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Date d'inscription : 03/01/2021
Échos de taverne
Lun 2 Aoû - 12:11
Rappel du premier message :
Après ce long périple, nous nous arrêtons enfin dans un lieu plus propice au repos. Certes, nous n'avons pas l'espace et l'intimité de la Citadelle, mais enfin, nous pouvons nous laver, nous changer, et nous ne sommes plus obligés de chasser (ce qui pour certains d'entre nous est un véritable soulagement).
Les étages de la taverne ont donc été réaménagés et des lits sommaires ont été dressés. Nous sommes un peu les uns sur les autres, mais nous devrons nous accommoder de cette proximité temporaire encore un moment.
Après ce long périple, nous nous arrêtons enfin dans un lieu plus propice au repos. Certes, nous n'avons pas l'espace et l'intimité de la Citadelle, mais enfin, nous pouvons nous laver, nous changer, et nous ne sommes plus obligés de chasser (ce qui pour certains d'entre nous est un véritable soulagement).
Les étages de la taverne ont donc été réaménagés et des lits sommaires ont été dressés. Nous sommes un peu les uns sur les autres, mais nous devrons nous accommoder de cette proximité temporaire encore un moment.
Le concept :
Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages durant le temps où nous serons exilés, hors de la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).
À savoir que, comme pour Bruits de couloirs, une semaine IRL = une journée RP. Une nouvelle journée commencera chaque dimanche.
Prenez bien en compte les notions de distance dans vos interactions.
Je rappelle que la taverne s'étend sur deux étages (RDC-1er-2ᵉ) et qu'elle est dotée d'un balcon, prenez donc ce paramètre en compte lorsque vous écrirez (vous ne pourrez pas entendre une discussion se déroulant au 2ᵉ étage si vous vous trouvez au 1er)
Comme pour Bruits de couloir, commencez toujours vos messages en nommant votre personnage, en le situant dans l'espace, puis dans le temps, comme ceci :
La première personne qui commence une journée décide de l'heure durant laquelle commencera l'action.
Je rappelle que la taverne s'étend sur deux étages (RDC-1er-2ᵉ) et qu'elle est dotée d'un balcon, prenez donc ce paramètre en compte lorsque vous écrirez (vous ne pourrez pas entendre une discussion se déroulant au 2ᵉ étage si vous vous trouvez au 1er)
Comme pour Bruits de couloir, commencez toujours vos messages en nommant votre personnage, en le situant dans l'espace, puis dans le temps, comme ceci :
Elia, devant le comptoir du rez-de-chaussée, en début de matinée
La première personne qui commence une journée décide de l'heure durant laquelle commencera l'action.
- InvitéInvité
Re: Échos de taverne
Ven 3 Sep - 19:33
Le Messager a écrit:- Je... Euuuh... J'ai... un m...m... message et d...d...d...des livres ! Euh... Je...
- Qu'est-ce que tu regardes, elfiotte ? T'as jamais vu de bite ? Pourtant par chez toi y'en a des gros chênes dans ta forêt hahaha ! (rire jaune) Et c'est quoi ça encore ?! Des bouquins ? Tu nous a pris pour des puceaux gâchant leurs vies dans des putains de livres c'est ça HEIN ?!
Visiblement remonté, Korsen combla son impuissance sexuelle dans l'intimidation de ce pauvre messager qui n'a rien demandé pour assister au carnage qu'il vient de subir.
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Re: Échos de taverne
Sam 4 Sep - 10:31
Frigga et le messager, en compagnie de Korsen, au rez-de-chaussée, au même moment
Le messager parut soudain se souvenir de ce qu'il faisait là, quand il réalisa que l'homme qu'il avait en face de lui n'était assurément pas le destinataire à qui il devait remettre tout ceci.
- C'est... euh... Je dois remettre ceci à une certaine...
D'une main tremblante, il sortit un petit bout de parchemin chiffonné où des noms étaient griffonnés dessus. Il plissa les yeux pour mieux distinguer les caractères et dit d'une voix hésitante :
- Elia... Vif...Vifacier ! Elle... Elle est ici ?
Frigga releva la tête en entendant le nom de son amie. Elle se rhabilla vivement, dissimulant sa forte poitrine tant bien que mal et se dirigea à pas lourds vers le messager.
- T'as dit qu'c'est pour Vifacier, mon gars ? Dans c'cas, j'vais lui donner ! File-moi ça !
Le messager récalcitrant retint un moment les livres, doutant de la fiabilité de la Nordique, mais celle-ci avait tant de vigueur qu'elle n'eut aucun mal à lui arracher son bien des mains. Elle jeta un coup d'œil à la lettre scellée sur laquelle le nom d'Elia était écrit d'une main soignée à la calligraphie élégante. Elle s'adressa à Korsen :
- Oh-là ! C'est bien joli tout ça ! Tu crois qu'c'est un cadeau d'un bel homme ? Cela dit, offrir des bouquins, c'est pas très romantique ! À sa place, j'aurais préféré une bonne bouteille, ou bien une nouvelle hache ! Ou alors une robe avec des froufrous. J'en ai jamais porté, ça pourrait être marrant. Tu veux bien trouver un truc pour payer le jeune mousse ? J'dirai à Vifacier d'te rembourser, j'vais aller la chercher !
Elle partit en direction des marches, les livres sous le bras.
Le messager parut soudain se souvenir de ce qu'il faisait là, quand il réalisa que l'homme qu'il avait en face de lui n'était assurément pas le destinataire à qui il devait remettre tout ceci.
- C'est... euh... Je dois remettre ceci à une certaine...
D'une main tremblante, il sortit un petit bout de parchemin chiffonné où des noms étaient griffonnés dessus. Il plissa les yeux pour mieux distinguer les caractères et dit d'une voix hésitante :
- Elia... Vif...Vifacier ! Elle... Elle est ici ?
Frigga releva la tête en entendant le nom de son amie. Elle se rhabilla vivement, dissimulant sa forte poitrine tant bien que mal et se dirigea à pas lourds vers le messager.
- T'as dit qu'c'est pour Vifacier, mon gars ? Dans c'cas, j'vais lui donner ! File-moi ça !
Le messager récalcitrant retint un moment les livres, doutant de la fiabilité de la Nordique, mais celle-ci avait tant de vigueur qu'elle n'eut aucun mal à lui arracher son bien des mains. Elle jeta un coup d'œil à la lettre scellée sur laquelle le nom d'Elia était écrit d'une main soignée à la calligraphie élégante. Elle s'adressa à Korsen :
- Oh-là ! C'est bien joli tout ça ! Tu crois qu'c'est un cadeau d'un bel homme ? Cela dit, offrir des bouquins, c'est pas très romantique ! À sa place, j'aurais préféré une bonne bouteille, ou bien une nouvelle hache ! Ou alors une robe avec des froufrous. J'en ai jamais porté, ça pourrait être marrant. Tu veux bien trouver un truc pour payer le jeune mousse ? J'dirai à Vifacier d'te rembourser, j'vais aller la chercher !
Elle partit en direction des marches, les livres sous le bras.
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