Échos de taverne

Rappel du premier message :

Après ce long périple, nous nous arrêtons enfin dans un lieu plus propice au repos. Certes, nous n'avons pas l'espace et l'intimité de la Citadelle, mais enfin, nous pouvons nous laver, nous changer, et nous ne sommes plus obligés de chasser (ce qui pour certains d'entre nous est un véritable soulagement).

Les étages de la taverne ont donc été réaménagés et des lits sommaires ont été dressés. Nous sommes un peu les uns sur les autres, mais nous devrons nous accommoder de cette proximité temporaire encore un moment.

Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages durant le temps où nous serons exilés, hors de la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.

Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

À savoir que, comme pour Bruits de couloirs, une semaine IRL = une journée RP. Une nouvelle journée commencera chaque dimanche.

Prenez bien en compte les notions de distance dans vos interactions.
Je rappelle que la taverne s'étend sur deux étages (RDC-1^er-2ᵉ) et qu'elle est dotée d'un balcon, prenez donc ce paramètre en compte lorsque vous écrirez (vous ne pourrez pas entendre une discussion se déroulant au 2ᵉ étage si vous vous trouvez au 1^er)

Comme pour Bruits de couloir, commencez toujours vos messages en nommant votre personnage, en le situant dans l'espace, puis dans le temps, comme ceci :

Elia, devant le comptoir du rez-de-chaussée, en début de matinée

La première personne qui commence une journée décide de l'heure durant laquelle commencera l'action.

Kiara sur le balcon du deuxième, douillettement installée avec Elia au même moment

Elle se réjouit de voir que l'attention était remarquée et sourie a Elia, elle faisait beaucoup d'efforts pour dissimuler ses bonnes manières et ne pas créer de faussée entre les compagnons, pour s'intégrer elle devait encore apprendre tellement de choses, notamment faire les choses par elle-même, le thé était qu'une toute petite étape, mais elle se réjouit de l'avoir fait d'elle-même.

Elia a écrit:- Bien. De quoi voulais-tu me parler ? Cela avait l'air important. Est-ce que ça concerne ton histoire familiale ? Si c'est le cas, j'avais l'intention de t'en reparler. J'espère que cette affaire est résolue, car, avec tout ce que la Guilde a vécu ces derniers temps, la dernière chose dont nous ayons besoin c'est... - elle baissa la voix - de conflits politiques.

Elle sourie, en voyant que l'archonte très occupé soit-elle n'avait pas oubliée, et lança le sujet de sa venue.

- Oui, en effet, c’est exactement le sujet, Merci de m'avoir rejoint si vite. - elle attrapa un gâteau dans sa main - Effectivement, ce serait mal venue, mais justement avant l'assaut, Hamir et moi sommes allées régler cette histoire et ce fut un franc succès ... J'ai même pus ... vaincre par un duel le lâche que mon père voulais me faire épouser et mon père à accepter que je reste parmi vous, je devrais seulement de temps en temps retourner au palais régler quelques détails politiques et des modalités royales... Mais toute est réglée

elle sourie intensément très satisfaite et fière d'être libérer de ce poids finit de manger son gâteau avant de reprendre ...

- Enfin, si vous vouliez bien de moi, ici et de ce que j'espère pouvoir vous apporter. Ce serait un réel plaisir pour moi de rester

Elia, sur le balcon, à l'abri des regards, en compagnie de Kiara, au même moment

Kiara a écrit:- Oui, en effet, c’est exactement le sujet, Merci de m'avoir rejoint si vite. - elle attrapa un gâteau dans sa main - Effectivement, ce serait mal venue, mais justement avant l'assaut, Hamir et moi sommes allées régler cette histoire et ce fut un franc succès ... J'ai même pus ... vaincre par un duel le lâche que mon père voulais me faire épouser et mon père à accepter que je reste parmi vous, je devrais seulement de temps en temps retourner au palais régler quelques détails politiques et des modalités royales... Mais toute est réglée

"Tout est réglé" ? Ce résumé semblait un peu court. Elia croqua pensivement dans la pâtisserie en réfléchissant à ces nouvelles informations. Bien sûr, c'était une bonne nouvelle, mais plusieurs points méritaient encore d'être éclaircis. Elle fronça les sourcils, sceptique. Cela semblait trop facile... Elle avait l'impression que, dans sa naïveté, la jeune princesse oubliait quelques détails cruciaux. Oubliant de la féliciter, elle était déterminée à écarter toute part d'ombre sur ce sujet.

