Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses 
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?




Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

• Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle. 
  

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

• Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.
  

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

• Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.
  

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle 
[suite du message]

• Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.
  

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles. 

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.


Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :







Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Elia, tour d'entraînement, au même moment

Amère retombée. Leçon humiliante. Elle l'avait ménagée et avait suivi les codes du duel magique. Elle se releva, se massant les reins, les sourcils froncés. Elle regrettait d'avoir joué dans les règles, là où elle avait agi sournoisement. Elle avait espéré pouvoir inculquer à sa consœur les bases d'un combat respectueux. Sur le Dévoreur de Sloads, elle avait été habituée à ce genre de pratiques et avait adapté son mode de combat en conséquence. Mais aujourd'hui, elle avait espéré affronter une véritable collègue sur un pied d'égalité, un adversaire digne de ce nom. Elle avait fait preuve de bienveillance et elle lui avait renvoyé son aide à la figure. "Pourquoi est-ce que je me fatigue à faire confiance aux autres, au juste..." se morigéna-t-elle, intérieurement.

Elle lui adressa un regard lourd de lassitude. Elle n'était pas fâchée, elle était déçue. D'une voix exempte d'émotion, elle dit seulement :

- Phèbe, il est temps que tu apprennes une bonne fois pour toutes à te battre, non pas comme un vulgaire malandrin, mais comme une magicienne. Nous ne sommes pas des rustres sournois. C'est vrai que sur le terrain, nous ne sommes pas à l'abri de ce genre d'attaques. Mais de ta part, je m'attendais à mieux.

Phèbe, dans la tour d'entraînement avec Elia et Mazar.

Phèbe appuis sur la blessure en écoutant le sermon d'Elia. Elle baissa le tête avant de lui répondre: "Tu oublies quelque chose: je ne suis pas une magicienne, Elia." Elle ne cacha pas son amertume. "Je ne suis pas non plus un guerrière comme Mazar me l'a rappelé. Je ne sais pas me battre comme vous, je ne sais pas faire de la magie comme vous, je ne connais pas les règles et je ne connais certainement pas les subtilités."

Abattut elle n'eu même pas la force de s'énerver. Elle abandonna la dague et le bâton au sol et tourna le dos à Elia et Mazar.

"Valriel, Mazar et maintenant toi? Oui je suis une vulgaire malandrin. Désolée de tous vous décevoir, je n'ai rien de mieux pour vous. Rien. Mon seul maître a été la réalité et dans mon monde je n'ai jamais rencontré de mage qui m'est épargné quand j'étais désarmé. Vous avez raison, on ne peut rien attendre de mieux de moi. Je suis pourris depuis longtemps"

Elle se sentit vaincu. Elle ne voulait plus essayer de donner le meilleurs d'elle même. Au final, elle ne changerait jamais.

Elia, dans la tour d'entraînement, au même moment

À mesure qu'elle écoutait le discours fataliste de Phèbe, elle se renfrogna, croisant les bras sur sa poitrine. Elle ne supportait pas que l'on puisse ainsi accuser la force des choses et surtout, elle n'aimait pas la voir retomber dans cette aura de pessimisme. "Et qu'est-ce que Valriel et Mazar ont à voir avec ça, par-dessus le marché ?". Impatiente de lui répondre, elle se contint néanmoins pour ne pas lui couper la parole et la laisser terminer, mais dès lors qu'elle eut fini sa tirade, elle enchaîna :

- Oh, allons, nous savons toutes les deux que ce discours ne te mènera à rien. Et que vas-tu faire maintenant que tu es arrivée à ce constat ? Tu vas te laisser aller au désespoir, te conforter dans cette idée que tu ne sais rien faire d'autre ? Nous avons tous nos faiblesses et plus tôt nous les acceptons, mieux cela vaut. Tu n'es pas une magicienne ? Tu manies la magie, alors tu en es une. C'est aussi simple que ça. Sois fière de ce que tu es. Laisse les vipères qui foulent le sol se servir de ruse et de dagues empoisonnées. Tu es une magicienne, et tu es forte. Tu te plains de ne pas savoir comment faire ? Alors, apprend. Mais ne laisse pas ce genre d'évènements te convaincre que tu vaux moins que les autres.

Elle la fixa du regard avec gravité. Elle finit par lâcher dans un rire aussi spontané qu'inattendu :

- Mais par pitié, ne me mets plus de lame sous la gorge !

