'offusque, s'énerve ! Il y est écrit qu'il aurait dû être beaucoup plus sévère avec Valriel et moins laxiste sur ses faits et gestes. Valriel aurait manqué de respect et serait odieux avec Phèbe qu'il l'aurait même fait pleurer !?!

- Comment peux tu oser ?! Valriel !!

Elle a sans doute raison ? Il a été trop gentil avec lui et méritait peut être une discussion et une sanction ?!
Dans la crainte de se faire prendre en train de fouiner, Mazar entreprit de tout ranger correctement, il prend bien soin de retrier et réarranger les documents et de les remettre à leur place dans le tiroir, le reverouille, replace la clé dans le coffret, remet les coffrets au fond du coffre (il s'attarde un moment à examiner le coffret plus ouvragé) puis remet delicatements les habits dans l'ordre inverse de celui avec lequel il les a sorti pour que tout soit exactement comme si il n'avait rien touché puis il referme le coffre et sort de la chambre, bien décidé à trouver Valriel pour lui parler.

Il se dirige vers les dortoirs commun, ouvre discrètement la porte, se faufile à l'intérieur jusqu'au lit de Valriel - Il n'est pas là - Mazar grommele, se retourne et ressort.
Il se dirige vers le RDC pour aller voir au réfectoire et dans la salle de repos puis dans la cour mais ne voit personne..

Il décide donc de partir à sa recherche à l'extérieur, dans l'enceinte de la Citadelle.

Phèbe a écrit:"Attendez.... soyons claire... ce que vous voulez c'est que je me méfie d'un homme si loyal qu'il en a oublié son existence, d'une gamine ignarde qui essaye de trouver sa place, d'un chef si obtu qu'il en perd de vue son camp, d'un nordique qui couvre sa honte sous un orgueil épuisant, et d'une femme si amoureuse du pouvoir qu'elle ne supporte pas de n'en avoir sur ses propres émotions ?C'est....cela votre avertissement? "

Elle guette son approbation, plisse les yeux:

" Je crois Valriel que c'est la première fois que nous tombons d'accord sur un quelconque sujet. Je voys le répète: je me méfie de tous, pas que de vous."

Valriel, sur les remparts près de Phèbe, toujours en pleines messes-basses

Il lui adressa un sourire et un éclat de malice luit dans ses pupilles brillant comme deux émeraudes.

- Exact. Vous venez de comprendre. Mais à la lumière de cette prise de conscience, permettez-moi de vous poser une question : si vous savez cela, si vous vous méfiez avec autant de sagesse des gens qui partagent votre vie, pourquoi rester ici, là où plane le danger ? Est-ce cela que vous recherchez au fond ? Je ne vous juge pas. Vous êtes libre de vos choix, après tout. J'ai moi-même fait des choix difficiles à comprendre de l'extérieur.

Phèbe, avec Valriel sur les remparts,


Elle n'avait pas besoin de réfléchir à la question. La réponse était évidente. Mais elle n'avait aucune idée de comment expliquer ça à quelqu'un d'aussi opaque que Valriel. Elle ne voulais pas avoir l'air naïve mais avec lui l'honnêteté semblait être la seul chose qui puisse l'atteindre d'une quelconque façon. Elle s'approcha un peu en avant:

- La liberté a un coût, Valriel. Je n'ai pas assez pour le payer. Je n'ai jamais eu assez. J'ai eu bien des prisons. Elles n'ont pas toujours été d'acier ou de fer. Je suis ici à cause d'une nouvelle prison.... 

Les mots moururent sur ses lèvres. Elle ne sut pas si elle devait continuer. Elle n'était pas sûre de le vouloir. Les douleurs du passé, elle était lasse de les subir. Elle jette un œil à son interlocuteur.

Valriel, en compagnie de Phèbe, sur les remparts

Un voile de mélancolie passa dans les yeux de l'Altmer. Un instant. Un très bref instant. Il baissa les yeux vers Phèbe, soucieux qu'il ait laissé transparaître les émotions que ses mots ramenaient en lui. Il voyait bien, qu'elle-même était troublée. Instinctivement, comme pour se rassurer, il passa sa main dans la poche intérieure de sa chemise et posa ses doigts sur l'objet qui s'y trouvait. Son regard reprit alors une force plus vive.