- "Retourner au palais régler quelques détails politiques et des modalités royales", répéta-t-elle, étonnée. Je ne sais pas comment le royaume de Lenclume est dirigé, mais je pense que l'éducation d'une princesse et la préparation à la succession doivent prendre un temps considérable. J'ai du mal à voir comment le roi a concédé à ce que son héritière vienne risquer sa vie parmi nous et comment tu trouveras le temps d'assumer tes fonctions royales et les travaux que nous te confierons au sein de la Guilde. Qui plus est, s'il devait t'arriver quelque chose, je doute que le roi nous le pardonne aisément...

Lilyth a écrit:Tourbe-Moirée, dans la même situation.

Elle se sentait d'humeur espiègle, elle eut presque envie de le taquiner. Elle garda cependant son sérieux et réalisa que son ami n'était pas fier.

"Tout Saxhleel peut à volonté couvrir son corps de plumes pour un événement particulier. Accueillir une personne importante, porter le deuil, s'unir devant l'Hist, partir au combat... C'est la puissance de ses émotions qui le lui permettent. Mais cela s'apprend par mimétisme, si tu n'as jamais vu faire, il est difficile de le réaliser."

Zahïrk semblait anxieux. Tourbe-Moirée ne voulait pas qu'il est l'impression d'être diminué ou atrophié. Elle proposa:

"Je pourrais t'apprendre, éclat de porcelaine."

Zahïrk, 2nd étage sur le balcon avec Tourbe-Moirée, au même moment

- Eh bien ... C'est si gentiment proposé... Je ne saurai refuser.. s'il vous plaît Beeko, apprenez moi ce que vous savez !

Il tentait de ne pas paraître trop grossier et de se montrer respectueux tout en gardant un air digne mais reconnaissant

- Est ce long ? Devrions nous commencer tout de suite ?

Il s'inquiétait maintenant de ne pas être prêt pour la cérémonie et surtout pour de présenter devant sa chère et tendre Divine

Kiara sur le balcon du second étage avec Elia au même moment

Kiara reprend un air sérieux voyant l'inquiétude de l'Archonte et tiens à lui expliquer, se voulant rassurante.

Elia a écrit:- "Retourner au palais régler quelques détails politiques et des modalités royales", répéta-t-elle, étonnée. Je ne sais pas comment le royaume de Lenclume est dirigé, mais je pense que l'éducation d'une princesse et la préparation à la succession doivent prendre un temps considérable. J'ai du mal à voir comment le roi a concédé à ce que son héritière vienne risquer sa vie parmi nous et comment tu trouveras le temps d'assumer tes fonctions royales et les travaux que nous te confierons au sein de la Guilde. Qui plus est, s'il devait t'arriver quelque chose, je doute que le roi nous le pardonne aisément...

- Ne vous en faite pas Archonte forte heureusement, mon père ne reste que le frère illégitime du Roi approuvé seulement par sa bonne grâce et sa générosité. Mon père lui sert surtout de conseiller, il l'aide sur certaine décision et mon père ayant eu une éducation différente de la mienne, me demande quelques conseils quand il se retrouve dans une impasse, nous travaillons ensemble en quelque sorte, mais cela reste rare. Je ne prétends pas au trône ... Il y a bien d'autre prétendant avant moi.
Et mon père est conscient du danger dans notre culture si un homme meurs au combat en s'étant défendu loyalement, c'est un honneur ... Nous vivons pour nous battre cela prend beaucoup de place chez nous. Les tâches royales que je devrais parfois mener seront simplement de faire bonne figure et de me montrer lors de certains évènements ... Mais j'y échapperais volontiers, tous cela passera en second plan, en gagnant ma liberté j'ai gagné le droit de choisir ... j'ai choisi de ne pas rester enfermé dans un palais a minaudé et tout le monde en est bien conscient.

Elle s'arrête pour veiller a ne pas perdre Elia dans toutes ses informations, avant de reprendre

- Vous savez, si le doute vous habite encore, je suis sûr que mon père pourra vous éclairer, il n'est pas du tous fermés a la discutions ... et j'ai même réussi à faire en sorte que les deux clans, couronnes et aïeuls ne se batte pas suite à ce non-mariage ... Il a fui le combat, c’est déloyal, personnes n'osera dire quoi que ce soit, il a apporté la honte sur sa famille par ce geste ...

Tourbe-Moirée, sur le balcon du deuxième étage en haut de l'escalier avec Zahïrk pendant la matinée,

L'argonienne haussa les épaules.