Hamir, Cuisine, au même moment


- Des livres ? hmm .. D'accord, je vais aller la chercher. Merci à vous deux ! A plus tard !

Il salue les deux compagnons avec une inclination respectueuse et sorti du réfectoire en direction de la salle commune à la recherche de Kiara. Ne voyant personne il monte au dortoir mais ne la trouve pas non plus. Alors il descend vers la bibliothèque et constate d'abord l'atmosphère austère du lieu.


Il allume une lanterne et entre dans la bibliothèque, il entend des voix : Une jeune femme et un Argonien, c'est sûrement eux ! Il accélère le pas. Quelques mètres plus loin il trouve enfin Kiara attablé devant une pile de livres et Ancre-les-Mots debout en face d'elle.


- Ah, enfin vous voilà ! Je vous cherchez. - Il salue l'Argonien qui le toise du regard - Que faites vous donc ?? Demanda Hamir à sa congénère Rougegarde.

Lilyth a écrit:Ancre-les-mots, dans la bibliothèque


Il croisa les bras.

"Mais je ne vous permet pas de m'interdire quoique se soit. Si il me plait de demander conseil à un collègue ca ne vous regarde aucunement! Est-ce que je juge vos méthodes et vos lectures moi?! Si je m'intéresse a des textes juridiques c'est mon problème. Continuez donc à chasser des légendes et vous attraperez des chimères. Non mais vous n'allez pas m'apprendre mon métier tout de même! Vous croyez que c'est spécialement pour vous que je daigne communiquer avec ma communauté? Vous êtes bien prétentieuse!"

Il était visiblement outré et Kiara nettement perdue. Il décrocha de son étrange ceinture un rouleau de parchemin et commença à énumérer les textes qu'il souhaitais consulter ou sur lesquels il avait besoin d'une opinion, leur auteur, leur date d'écriture, leur lieux de conservation ainsi que la personne à qui il adressait cette demande. Il énuméra exhaustivement la liste. Avec un sérieux à faire pleurer les murs de prison.

Kiara bibliothèque au même moment 

Elle se redressa, et fixa l'argonien avec froideur, 

- Encre-les-mots !, nous avions un accord vous et moi, vos mots non t-il aucunes valeurs ? De plus, les informations que je cherche, tous ceci doit rester confidentiel, c'est un ordre donné par Dame Elia, l'archonte ! Souhaitez-vous l'incommoder ? Ou nuire à ses ordres ? J'en doute donc, vous ne dirais rien à personnes, nous ... enfin Je trouverais les informations seule, soit vous m'aidez soit vous allez voir si j'y suis ailleurs ! 

Elle s'assit, en colère, et posant son coude sur le secrétaire, la main sur son front, signe qu'elle bouder l'argonien.

Hamir entre dans la pièce au même moment, elle se redresse, 

- Oh ... Hum Hamir ? Bonjour, des ... recherches culturelles, c'est à ça que sert une bibliothèque, non ?

Phèbe même endroit même moment.

Elia disait qu'elle devait être fière pourtant elle dénigrait ses méthodes. Habituellement, elle aurait été hors d'elle. A la place, elle fut endoloris par un émotion nouvelle: le découragement. Elle ne répondit pas car tout ce qu'elle pourrait dire se heurterait à un mur de pragmatisme. 

Elia oubliait encore une fois un détail, elle n'avait pas 20 ans ni même 30. En réalité cela était un handicap bien plus importante qu'une jeune femme comme elle ne pouvait pas imaginer. Apprendre une discipline si complexe demandait des capacités qu'elle n'avait plus. Elle mourrait probablement avant d'atteindre le niveau d'un simple mage de guilde de campagne. Elia lui donnait un discoure en oubliant que Phèbe dans sa vie avait déjà mille fois du affronter la fatalité de son incompétence ou de sa compétence. Elle savait. Elle savait très bien. On peut survivre avec un rien. Il ne faut ni être le meilleur, ni le plus malin. Il n'y a aucun prérequis pour survivre. Phèbe n'avait pas honte de qui elle était parce que tout simplement elle savait que personne n'avait les même armes pour se défendre. Celle qu'on nous donne, comme celle qu'on obtient.