- "La liberté a un coût". Oui. Cela, c’est vrai. J'ai moi-même dû payer le prix fort pour cette liberté, à de multiples reprises. J'aimerais vous donner un conseil : si vous êtes emprisonnée, ne restez pas ainsi. Quels que soient les barreaux et les chaînes, trouvez les ressources nécessaires pour vous en défaire. Dites-moi, Phèbe : qu'est-ce qui vous retient ?

Mais elle plaqua alors sa main contre son torse. Valriel baissa les yeux, interloqué par ce contact soudain. Que cherchait-elle à faire ?

Elle lui dit alors :

Je sens que Mazar approche...

Mazar, dans la cour, quelques minutes plus tard


Après avoir fait une grand tour de la citadelle, Mazar retourna vers le bâtiment principal. Jusque là, aucune trace de l'Altmer, si il n'était pas dehors, il sera peut être sur les remparts.


Il gravit les escaliers en colimaçon vif comme le vent et arrive au dernier étage de l'une des tours et sort sur les remparts. Il décide de faire le tour et longe toute la façade Ouest et celle au Nord avant de d'arriver dans celle à l'Est. C'est là qu'il devient témoin d'une scène ... Valriel, penché devant Phèbe qui est dos à un mur et une main sur son torse ! Etait il en train de l'acculer ?! Lui mettait il la pression ?! Etait il en train de tenter de la séduire ou .. pire ??!


- Qu'est ce qu'il se passe ici ?! Eloignes toi d'elle !! - Il se rue vers Valriel et Phèbe - Ne la touches pas !

Valriel, sur les remparts avec Phèbe, Mazar et le désarroi

En voyant Mazar et en entendant sa voix remplie de colère, avec des gestes calmes, Valriel recula d'un pas et leva les mains en signe de reddition. Il regarda le Rougegarde en essayant d'avoir l'air le plus serein possible. Il jeta un coup d'œil à Phèbe. Il espérait dissiper le malentendu quel qu'il soit, mais il attendait d'abord d'entendre ce que Mazar avait à dire.

Phèbe sur les remparts avec les deux autres zigotos

Phèbe en entendant Mazar fut plus qu'interloqué. Avait-il jamais parlé aussi froidement à Valriel? Qu'est ce que c'était que cette histoire? Constatant la réaction coupable de l'écuyer, elle leva les yeux au ciel et s'interposa presque immédiatement entre eux. 

"Qu'est-ce qu'il te prend Mazar? Pourquoi tu nous agresse?"

Mazar enragé sur les remparts avec sa femme et un elfe suspicieux


Mazar arrive devant Phèbe et arrête sa course frénétique juste avant de la percuter et il baisse les bras en signe de capitulation


- Non ! euh ! C'est que j'ai cru .. il avait l'air de ..! J'ai eu peur qu'il ...!

Il arrête de baragouiner, voyant qu'elle ne courait en fait aucun danger.


- Votre proximité soudaine, le fait que vous soyez souvent à l'écart tous les deux, votre voyage ... vos .. secrets ... Je ne .. - il fixe Phèbe dans les yeux - Excusez moi..

Il réfléchit un instant puis fini par dire


- Que faisiez vous ? Pourquoi êtes vous là ?

Phèbe, en haut des murailles avec un chevalier et son écuyer.


Elle ancra ses poings sur ses hanches. Cet homme allait la rendre folle! Elle savait que c'était une mauvaise idée de lui avouer ses sentiments! Qu'il pouvait être idiot parfois! Avec toute l'exaspération du monde lui répondit: 

"Je ne sais pas Mazar? Que crois-tu que nous faisions? Attends... Sérieusement tu as crut que.. quoi? Avec lui? Mais qui t'as mis ça en tête?"