"Point de crainte, je t'apprendrais quand le temps sera venue. La route est encore longue, Divine nous devons rejoindre avant de nous aventurer dans les marécages. N'oublies pas il n'est rien que je vais t'apprendre que tu ne saches déjà. Tu es un enfant de racines comme les autres."

Voyant que Zahïrk ne bougeait pas, elle ajouta:

"Tu a encore le temps avant que l'Hist ne me rappelle à lui. Prépare toi et préviens la belle au anneaux d'or."

Elle se désintéressa de lui puisque l'étape suivante de sa concoction demandait beaucoup de précision. Elle insérra délicatement ce qui semblait être de la graisse animal puis récita des parole en Jel. Probablement une incantation puisque l'air se chargea de magie.

Frigga a écrit:- Bien sûr, capitaine, à plus tard ! la salua Frigga avec son entrain habituel, tout en descendant les marches vers le rez-de-chaussée pour aller s'enquérir des réserves de bière.

Korsen, descendant au rez-de-chaussée à la réserve de bière

Alors que le Nordique s'apprêtait sans gênes à se servir comme bon lui semble, il vit une créature incroyable, Nordique de sang pur, une femelle de surcroit, et bien nourrie, bref un beau bestiau. Korsen s'approcha lentement vers Frigga avant de s'adresse à celle-ci :

- Eh bien, qu'est-ce qu'une Ogresses des Neiges vient faire par là ? C'est une zone réservée et t'as rien à faire là ma p'tite !

Elia, sur le balcon du premier étage, à l'abri des regards, en compagnie de Kiara, au même moment

Elia tentait d'envisager toutes les options tandis que Kiara lui expliquait la situation avec plus de précisions. Elle se demandait si elle ne pouvait pas utiliser cette tournure politique à son avantage pour renforcer la puissance de la Guilde, si la princesse ne représentait plus un frein ou un risque. Elle pouvait peut-être servir à en afficher le prestige ? Une princesse qui met de côté ses fonctions pour se battre auprès de guerriers, cela pouvait être une bonne publicité et leur permettrait d'assoir leur notoriété et de se faire connaître... Ou de faire d'eux des cibles faciles pour les partisans à l'encontre de la Couronne de Lenclume. Marquer clairement leur affiliation politique pouvait représenter autant un risque qu'un avantage. Ne restait plus qu'à peser le pour et le contre de cette situation. Mais pour cela, elle avait le sentiment qu'elle manquait d'éléments... Et peut-être valait-il mieux en discuter avec Ghorthul avant de prendre toute décision.

- Tu as gagné ta liberté et c'est admirable. Je suis heureuse que tu aies fait ce qu'il fallait pour résoudre la situation, cela a dû te demander du courage et de la maturité. Si cela ne te dérange pas, j'aimerais toutefois avoir l'occasion de rencontrer ton père et de me présenter à lui au nom de la Guilde. Je voudrais être sûre que lui et moi sommes d'accord au sujet des risques que tu devras affronter, de notre responsabilité dans ta vie et de l'image politique qu'il conviendra que tu donnes. Avoir une personne aussi célèbre que toi dans nos rangs, cela n'est pas anodin. Tu ne seras jamais n'importe qui et il faut que nous le prenions en compte. Une fois que tout sera clarifié de ce côté-là, alors nous pourrons dire officiellement que tu fais partie intégrante des Compagnons. Tu l'aurais bien mérité.

Elle se demanda un moment si elle ne faisait pas preuve d'hypocrisie en tenant à ce point à prendre en compte l'avis du père de Kiara. Après tout, elle-même avait quitté son propre père sans tenir compte des répercussions et de l'impact que cela aurait pu avoir sur lui, allant jusqu'à abandonner son nom, son identité. "Mais je n'étais pas princesse. Cela n'avait rien à voir." se dit-elle, chassant les sombres pensées qui remontaient à la surface. Elle reprit avec le plus grand sérieux :

- Toutefois, j'ai du mal à comprendre le rôle qu'a joué Hamir dans cette histoire. Que vient-il faire là-dedans ? Est-ce parce qu'il t'a reconnue ?

Frigga, au rez-de-chaussée, près des fûts de bière, en milieu de matinée

Korsen a écrit:- Eh bien, qu'est-ce qu'une Ogresse des Neiges vient faire par là ? C'est une zone réservée et t'as rien à faire là ma p'tite !