Elle frissonna. Elle avait froid. Si froid. Comme si tout son corps était encore piéger dans l'étreinte d'Elia. Son abdomen la lance, une douleur discontinue. Elle regarde sa main, trop tard pour arrêter l'hémorragie. Elle a un sourire mi figue mi raisin: "Mazar... J'aurais du t'écouter." A bout de force elle vacille, prête à s'effondrer. Elle a tellement froid, qui avait voler toute la chaleur de l'univers? Qui avait semer dans son âme le vide et le silence? Et elle finis par sombrer.

Ancre-les-mots, dans la bibliothèque, avec maintenant deux rougegardes.


"Mais vous êtes complètement boucher ma parole!" Il refusait toujours de monter le ton, parlant à mi-voix avec distinction et précision. Il toisa le nouvel arrivant. "Oh vous avez besoin de quelque chose peut-être?"

Valriel, au réfectoire, après s'être retrouvé à nouveau seul avec Ivy

Il regarda le Rougegarde repartir avec satisfaction et lorsqu'il fut certain qu'il s'en était véritablement allé, il s'assit sur une chaise aux côtés d'Ivy, croisant les bras sur la table, se penchant vers elle, plongeant son regard dans le sien.

- Bien, à présent dis-moi. Comment te sens-tu ? Vraiment ?

Général Patafouin a écrit:Valriel, au réfectoire, après s'être retrouvé à nouveau seul avec Ivy

Il regarda le Rougegarde repartir avec satisfaction et lorsqu'il fut certain qu'il s'en était véritablement allé, il s'assit sur une chaise aux côtés d'Ivy, croisant les bras sur la table, se penchant vers elle, plongeant son regard dans le sien.

- Bien, à présent dis-moi. Comment te sens-tu ? Vraiment ?

 Ivy réfectoire au même moment avec Valriel 

Hamir enfin partie, elle plongea ses yeux dans ceux de Valriel ... 
- Comment je me sens ? Sincèrement ?  - éprise entre, la douleur, la fatigue, la culpabilité, elle ne savait pas trop comment dire les choses, alors elle se lança un peu, sans réfléchir, la voix nouée par l'émotion.

- Je ... je mal Valriel, je ne vous mentirais plus, je suis tellement désolé pour tous ... Je ne sais pas comment réagir à ce qu'il sait passer ... je désolais Valriel vraiment.

Sur la fin de ses mots, elle s'écroula en larmes, posant sa tête dans ses mains, la pression, la fatigue s'évacuer à grandes eaux.

Lilyth a écrit:Ancre-les-mots, dans la bibliothèque, avec maintenant deux rougegardes.


"Mais vous êtes complètement boucher ma parole!" Il refusait toujours de monter le ton, parlant à mi-voix avec distinction et précision. Il toisa le nouvel arrivant. "Oh vous avez besoin de quelque chose peut-être?"

Kiara bibliothèque au même moment avec Ancre-les-mots et Hamir 

- mais à quoi je m'attendais venant d'un lézard qui reste enfermer dans une grotte remplie de livres ? - 

Kiara ne relèva pas la remarque, elle se contenta de prendre les livres dans bras, chargé  elle se dressa fièrement devant l'argonien. 

- Merci pour votre ... aide. Aurevoir Monsieur ! 

Elle se retourne vers Hamir, 

- Si vous me cherchez je vais dans la salle de détente ! 

Elle partie, remonter et tendue, d'un pas décidé jusqu'à la salle de détente. Sans attendre Hamir qui était venu pour la trouver.

Elia, tour d'entraînement, avec Phèbe et Mazar

Elle ne l'avait pas vu venir. Elle regarda Phèbe défaillir et se rua vers elle, convaincue d'abord que sa remarque avait été de trop, qu'elle avait fini par être trop dure avec elle. Elle vit alors la tâche de sang qui commençait à grossir sur ses bandages. Elle réalisa alors la faiblesse de son aînée. Elle n'y avait simplement pas songé, trompée par la quantité d'énergie magique qu'elle avait déployé. Elle avait eu l'impression qu'elle était rétablie. Elle s'agenouilla près d'elle, désemparée. Elle connaissait bien quelques sorts de soin, mais elle avait besoin d'être recousue ou qu'un guérisseur l'examine. Elle se sentait si maladroite pour prendre soin des autres...

