Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses 
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?




Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

• Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle. 
  

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

• Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.
  

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

• Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.
  

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle 
[suite du message]

• Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.
  

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles. 

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.


Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :







Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Ivy , réfectoire avec Hamir et Valriel au même moment 

Hamir entra dans la pièce. Ivy le scruta un moment, et fronça les sourcils, l'esprit encore en buée.

- heu ... Hum  Bonjour Hamir, hum non Kar-jeenar.... il dois encore en faire la demande ... 

Elle soupira, et bue une gorgé de potage, qu'elle se retiens de recracher.

Tourbe-moirée, faisant des allées-retours entre l'entrée de la citadelle et les ateliers d'artisanat.


Après le départ de Kiara, elle resta encore longtemps au soleil. Mais le devoir l'appelait et des tâches restaient à faire. Approvisionner foyer et forge lui avait été confié. Elle se mit à la tâche. Dur labeur. Chaleur écrasante. Elle ne rechigne pas, apprécie l'effort, aime sentir le mouvement de ses muscle et la fatigue de son corps. Allée. Retour. La nuit précédente hante ses pensées. Satisfaction macabre. Peau sèche aux dents aiguisées. Sur son dos caisse et sac elle tenait pour les amener jusqu'au lieu désirée. Allée. Retour.

Valriel, dans le réféctoire avec Ivy et Hamir, au même moment

Il posa un regard appuyé sur le Rougegarde dont il craignait qu’il vienne déranger le calme environnant. Il avait toujours préféré de loin les conversations posées et intimistes aux grands bavardages assommants d’une tablée bruyante. Il salua l’homme d’un geste de la tête.



- Bonjour Hamir. Vous cherchez quelque chose ?

Zahïrk, cour de la Citadelle, quelques minutes plus tard


Zahïrk faisait les cent pas en tournant en rond dans la cour perdu dans ses pensées. Il pensait encore à Divine, il se demandait quand il allait la retrouver de nouveau, comment l'accueillir dignement et surtout quelle offrande pourrait-il bien lui faire. Il s'arrête soudainement et lève la tête. Il voit Tourbe-Moirée portant des charges et qui semble pensive également.
Il décide de la rejoindre.


- Bonjour Beeko ! Comment allez vous en ce beau matin ? - Il examine le chargement de sa congénère - Puis je vous aider ?

Hamir, en compagnie de Valriel et Ivy dans le réfectoire, au même moment


Hamir offre un léger sourire à Ivy,


- Saches que j'appuierai sa demande si il le faut, je tiens à m'excuser auprès de toi aussi et saches aussi que nous avons fait la paix lui et moi. Je ne serai plus un obstacle entre vous.
 Il s'incline respectueusement puis se tourne vers Valriel 


- Oui en effet, je cherche Kiara, la Rougegarde récemment arrivée. J'aimerai .. non je dois lui parler. Savez vous où pourrait-elle être par hasard ?

Ancre-les-mots, dans la bibliothèque avec Kiara

Il regardait la Rougegarde lire quand une idée lui vint: "Il semblerait que vous ne soyez pas venu là uniquement par curiosité et soif de connaissance." Bien sûr il savait exactement de quoi il en retournait mais il n'aimait pas cette manie qu'avait les gens de rester toujours évasif sur leur besoin en pensant qu'il suffirait d'ouvrir le premier livre venue pour avoir toute les réponses. A quoi pensaient-ils que servaient les écoles de scribes si le premier venu en était capable? Il avait déjà assez de pain sur la planche avec Elia qui chipait en permanence des livres en passant son bras dans des portails. Elle ne se rendait pas compte le désordre que cela mettait ?! Personne ne tenait de registre dans cette foutue Citadelle?! Il reprit: "Si vous me disiez précisément ce que vous chercher je pourrais vous aider. Je... connais bien les livres ici. Je pourrais être plus utile si vous pouviez réduire le champ. Et puis dites moi, peut-être que les religions et autres cultes guerrier pourraient être un sujet d'intérêt pour vous?" Disons qu'il avait un livre précis en tête. Mais si elle ne demandait pas, pourquoi lui donnerait-il?

Zahïrk, cour de la Citadelle, quelques minutes plus tard a écrit:- Bonjour Beeko ! Comment allez vous en ce beau matin ? - Il examine le chargement de sa congénère - Puis je vous aider ?