Affairée à ouvrir un nouveau fût de bière, Frigga releva la tête d'un coup en entendant la voix tonitruante de Korsen. Heureuse de découvrir un Nordique, elle s'exclama :

- Ça par exemple ! J'me disais bien qu'javais reconnu un accent d'chez moi, ça fait plaisir ! Allez, fais pas cette tête, moussaillon, y'aura assez de bière pour tout l'monde ! D'ailleurs, j'mapprêtais à prendre mon petit-déjeuner, t'en veux une chope ? Au fait, j'mappelle Frigga, c'est quoi ton nom ?

Korsen, au rez-de-chaussée, près des fûts de bière, face à Frigga

A l'écoute de la Nordique, Korsen sembla enjoué d'être en accompagné des siens, et dans le lieu le plus adapté qui soit.

- Moussaillon ? J'savais pas qu'on était sur un bateau de corsaire ici. Si ça avait été le cas, je t'aurai déjà chopé sur les fûts comme une chienne, hahah ! J'm'appelle K... le Knahatan. Donnes moi une chope, petite, j'ai bien envie de rêvasser la nostalgie de nos terres.

Frigga, au rez-de-chaussée, près des fûts de bière, en compagnie de Korsen, au même moment

Korsen a écrit:- Moussaillon ? J'savais pas qu'on était sur un bateau de corsaire ici. Si ça avait été le cas, je t'aurai déjà chopé sur les fûts comme une chienne, hahah ! J'm'appelle K... le Knahatan. Donnes moi une chope, petite, j'ai bien envie de rêvasser la nostalgie de nos terres.

- Hahaha ! Toi, alors, t'es un marrant, j'taime bien ! Ouais, désolée pour le "moussaillon", la force de l'habitude, j'ai passé les dernières années à bourlinguer sur un navire, alors, j'oublie un peu qu'on est pas en mer !

Elle versa très généreusement une bonne quantité de bière dans une chope qu'elle fit glisser sur le comptoir en direction de l'homme, éparpillant un peu de mousse au passage.

- Knahatan, hein ? Ouah, ça balance ! Sur mon bâtiment, on m'appelait "la Déboiteuse", mais ça a pas autant d'classe, j'te le concède ! Alors dis-moi, d'où tu viens comme ça, Knahatan ? C'est à cause de c'truc que t'as sur la gueule qu'on t'appelle comme ça ?

Frigga a écrit:- Knahatan, hein ? Ouah, ça balance ! Sur mon bâtiment, on m'appelait "la Déboiteuse", mais ça a pas autant d'classe, j'te le concède ! Alors dis-moi, d'où tu viens comme ça, Knahatan ? C'est à cause de c'truc que t'as sur la gueule qu'on t'appelle comme ça ?

- Respectes moi, femme. Tu as devant toi le guerrier de pur race, son sang coule dans ses veines comme la lave qui sillonne le long des terres mortes. Et un peu d'hydromiel ne ferait pas de mal à mon organisme. Sers moi donc une pinte !

Général Patafouin a écrit:Elia, sur le balcon du premier étage, à l'abri des regards, en compagnie de Kiara, au même moment

Elia tentait d'envisager toutes les options tandis que Kiara lui expliquait la situation avec plus de précisions. Elle se demandait si elle ne pouvait pas utiliser cette tournure politique à son avantage pour renforcer la puissance de la Guilde, si la princesse ne représentait plus un frein ou un risque. Elle pouvait peut-être servir à en afficher le prestige ? Une princesse qui met de côté ses fonctions pour se battre auprès de guerriers, cela pouvait être une bonne publicité et leur permettrait d'assoir leur notoriété et de se faire connaître... Ou de faire d'eux des cibles faciles pour les partisans à l'encontre de la Couronne de Lenclume. Marquer clairement leur affiliation politique pouvait représenter autant un risque qu'un avantage. Ne restait plus qu'à peser le pour et le contre de cette situation. Mais pour cela, elle avait le sentiment qu'elle manquait d'éléments... Et peut-être valait-il mieux en discuter avec Ghorthul avant de prendre toute décision.

- Tu as gagné ta liberté et c'est admirable. Je suis heureuse que tu aies fait ce qu'il fallait pour résoudre la situation, cela a dû te demander du courage et de la maturité. Si cela ne te dérange pas, j'aimerais toutefois avoir l'occasion de rencontrer ton père et de me présenter à lui au nom de la Guilde. Je voudrais être sûre que lui et moi sommes d'accord au sujet des risques que tu devras affronter, de notre responsabilité dans ta vie et de l'image politique qu'il conviendra que tu donnes. Avoir une personne aussi célèbre que toi dans nos rangs, cela n'est pas anodin. Tu ne seras jamais n'importe qui et il faut que nous le prenions en compte. Une fois que tout sera clarifié de ce côté-là, alors nous pourrons dire officiellement que tu fais partie intégrante des Compagnons. Tu l'aurais bien mérité.