Malgré tout, elle prit son courage à deux mains et sans attendre la réaction de Mazar, déchira les bandages pour faire apparaître la plaie. Elle posa ses mains en suspens au dessus de la blessure et utilisa ses connaissances rudimentaires en magie de guérison pour calmer l'hémorragie. Elle tourna alors la tête vers Mazar, précipitamment.

- Ne reste pas là, va chercher de l'aide ! Je n'aurais bientôt plus assez d'énergie...

Valriel, au réfectoire en compagnie d'Ivy

Ivy a écrit:- Je ... je mal Valriel, je ne vous mentirais plus, je suis tellement désolé pour tous ... Je ne sais pas comment réagir à ce qu'il sait passer ... je désolais Valriel vraiment.

Sur la fin de ses mots, elle s'écroula en larmes, posant sa tête dans ses mains, la pression, la fatigue s'évacuer à grandes eaux.

Même si ce genre de geste lui était peu habituel, il posa une main sur l'épaule de la jeune Brétonne qui s'effondrait en larmes.

- Ce n'est pas grave, Ivy, ne vous excusez pas. Manquer de se faire arracher son âme, c'est forcément douloureux et éreintant. Nos corps mortels ne sont pas habitués à de telles choses, surtout avec des méthodes aussi barbares que celles employées par ces nécromanciens...

Il se concentra et prit une brève inspiration, scrutant un peu plus la jeune femme, cherchant à percevoir son énergie magique.

- Et comment ressens-tu ton corps ? Tes sensations ? As-tu l'impression qu'elles t'appartiennent ?

Ivy réfectoire au même moment 

Elle hocha la tête, est posa sa main sur la sienne.
Elle l'ecouta et ferma les yeux.

Une sensation étrange parcouru son corps tout entier, des frissons, habillé ses bras. Un sentiments douloureux pris le dessus, - elle écouter sa voix - des images lui parvint, inconnue, les lieux, les textures, les sons rien ne lui était familier. Ce n'était pas ses souvenirs, ni ses rêves ou même ses cauchemars.
Elle était comme pétrifiée, piéger dans des pensées qui ne sont pas les sienne, une désagréable sensation lui opressais la poitrine.

Cela dura quelques instants, des minutes interminables.

Elle releva la tête lentement fixant Valriel, perdue, bouleverser elle fronça les sourcils sans trop comprendre ... 

- hum ... Non je ne sentait plus mes membres, mon corp était endoloris, je ne contrôler rien ... et ses images ... ne m'appartenait pas ... je ne comprend pas Valriel ? Qu'est-ce-que c'était ?

Ses larmes avaient séché, les étranges sensation disparus.

Korsen dans la tour d'entrainement


Le Nordique, montant dans la tour d'entrainement croisa Mazar dans les escaliers dont il a été sujet à un petit coup de feinte afin d'essayer de lui faire rater une marche ou deux, mais ce sans succès. Korsen ricana bêtement, seul. Lorsqu'il était en haut de la tour, il s'aperçu du tableau dramaturgique pour lequel il n'avait aucune compassion. Phèbe en sang, il s'avança vers elle, sarcastique :

- Ben tiens. On t'a à peine lâché dans la nature pour un foutu dessein pour quoi au final ? Te retrouver faiblarde. Faudrait euthanasier les êtres de ton espèce qui sont au pied de la chaîne alimentaire, ça fera plus de place pour les vrais combattants.
la pointa-t-il vindicativement du doigt avec mépris.

Mazar dans la salle d'entraînement avec Phèbe et Elia




Mazar avait suivi tout le combat sans cligner des yeux, durant presque la totalité de celui ci il craignait que Phèbe subisse plus de dégât qu'elle n'en a déjà .. La bague .. la bague rougeoyait, puis étincelait, avant de briller complètement.
Lorsque Phèbe prit le dessus sur Elia, il voulut accourir vers sa bien aimée, pensant un moment que cela mettrait fin au combat et il commençait à revenir vers les deux femmes mais l'attaque fourbe de Phèbe le fit s'arrêter momentanément sur place et il attendit que les deux magiciennes se relèvent avant de se rapprocher. Leur discussion était froide et pleine de ressentiment. Certes, Phèbe n'avait pas suivi un "code d'honneur du guerrier" mais il pensa qu'elle avait raison malgré tout - Même si ça façon de faire était un peu conventionnelle - Il s'approcha de Phèbe et laissa les deux femmes finir leur discussion avant de lui demander quoi que ce soit mais .. 