Tourbe-Moirée, quelque part dans ses pensées,
 
Rêve éveillé, le marcheur arpente un monde entre deux eaux. Voix grinçante si douce du pays. Tourbe se relit à la réalité.
"Zahïrk n'es-tu plus en Tourbevase? On m'a chargé de ranger la livraisons de ressources artisanalles"

Elle fit glisser le couvercle de la caisse révélant de fin placage empiler avec soin qui n'avait pas encore été fondu.

"Je ne suis pas en difficulté."

Zahïrk au même moment vers la zone artisanale


L'argonien est surpris de la réponse mais ne perd pas son objectif de vie.


- À vrai dire Beeko, j'espérai que c'est vous qui pourriez m'aider. Kaoc .. je ne sais pas à trouver un présent qui ravirait Divine ..! Dites moi, auriez vous une idée de ce qui peut faire un beau présent ? Qu'aimeriez vous que l'on vous offre ?

Il regarde Tourbe, l'air agacé et continu de marcher à ses côtés

Phèbe, dans la tour d'entrainement,

Elle étouffait. Elle avait froid, elle avait mal mais la seule chose qui l'obnubilait: elle étouffait. Au milieu du combat elle décida brusquement de se retranché derrière une protection magique. C'était instable, primitif, mais cela faisait l'affaire. Elle passa ses mains sur son torse. Les bandages. Ils l'oppressaient. Elle fit passer ses vêtements au dessus de sa tête. Elle voulait les retirer. Elle vit le regard confus de Mazar et sceptique de Elia. Qu'importe. D'un geste elle les arrache

De l'air! De la liberté! Elle sent que sa respiration, son esprit, ses mouvements, sont libres. 

Elle annule sa protection et s'élance vers Elia. Elle n'était pas Mazar et Phèbe ne devrait pas avoir à se retenir d'agir comme bon lui semblait. Elle utilise son souffle de dragon, le feu magique lutta contre le givre. Maintenant il lui fallait des paillettes et des écrans de fumée, il lui fallait une diversion. Et il n'y a pas de fumée sans feu. Elle agite l'air autour d'elle, prend le partie de se concentrer sur cela. Soudain un nuage épais, pateux et opaque sort de son bâton et se jette sur Elia. Quand la magicienne le révoque d'un claquement de doigts, il était trop tard. Phèbe s'était placé à sa droite et lui assena un grand coup de bâton dans les côtes.

Mazar, salle d'entraînement au même moment


Mazar, à la fois impressionné et inquiet, regarde le combat des deux mages. Il est partagé entre ses émotions : joie ? fierté ? peur ..? 
Il observe Phèbe être d'abord en mauvaise posture, se débarrasser de ses bandages et dans une manœuvre abile, parvenir à asséner un coup direct avec son bâton à Elia !
Il veut la féliciter mais il ne veut pas risquer de la déranger, il pense dans sa tête

"J'espère ne pas avoir à te combattre tant que je ne connais pas plus de chose... Plus que .. mes simples armes et la force physique"

Il sourit nerveusement et se dit qu'il serait grand temps d'aller voir Zéphyriel.

Tourbe-Moirée, remontant vers la Citadelle en compagnie de Zahïrk

Un cadeau qu'elle voudrait? Comme hier l'avait comblé, elle n'attendait rien de demain. Trouble léger. Vision de fantasme. Proie et chasseur. Son échine se dresse révélant les petits pique qui la couvrait. Oui elle savait ce qu'elle voulait.

Concentré! Zahïrk demande. Divine est concerné. Tourbe-moirée réfléchit:

"Divine est une belle saxheel, pourquoi ne pas parer ses plumes de joyaux? Cependant cela n'est pas très original, porcelaine des marais. N'a-t-elle pas une passion avec laquelle tu pourrait la ravir? Je la sais en quête d'aventure, pourquoi ne pas lui en offrir? Les ruines Aléydes sont belles et une mission nous y attend, n'est-ce pas là faire d'une pierre deux coups?"