Valriel, assistant à la scène avec Phèbe et Mazar, sur les remparts

Amusé, il se redressa en arrière et croisa les bras sur son torse en se figurant ce que Mazar s'était imaginé. Il avait vraiment cru qu'ils étaient intimes ou quelque chose dans cet esprit ? Il eut un sourire en réalisant que, vu de l'extérieur, cette scène pouvait être effectivement perturbante. Cela, il n'avait pas cherché à le faire. Mazar avait malencontreusement été le témoin de cette scène. Mais ne valait-il mieux pas qu'il s'imagine cela, plutôt qu'il n'apprenne ce qu'il venait de dire à Phèbe ? Quoi qu'il en soit, il fallait rattraper cette situation au plus vite.

Il ajusta sa chemise dont le col s'était quelque peu délacé lorsque Phèbe y avait posé sa main. Décidément, les choses ne jouaient pas en sa faveur... Il enchaîna d'une voix douce et chaleureuse :

- J'avais seulement quelque chose à dire à Phèbe pour la remercier de son présent de l'autre fois. Nous nous sommes croisés fortuitement sur les remparts et tu es arrivé, Mazar, voilà tout.

Hamir, avec Kiara dans la salle d'entrainement, au même moment


Il sourit, attrape le bras de Kiara, la tire sur le côté en se tournant pour la renverser au sol et reprendre l'avantage mais elle se libère avec une roulage arrière et s'éloigne légèrement. Les deux combattants de retour sur pieds se ruent l'un sur l'autre, Kiara donne un coup de genou dans les cottes à Hamir, se dernier se penche sous le choc mais en profite pour lui asséner un coup de coude dans le ventre. Elle saisit son bras, le tire en avant et lui donne un coup de genou dans le ventre et elle fait le marteau en joignant ses mains pour le frapper sur le dos et le faire tomber. Hamir chute au sol lourdement, néanmoins il attrape la cheville de Kiara et la renverse en roulant au sol, s'écarte d'elle pour se remettre debout et lui saute dessus en reprenant sa posture, un genou sur le torse et une main sur la gorge.

- Alors, qu'est ce que tu disais ? ... Surpris ?! - Il s'interrompt en se rendant compte de sa position bien trop proche et intime avec son genou appuyant sur la poitrine de la Princesse. Il perd légèrement contenance et en oubli un moment le but de cet entrainement - Euh humm .. Oui ..

Il détourne le regard.

BlackoutMj a écrit:Hamir, avec Kiara dans la salle d'entrainement, au même moment


Il sourit, attrape le bras de Kiara, la tire sur le côté en se tournant pour la renverser au sol et reprendre l'avantage mais elle se libère avec une roulage arrière et s'éloigne légèrement. Les deux combattants de retour sur pieds se ruent l'un sur l'autre, Kiara donne un coup de genou dans les cottes à Hamir, se dernier se penche sous le choc mais en profite pour lui asséner un coup de coude dans le ventre. Elle saisit son bras, le tire en avant et lui donne un coup de genou dans le ventre et elle fait le marteau en joignant ses mains pour le frapper sur le dos et le faire tomber. Hamir chute au sol lourdement, néanmoins il attrape la cheville de Kiara et la renverse en roulant au sol, s'écarte d'elle pour se remettre debout et lui saute dessus en reprenant sa posture, un genou sur le torse et une main sur la gorge.

- Alors, qu'est ce que tu disais ? ... Surpris ?! - Il s'interrompt en se rendant compte de sa position bien trop proche et intime avec son genou appuyant sur la poitrine de la Princesse. Il perd légèrement contenance et en oubli un moment le but de cet entrainement - Euh humm .. Oui ..

Il détourne le regard.

Kiara et Hamir, dans la tour d'entraînement au même moment 

Vexée, piquer à vif et gêner, elle profite de la gêne du moment pour lancer sa jambe et balayer celle d'Hamir qui tombe sur le sol, d'une roulade souple elle sa relève, attrape des deux épées d'entraînement, et en lance une au pied d'Hamir.

- Hum ... bon assez rigoler ... - En se râclant la gorge - 

Elle se redresse et se remet en position de combat.

- On attaque les choses sérieuses ?  Ou tu es fatigué, peut être ? .

Elle provoque d'un sourire en coins et campe sur ses appuis, attendant la riposte