- "Mazar ... j'aurais dû t'écouter."

Phèbe chancelle et s'évanouie. Elia réagit aussitôt, se précipite près d'elle et lui arrache ses bandages et appose ses mains contre sa plaie pour lancer un sort de sain, basique mais qui pourrait faire la différence. Mazar se rue sur elles mais trop tard .. Phèbe est inconsciente et Elia ordonnes à Mazar d'aller chercher de l'aide. Le Rougegarde reste un moment proche de la Brétonne , agar.

- Phèbe !! Phèbe ?! Réponds moi je t'en prie - Il remarque le sang sur la main, ses blessures rouvertes. Il hurle - UN SOIGNEUR !!!

Elia le somme de trouver un guérisseur pendant qu'elle utilise ses dernières ressources pour diminuer la blessure de Phèbe. Il court sans sommation en dehors de la salle d'entraînement en appelant à qui peut bien l'entendre "à l'aide ! Un guérisseur !!". Il manque de tomber à cause de Korsen qui le ralenti mais il n'a pas de temps à perdre avec lui.
Par chance ! Zahïrk, qui était durant ce temps là devant le quartier des officiers, les vit arriver et sans poser de questions alla à la rencontre de Mazar.

- Mazar ?! Que se passe-t-il ?! Demanda l'Argonien

- PAS LE TEMPS !! IL FAUT LA SOIGNER !! VITE ! VIENS AVEC MOI !!

L'Argonien s'exécuta et il partirent vers la tour. Zahïrk entreprit de l'ausculter avant de générer des faisceaux lumineux chaleureux tout autour de Phèbe, comme si une aura la recouvrait ; Une bulle apaisante. Zahïrk amplifia ensuite ses pouvoirs et créa une orbe de soin au dessus de Phèbe. Ses blessures commencèrent à se refermer et petit à petit à se résorber.

- Elle est hors de danger.. mais elle devra faire moins d'effort, se reposer et reprendre des forces. Je ne peux pas lui rendre le sang qu'elle a perdu.

- Merci, Zahïrk, merci infiniment ! Je te suis une fois de plus redevable ! Dit Mazar, les yeux rougit par la colère, la tristesse, la peur ...

Elia, tour d'entraînement, au même moment

"Mais qu'est-ce qui lui prend à hurler comme ça ? Est-ce qu'il va... pleurer ?!". Une main posée sur son oreille, les tympans meurtris pas les cris du Rougegarde, Elia regardait Mazar gesticuler avec consternation et elle fut heureuse de le voir obtempérer à ses instructions pour mieux se concentrer. C'était sans compter sur l'apparition d'un nouveau venu dont elle reconnut immédiatement la voix rocailleuse.

Korsen a écrit:- Ben tiens. On t'a à peine lâché dans la nature pour un foutu dessein pour quoi au final ? Te retrouver faiblarde. Faudrait euthanasier les êtres de ton espèce qui sont au pied de la chaîne alimentaire, ça fera plus de place pour les vrais combattants.

Elia lui lança un regard affligé, même si d'un côté, la présence de cet énergumène qui ne s'émouvait pas plus que cela de toute la scène contrebalançait avec le mélodrame que vivait Mazar et lui offrait une fenêtre pour souffler un peu. Elle lui dit calmement :

- C'est pour ça que vous êtes monté, Korsen ? Critiquer les blessés de l'entraînement du matin ?

 Elle ne sut dire si elle était soulagée de voir Mazar remonter avec l'Argonien. Elle pouvait sentir d'ici l'agitation du chevalier et elle aurait préféré ne pas assister à ses excès d'émotions débordantes. Toutefois, avec efficacité, Zahïrk soigna la plaie de Phèbe et la situation fut rapidement rétablie. Elle dut réprimer un haut-le-cœur lorsque le Rougegarde remercia le lézard comme s'il venait de tous leur épargner une mort certaine. Son manque de tempérance l'exaspérait. Elle ne put se retenir davantage.

- Tu sais qu'elle n'allait pas mourir, au moins ? Inutile de te mettre dans un tel état, chaque fois qu'une écharde lui rentrera dans le pied. Rien qu'une fois, tu ne pourrais pas garder ton calme ? - lança-t-elle, piquante.