Lilyth a écrit:Ancre-les-mots, dans la bibliothèque avec Kiara

Il regardait la Rougegarde lire quand une idée lui vint: "Il semblerait que vous ne soyez pas venu là uniquement par curiosité et soif de connaissance." Bien sûr il savait exactement de quoi il en retournait mais il n'aimait pas cette manie qu'avait les gens de rester toujours évasif sur leur besoin en pensant qu'il suffirait d'ouvrir le premier livre venue pour avoir toute les réponses. A quoi pensaient-ils que servaient les écoles de scribes si le premier venu en était capable? Il avait déjà assez de pain sur la planche avec Elia qui chipait en permanence des livres en passant son bras dans des portails. Elle ne se rendait pas compte le désordre que cela mettait ?! Personne ne tenait de registre dans cette foutue Citadelle?! Il reprit: "Si vous me disiez précisément ce que vous chercher je pourrais vous aider. Je... connais bien les livres ici. Je pourrais être plus utile si vous pouviez réduire le champ. Et puis dites moi, peut-être que les religions et autres cultes guerrier pourraient être un sujet d'intérêt pour vous?" Disons qu'il avait un livre précis en tête. Mais si elle ne demandait pas, pourquoi lui donnerait-il?

Kiara dans la bibliothèque toujours avec l'étrange argonien au même moment 

Hum ... oui les religions, oui .... Bon écoutez, savez-vous garder des informations pour vous? - elle ce dit qu'un argonien terrer dans une bibliothèque lugubre n'avait probablement pas grand monde à qui raconter tous ce qu'elle avait besoin de lui confier- 

- Je ... J'ai besoin que vous me prometiez de garder le silence sur nos recherches ... 

Elle était nerveuse elle tapoter ses doigts sur le papier, en fixant fermement l'argonien.

Kiara dans la bibliothèque toujours avec l'étrange argonien au même moment a écrit:
- Je ... J'ai besoin que vous me promettiez de garder le silence sur nos recherches ... 

Ancre-les-mots, dans la bibliothèque.
Il poussa mentalement un cri de joie d'une telle puissance que n'importe qui qui aurait été en train d'épier magiquement ses pensées seraient mort sur le coup. Il se permis dans sa tête de frétiller de la queue et sautiller comme un enfant! Oui! C'est cela qu'il aimait! Elle le prenait par les sentiment!

En extérieur cependant, nul réaction n'est visiblement. Il est d'une inexpressivité effrayante où point que certains se demande si il en a. Il répond en baisant la tête et en posa un pate sur son cœur:

"Considérez mon silence comme acquis."

Il se redresse pour l'écouteer.
Après tout écrire n'a jamais été une activité bruyante....

Elia, tour d'entraînement, sous le coup de l'assaut

Le souffle coupé, Elia ne s'était pas du tout attendue à un assaut physique, trop occupée qu'elle était à guetter les futures attaques magiques de Phèbe. Par réflexe, elle posa sa main gauche sur ses côtes, dans une posture de protection, inspirant goulûment pour ramener l'air dans ses poumons. Elle se sait vulnérable, dans une telle proximité, le combat rapproché, ce n'est pas pour elle. Mais d'un autre côté, ne devait-elle pas elle aussi se pousser dans ses retranchements, travailler une autre méthode ?

Impressionnée que la pyromancienne se soit défaite de son emprise, elle décida qu'il était temps pour elle d'agir avec plus de force. D'un geste vif, elle se retourna vers elle, attrapa son avant-bras et, serrant de toutes ses forces, laissa la glace l'envahir, transperçante, pénétrante, avide d'éteindre le feu qu'elle déployait. Avec intensité, elle plongea son regard bleu dans les yeux vifs de son adversaire, guettant ses réactions, prête à en découdre à tout moment.

Phèbe, en train d'être refroidis 


Quand la vague de de froid se précipita dans son bras Phebe chercha immédiatement a s'en défaire, en vain. La glace bloquait son poignet dans la main d'Elia. Son pouvoir déferlait sur elle, la figea la submergeant. Terrifiée elle comprit que cette essence de glace s'attaquait maintenant à son brasier.  Il le congelait doucement avalant goulûment les braises et saisissant ses flammes. 

Phebe sentit la panique la saisir. Non! Il ne pouvait s'éteindre ! Mais elle se reprend: elle sait que ce n'estqu'un entrainement et ne s'inquiète pas outre mesure. Il fallait été méthodique. Elle imagina immédiatement plusieurs scénarios pour s'en sortir. Mais la présence de la bague dans un coin de son esprit lui rappela la réalité: Mazar. Sans protection. Elle ne pouvait pas déchaîner l'enfer sur terre. Elle lâche un râle tandis que dans le yeux d'Elia elle voit une lueur conquérante. 

Phèbe tend alors sa magie vers la sorcière. Elle ne laisserait pas abattre. Elle aussi aller étouffer dans l'oeuf ! Mais ce qu'elle sentit ne ressemblait à rien de ce qu'elle aurait imaginer. Quand elle touche cette froide aura, son être tout entier résonne avec. Son brasier s'immobilise comme à l'écoute.  Puis brusquement... il change! Phèbe terrifiée ferme immédiatement toutes les vannes. Que se passait-il?! 


Il ne lui reste qu'une option. Elle se laisse tomber à genoux. Elia victorieuse relâche un peu sa main... suffisement. Phèbe saisit la dague cacher dans sa botte d'une main et attrape le bras de la jeune femme de l'autre. Elle se relève et le bloque dans son dos alors que sa lame finit sur la gorge d'Elia

Lilyth a écrit:

Kiara dans la bibliothèque toujours avec l'étrange argonien au même moment a écrit:
- Je ... J'ai besoin que vous me promettiez de garder le silence sur nos recherches ... 

Ancre-les-mots, dans la bibliothèque.
Il poussa mentalement un cri de joie d'une telle puissance que n'importe qui qui aurait été en train d'épier magiquement ses pensées seraient mort sur le coup. Il se permis dans sa tête de frétiller de la queue et sautiller comme un enfant! Oui! C'est cela qu'il aimait! Elle le prenait par les sentiment!

En extérieur cependant, nul réaction n'est visiblement. Il est d'une inexpressivité effrayante où point que certains se demande si il en a. Il répond en baisant la tête et en posa un pate sur son cœur:

"Considérez mon silence comme acquis."

Il se redresse pour l'écouteer.
Après tout écrire n'a jamais été une activité bruyante....

Kiara, bibliothèque au même moment 

Il lui donna sa parole, mais après tous, elle ne connaît pas la valeur des mots de cet étranger, alors elle décide de ne pas tous lui dire, juste ce qu'il fallait pour qu'elle obtienne ce dont elle avait besoin.
Alors elle pesa ses mots et réfléchie.

- Je cherche comment régler un conflit... disons de famille, mon père est très pointilleux sur les traditions, il voulais me forcer à épouser un homme que je ne désire pas, alors disons que je cherche une solution pour ne pas avoir à faire cela ... la ... discussion est exclut, je pensais plutôt à un combat ?  Et aux valeurs qui y sont liées... 

Elle pris une profonde inspiration 

- alors ? Quand pensez-vous ?

BlackoutMj a écrit:Hamir, en compagnie de Valriel et Ivy dans le réfectoire, au même moment


Hamir offre un léger sourire à Ivy,


- Saches que j'appuierai sa demande si il le faut, je tiens à m'excuser auprès de toi aussi et saches aussi que nous avons fait la paix lui et moi. Je ne serai plus un obstacle entre vous.
 Il s'incline respectueusement puis se tourne vers Valriel 


- Oui en effet, je cherche Kiara, la Rougegarde récemment arrivée. J'aimerai .. non je dois lui parler. Savez vous où pourrait-elle être par hasard ?

Ivy réfectoire au même moment 

Ivy senti les émotions la submergée, elle était épuisé, une fine larme discrète s'écoula sur sa joue. Elle la sècha rapidement.

- c'est... c'est vraiment très honorable de ta part Hamir, et je .. je 
- elle voulais s'excuser mais se ravise, en tête à tête se sera mieux - enfin merci pour ça.

Lilyth a écrit:Tourbe-Moirée, remontant vers la Citadelle en compagnie de Zahïrk

Un cadeau qu'elle voudrait? Comme hier l'avait comblé, elle n'attendait rien de demain. Trouble léger. Vision de fantasme. Proie et chasseur. Son échine se dresse révélant les petits pique qui la couvrait. Oui elle savait ce qu'elle voulait.