Valriel, réfectoire, au même moment

Ivy a écrit:Elle releva la tête lentement fixant Valriel, perdue, bouleverser elle fronça les sourcils sans trop comprendre ... 

- hum ... Non je ne sentait plus mes membres, mon corp était endoloris, je ne contrôler rien ... et ses images ... ne m'appartenait pas ... je ne comprend pas Valriel ? Qu'est-ce-que c'était ?

Il observa Ivy un moment, guettant la moindre de ses expressions. Il retira finalement sa main et se redressa. Il semblait réfléchir. Il lâcha avec gravité :

- Vous devriez faire plus attention à qui vous confiez votre âme, Ivy. Ces choses-là sont si fragiles et précieuses...

Il se releva subitement et annonça sur un ton plus léger, attrapant une assiette posée sur la table :

- Il faut que vous repreniez des forces. Il va vous falloir plus qu'un vulgaire potage. Je vais aller voir ce qu'il y a de bon en cuisine.

Lilyth a écrit:Ancre-les-mots, dans la bibliothèque, avec maintenant deux rougegardes.


"Mais vous êtes complètement boucher ma parole!" Il refusait toujours de monter le ton, parlant à mi-voix avec distinction et précision. Il toisa le nouvel arrivant. "Oh vous avez besoin de quelque chose peut-être?"

Hamir, dans la bibliothèque, au même moment


Hamir regarde les deux individus, visiblement il y avait eu un conflit ici.

- Excusez moi, je cherchais simplement la demoiselle que voici - il désigne respectueusement Kiara d'un geste de la main - je ne vous dérange pas plus, Bé~éko ?

Il sourit faussement à Ancre-les-mots et emboîte le pas de Kiara


- Je vous suis, je pourrai peut être vous aider si vous avez besoin ? - Il lui demande plus bas - Pourquoi faites vous des recherches ?

Général Patafouin a écrit:Valriel, réfectoire, au même moment

Ivy a écrit:Elle releva la tête lentement fixant Valriel, perdue, bouleverser elle fronça les sourcils sans trop comprendre ... 

- hum ... Non je ne sentait plus mes membres, mon corp était endoloris, je ne contrôler rien ... et ses images ... ne m'appartenait pas ... je ne comprend pas Valriel ? Qu'est-ce-que c'était ?

Il observa Ivy un moment, guettant la moindre de ses expressions. Il retira finalement sa main et se redressa. Il semblait réfléchir. Il lâcha avec gravité :

- Vous devriez faire plus attention à qui vous confiez votre âme, Ivy. Ces choses-là sont si fragiles et précieuses...

Il se releva subitement et annonça sur un ton plus léger, attrapant une assiette posée sur la table :

- Il faut que vous repreniez des forces. Il va vous falloir plus qu'un vulgaire potage. Je vais aller voir ce qu'il y a de bon en cuisine.

Ivy, dans le réfectoire avec Valriel au même moment, 

Les mots de l'altmer résonner comme une mélodie presque réconfortante, elle lui sourie, Il était toujours si gentil et attentionné avec elle, toujours agréable, serviable et doux.

- Merci Valriel, mais j'aimerais prendre l'air, nous mangerons juste après avec plaisir mais j'aimerais vous montrer quelques choses, venais avec moi.

Elle se redressa douloureusement, s'accrochant au bras de l'altmer.
Ils restèrent à la citadelle, traverser simplement la cours jusqu'au petits coins paisible ou ils avaient eu un rendez-vous la première fois.

- Vous vous rappelait ce jour là Valriel ? J'avais même réussi à vous faire piquer une tête  - dans un rire léger - nous avions bien discuté tous les deux ce jours et je vous ai dit quelques chose que je pense vraiment encore aujourd'hui.

Elle se tenait debout dos à lui face à l'horizon. Elle se retourna pour lui faire face.

- Je ... je vous avez dit que je ressentais que vous étiez une bonne personne et que votre âme était bonne. Alors ... 

Elle leva sa capeline, pour en sortir un étui de velours rouge, et lui tendit avec les deux mains en baissant la tête ceremonieusement.