Concentré! Zahïrk demande. Divine est concerné. Tourbe-moirée réfléchit:

"Divine est une belle saxheel, pourquoi ne pas parer ses plumes de joyaux? Cependant cela n'est pas très original, porcelaine des marais. N'a-t-elle pas une passion avec laquelle tu pourrait la ravir? Je la sais en quête d'aventure, pourquoi ne pas lui en offrir? Les ruines Aléydes sont belles et une mission nous y attend, n'est-ce pas là faire d'une pierre deux coups?"

Zahïrk, en compagnie de Tourbe-Moirée, quelques instants plus tard


C'était maintenant évident ! Il savait ce qu'il devait faire ! Les idées disparaissaient de son esprit comme un brouillard qui se dissiperait instantanément.


- Beeko ..! Que l'Hist vous protège et veille sur vous ! Que ses branches vous accueillent et que ses tu feuilles même toujours à vos oreilles ! Merci beaucoup ! Deelith..! Merci pour votre Sagesse ! 

Il entreprit de partir vers le quartier des Officiers en quête d'un supérieur pour lui poser des questions sur la mission dont Tourbe venait de lui parler.

Ancre-les-mots, toujours dans son repère avec la jeune femme

"Et bien... je vous conseillerais de chercher dans "Le livre des cercles". Vous y trouverez de nombreuses indications sur la juste voie de l'épée et de la lame. L'honneur du guerrier si vous voulez. Je vous conseille par ailleurs de vous intéresser au déité Yokudan. Leur mots sont encore portée en haute estime par votre peuple et vous devriez y trouver plus qu'il n'y parait. HoonDing, celui forge le chemin. Le bras d'Ebène, messène des guerriers."

Kiara notait frénétiquement ses informations. Ancre-les-mots les yeux brillant continua:

"Cependant les traditions sont rarement transcrit par l'écrit encore moins transmises à autrui. Si vous me permettez, je contacte mes confrères et ils pourront me donner accès à quelque document plus... tangibles. Imprégnez vous des récits d'antan, je trouverais des documents juridiques plus concret."

Tourbe-Moirée, qu'on a laissé en plan dans la cours


Son interlocuteur s'exclame puis s'éloigne. Sans transition. Sensation de déja vu. Tourbe réfléchit... Ce matin? Que s'était-il passé ce matin? Peut-être... Elle hausse les épaules et continue sa route. Il restait encore du travail.

Lilyth a écrit:Ancre-les-mots, toujours dans son repère avec la jeune femme

"Et bien... je vous conseillerais de chercher dans "Le livre des cercles". Vous y trouverez de nombreuses indications sur la juste voie de l'épée et de la lame. L'honneur du guerrier si vous voulez. Je vous conseille par ailleurs de vous intéresser au déité Yokudan. Leur mots sont encore portée en haute estime par votre peuple et vous devriez y trouver plus qu'il n'y parait. HoonDing, celui forge le chemin. Le bras d'Ebène, messène des guerriers."

Kiara notait frénétiquement ses informations. Ancre-les-mots les yeux brillant continua:

"Cependant les traditions sont rarement transcrit par l'écrit encore moins transmises à autrui. Si vous me permettez, je contacte mes confrères et ils pourront me donner accès à quelque document plus... tangibles. Imprégnez vous des récits d'antan, je trouverais des documents juridiques plus concret."

Kiara, bibliothèque au même moment 

Elle lâcha sa plume d'un coup sec et se dressa debout, devant lui.

- Non, non non non et non ... on avais dit pas un mot ! - elle parlait en agitant les bras devant lui - Je connais les traditions, les récits, les histoires je connais tous ça, je veux des preuves, mais vous avez probablement raison pour le " Livre des cercles ", hum ... peut-être "l'honneur du guerrier" c'est très bien ça ! ... pas un mot ! A personne Monsieur Ancre-les-mots...

Elle se rassoie, et attrapa un livre au hasard

Elia, sous l’emprise de la dague

Le contact froid qu’elle ressentit contre sa gorge la surprit, car ce n’était pas de la magie. C’était la morsure froide de l’acier. « Une véritable lame ?! ». Elle hésita à poursuivre, à tenter de riposter, mais elle craignit un geste trop brusque. Et pas question de lui asséner un sort trop violent. Le temps n’était pas à être victorieuse et c’était un beau combat. Elle lâcha son bâton en signe d’abdication.