- Ce n'est pas un cadeau, enfin pas comme ont l'entend habituellement  - les larmes couler sur ses joues mais elle rester droite et sérieuse - Voici la lame qui a volé mon âme Valriel !, vous comme moi savons, le danger que cela représente de laisser se genre d'artefacts entre de mauvaise mains. Je ... je vous considère énormément Valriel, vous êtes un ami, un sauveur, quelqu'un de bien ! Alors c'est sans aucune hésitation que je vous confie la Lame qui a vue passer mon âme.

Elle pleurer, ses mains trembler, sa poitrine l'oppreser. 
Elle connaissait les capacités de Valriel et savait que lui seul prendrait en compte l'importance de cette dague.

BlackoutMj a écrit:

Lilyth a écrit:Ancre-les-mots, dans la bibliothèque, avec maintenant deux rougegardes.


"Mais vous êtes complètement boucher ma parole!" Il refusait toujours de monter le ton, parlant à mi-voix avec distinction et précision. Il toisa le nouvel arrivant. "Oh vous avez besoin de quelque chose peut-être?"

Hamir, dans la bibliothèque, au même moment


Hamir regarde les deux individus, visiblement il y avait eu un conflit ici.

- Excusez moi, je cherchais simplement la demoiselle que voici - il désigne respectueusement Kiara d'un geste de la main - je ne vous dérange pas plus, Bé~éko ?

Il sourit faussement à Ancre-les-mots et emboîte le pas de Kiara


- Je vous suis, je pourrai peut être vous aider si vous avez besoin ? - Il lui demande plus bas - Pourquoi faites vous des recherches ?

Kiara, salle de repos avec Hamir au même moment.

Kiara, s'arrêta net, et se retourna brusquement vers Hamir en le pointant du doigts l'air grave et visiblement en colère.

- AH ! Vous voulez m'aider ?  Vous aussi vous allez mentir ? Et me mettre des bâtons dans les roues c'est ça ?? 

Elle se retourna et pressa le pas 

- c'est pas possible ses individues qui non pas de parole, grogna t-elle dans le vent en regardant en l'air 

Elle arriva devant une grande table, y lâcha la pile de livres, elle s'assit bruyamment.
Le Rougegarde la suivie, 

- Je peux vous faire confiance à vous ? Ou vais-je encore être déçu ?

Elle le fixer, les yeux plissé, le regard froid

Mazar et Zahïrk, salle d'entraînement avec Elia et Korsen, quelques instant plus tard.


Lorsque Phèbe fut hors de danger, Mazar entreprit de la ramener dans sa chambre pour l'allonger sur son lit. Il porte la Brétonne dans ses bras et dit à Elia d'une voix plus calme :

- Pardonnes mon excès de .. sentiments. Malgré tout, si tu avais été à ma place tu m'aurais compris..

Il se retourne et jette un regard froid vers Korsen sans lui dire un mot.
Cet imbécile de Nordique aurait pu créer encore plus de difficulté, ça ne s'est pas joué à grand chose. Et sa façon de s'adresser à ses supérieurs dans sa posture dédaigneuse...! Insupportable !!
Il repart en direction des quartiers des Officiers accompagné par Zahïrk. Une fois devant la chambre de Phèbe, Mazar demande à Zahïrk de l'ouvrir et il rentre avec Phèbe, fermant la porte derrière lui.

L'argonien quant à lui, décide de retourner voir Elia.

Valriel, en compagnie d'Ivy, sur l'une des tours de guet, au Sud de la Citadelle

Il ouvrit délicatement l'étui de velours rouge pour découvrir la lame brillante, étincelante et la prit dans ses mains nues pour en caresser l'acier du bout des doigts avec fascination. Une énergie puissante s'en dégagea, intense, presque écœurante. 

- Un fragment d'âme... laissa-t-il échapper à mi-voix, trouvant la formulation poétique. 

Il releva la tête vers la jeune femme et dit d'une voix douce :

- C'est un cadeau d'une grande valeur, Ivy. D'une valeur inestimable. Merci, je la garderai précieusement. Effectivement, entre de mauvaises mains, cette dague peut-être une source de pouvoir. J'apprécie grandement que je sois la personne à qui vous ayez choisi de la confier.

Il replaça la lame dans son fourreau qu'il accrocha précieusement à l'une des sangles de sa ceinture. "Il faudra que je trouve un lieu adéquat pour la conserver sans risques", songea-t-il. Une main posée sur le cœur, il effectua une révérence en signe de gratitude.