Elle avait senti quelque chose se débloquer dans l’énergie de sa partenaire de duel et cela lui donna la satisfaisante impression que cet affrontement avait été bénéfique. Comme une énergie qui circulait plus librement. Elle n’avait jamais tenté d’interagir avec la magie d’autrui. Cette sensation était troublante. Était-ce le contact physique qui lui avait permis cela ? Son bras gauche lui faisait mal et la position était inconfortable, elle lâcha finalement :

- Inutile de me trancher la gorge, Phèbe. Tu as bien combattu.

Hamir, en compagnie de Valriel et Ivy dans le réfectoire, au même moment a écrit:
Hamir offre un léger sourire à Ivy,

- Saches que j'appuierai sa demande si il le faut, je tiens à m'excuser auprès de toi aussi et saches aussi que nous avons fait la paix lui et moi. Je ne serai plus un obstacle entre vous.
 Il s'incline respectueusement puis se tourne vers Valriel 

- Oui en effet, je cherche Kiara, la Rougegarde récemment arrivée. J'aimerai .. non je dois lui parler. Savez vous où pourrait-elle être par hasard ?

Ivy réfectoire au même moment 

Ivy senti les émotions la submergée, elle était épuisé, une fine larme discrète s'écoula sur sa joue. Elle la sècha rapidement.

- c'est... c'est vraiment très honorable de ta part Hamir, et je .. je 
- elle voulais s'excuser mais se ravise, en tête à tête se sera mieux - enfin merci pour ça.

Valriel, dans le réfectoire avec Ivy et Hamir

Il jeta un coup d'œil à Ivy. Ses émotions la dépassaient, elle aussi, c'était évident. Il voulait creuser la question. Mais seul, avec elle.
Il dit à Hamir sur un ton péremptoire :

- Je l'ai vue plongée dans les livres l'autre jour. Peut-être que Kiara est allée lire dans les dortoirs ou qu'elle est allée s'en chercher d'autres ailleurs. Vous devriez essayer d'aller voir.

Ancre-les-mots, dans la bibliothèque


Il croisa les bras.

"Mais je ne vous permet pas de m'interdire quoique se soit. Si il me plait de demander conseil à un collègue ca ne vous regarde aucunement! Est-ce que je juge vos méthodes et vos lectures moi?! Si je m'intéresse a des textes juridiques c'est mon problème. Continuez donc à chasser des légendes et vous attraperez des chimères. Non mais vous n'allez pas m'apprendre mon métier tout de même! Vous croyez que c'est spécialement pour vous que je daigne communiquer avec ma communauté? Vous êtes bien prétentieuse!"

Il était visiblement outré et Kiara nettement perdue. Il décrocha de son étrange ceinture un rouleau de parchemin et commença à énumérer les textes qu'il souhaitais consulter ou sur lesquels il avait besoin d'une opinion, leur auteur, leur date d'écriture, leur lieux de conservation ainsi que la personne à qui il adressait cette demande. Il énuméra exhaustivement la liste. Avec un sérieux à faire pleurer les murs de prison.

Phèbe, dans la tour d'entraînement avec Elia.


- Inutile de me trancher la gorge, Phèbe. Tu as bien combattu. Dis Elia avec une contenance feinte qui jurait affreusement avec sa posture.

Phèbe lâcha son bras et éloigna un peu la lame, immédiatement la tension de Elia redescendis. La sorcière se mit à masser son poignet et faire rouler son épaule, sans la regarder.  Très mauvais réflexe, très mauvais, en d'autre circonstances... Phèbe fronça les sourcils. Et immédiatement lui balaya les pieds. les yeux de sa cadette s'écarquillèrent alors qu'elle basculait, quand elle toucha le sol Phèbe était sur elle. Elle abattit vivement la dague. Qui se figea dans le sol à une dizaine de centimètre du visage d'Elia encore sur le flanc, dans la masse de ses cheveux. Elles restèrent immobile un instant. L'adrénaline à son pic. Finalement Phèbe recula:

"Tu ne devrait pas supposer qu'un forfait met fin au combat, les gens prendront toujours avantage d'une ouverture quand il la voit. Sous la menace d'une arme, ne baisse pas la garde. Même devant un allié."

Elle se mit à masser son torse. La sensation de toute à leur, la sensation magique, perdurait. Elle était troublée. 
C'est alors qu'elle s'aperçu que l'un des points de suture avait lâché. Elle serra les dents et dissimula son inconfort.