- Merci, Ivy, vraiment. Vous ne savez pas à quel point cela compte pour moi.

Elia, tour d'entraînement, en compagnie de Korsen et Zahïrk

Elle préféra ne rien dire lorsque Mazar lui dit qu'à sa place, elle aurait compris. Non, elle ne comprenait pas. Mazar avait toujours été guidé par ses émotions et c'est cela qui l'avait mené à agir sous l'impulsion, à tuer ces gardes, à se précipiter dans les ennuis, à partir à la recherche de Phèbe sans prendre la peine de les prévenir... Elle se sentait fatiguée de lui expliquer que, pour elle, tout ceci manquait grandement de mesure.

Son dos commençait à être un peu moins douloureux de la chute qu'elle avait faite, mais ses côtes la lançaient toujours du coup qu'elle avait reçu. Elle ramassa l'équipement que Phèbe avait jeté au sol pour le ranger soigneusement dans les râteliers d'armes et récupéra son bâton qui vibra doucement au contact de sa main, comme un vieil ami qu'elle retrouvait enfin.

Elle jeta ensuite un coup d'œil à Korsen qui la regardait faire avec un air moqueur. Elle lui décocha un regard inquisiteur et lui demanda, vivement :

- Et vous, êtes-vous venu ici pour vous entraîner, ou simplement pour profiter du spectacle ?

Général Patafouin a écrit:Valriel, en compagnie d'Ivy, sur l'une des tours de guet, au Sud de la Citadelle

Il ouvrit délicatement l'étui de velours rouge pour découvrir la lame brillante, étincelante et la prit dans ses mains nues pour en caresser l'acier du bout des doigts avec fascination. Une énergie puissante s'en dégagea, intense, presque écœurante. 

- Un fragment d'âme... laissa-t-il échapper à mi-voix, trouvant la formulation poétique. 

Il releva la tête vers la jeune femme et dit d'une voix douce :

- C'est un cadeau d'une grande valeur, Ivy. D'une valeur inestimable. Merci, je la garderai précieusement. Effectivement, entre de mauvaises mains, cette dague peut-être une source de pouvoir. J'apprécie grandement que je sois la personne à qui vous ayez choisi de la confier.

Il replaça la lame dans son fourreau qu'il accrocha précieusement à l'une des sangles de sa ceinture. "Il faudra que je trouve un lieu adéquat pour la conserver sans risques", songea-t-il. Une main posée sur le cœur, il effectua une révérence en signe de gratitude.

- Merci, Ivy, vraiment. Vous ne savez pas à quel point cela compte pour moi.

Ivy dans le petit coin de tranquillité avec Valriel au même moment.

Elle était émue, il savait, il recenter, elle savait qu'elle avait fait le bon choix.

Elle ne savait plus quoi dire alors elle agit, sans réfléchir, et se jeta dans les bras de Valriel lui faisant une étreinte amicale, relâchant la pression, à présent elle était rassurer, soulager, comme si enfin un poid c'était séparer d'elle.

C'est musclés faiblissant, tremblant elle fini par lâcher Valriel 
Et s'assoir.

- Pardonnez moi, je vous serez éternellement reconnaissant Valriel. Et je tenais aussi à vous présenter mes excuses... les plus sincères à cause de tous cela vous avait mis vos principes de cotés... et vous vous êtes exposé. Pardonnez moi 

Elle baissa la tête, sincèrement désolé

Valriel, en compagnie d'Ivy, au même moment

Il ne s'était pas attendu à l'étreinte spontanée de la Brétonne et il se figea, les yeux écarquillés, incapable de savoir ce qu'il convenait de faire lorsqu'elle le serra avec force dans ses bras. Il leva légèrement les bras et posa maladroitement une main dans le dos de la jeune femme. Il fut quelque peu soulagé lorsqu'elle la relâcha, anxieux à l'idée de commettre un impair.

En entendant les mots d'Ivy, il eut un sourire. Il vint s'assoir auprès d'elle, fixant l'horizon.

- Ne vous tracassez pas pour cela, vous avez déjà beaucoup à penser. Le plus important est que vous soyez en vie. C'est vraiment le moins que je pouvais faire. Autant que ce savoir serve à quelque chose. Maintenant, vous devez vous concentrer sur votre rétablissement et laisser derrière vous cette sordide histoire pour mieux appréhender l'avenir.