Elle se demanda un moment si elle ne faisait pas preuve d'hypocrisie en tenant à ce point à prendre en compte l'avis du père de Kiara. Après tout, elle-même avait quitté son propre père sans tenir compte des répercussions et de l'impact que cela aurait pu avoir sur lui, allant jusqu'à abandonner son nom, son identité. "Mais je n'étais pas princesse. Cela n'avait rien à voir." se dit-elle, chassant les sombres pensées qui remontaient à la surface. Elle reprit avec le plus grand sérieux :

- Toutefois, j'ai du mal à comprendre le rôle qu'a joué Hamir dans cette histoire. Que vient-il faire là-dedans ? Est-ce parce qu'il t'a reconnue ?

Kiara au même endroit même moment avec Elia

Kiara sourie à Elia en hochant la tête pour acquiescer ses dires, en effet tous ceci n'avait pas était du plus simple, elle avait du dissimulé son identité ... encre-les-mots l'avait aussi démasqué puis fini par l'aider à trouver une solution.

- En effet ce n'était pas simple, Hamir m'a belle est bien reconnue, nous avons grandis ensemble a Sentinelle et puis ... pendant mes recherches j'ai quelque peu mal menée Encre-les-mots qui a fini par m'aider lui aussi, il faudra d'ailleurs que j'aille le remercier, mais sur un mal entendu nous avions pensé que quelqu'un essayer de me faire chanter c'est ce qui nous à fait presser le pas ... Bien-sûr je comprends, mon père sera ravi de s'entretenir avec vous, je vous organiserais un entretien et vous accompagnerais, je connais les lieux, je conçois également que vous deviez en parler avec le Duc, en tout cas si mes avantages politiques peuvent jouer en votre faveur faite le moi savoir en attendant votre décision, je vous remercie ! De m'avoir accueilli et laisser trouver refuge en votre compagnie

Elle dirigea sa main munie de la théière, vers la tasse d'Elia

Frigga, au rez-de-chaussée, près des fûts de bière, en compagnie de Korsen, au même moment

Korsen a écrit:- Respectes moi, femme. Tu as devant toi le guerrier de pur race, son sang coule dans ses veines comme la lave qui sillonne le long des terres mortes. Et un peu d'hydromiel ne ferait pas de mal à mon organisme. Sers moi donc une pinte !

Frigga croisa les bras sur son torse et dévisagea Korsen un moment, jaugeant le Nordique en plissant les yeux. Elle finit par éclater d'un rire franc et tonitruant.

- HAHAHAHA ! Oh oui décidément, toi, tu m'plais bien ! Un "guerrier de pure race" tu dis ? Élevé par les Hauts-Elfes, on dirait, y'a qu'eux pour palabrer comme ça !

Elle essuya les larmes au coin de ses yeux, toujours agitée de quelques gloussements avant de lui accorder une violente et amicale tape dans le dos.

- Allez, mon gars, pas la peine de t'prendre à ce point au sérieux avec moi ! J'sais qu't'est un vrai fils de Bordeciel et ça m'suffit !

Elle attrapa une bouteille au contenu doré sous le comptoir et en versa dans la chope vide que Korsen lui avait renvoyée.

- Tiens, voilà ton hydromel, j'sais pas c'qu'il vaut, j'lai pas encore testé, tu m'diras c'que t'en penses.

Nullement impressionné par la verve de son congénère, Frigga ne démordit pas de sa curiosité et insista :

- Alors, c'est quoi qu'tas sur le visage ? Ça doit être une sacrée histoire, non ?

Ancre-les-mots, dans l'entrée au rez-de-chaussé, dans l'après midi.

Il regarda l'affiche en penchant la tête, elle n'était pas droite hein? Définitivement pas! Il souffla avec agacement puis retira une épingle pour redresser la feuille. Il en avait posté plusieurs à Leyawin pour pouvoir monter son expédition. Il devait retourner à l'ancienne Citadelle, il voulait récupérer les Archives. Au diable les livres, il les rachèterait mais les archives... sans parler des informations confidentielles dont elles regorgeaient c'était avant tout irremplaçables!

Son annonce était cryptée et seul des petits malins devraient se pointer pour y répondre. Il n'avait que faire de brutes épaisses, ce dont il avait besoin c'était de gens habiles, discrets, et intelligents. Sur l'affiche il donnait rendez-vous à l'autre taverne de Leyawin à ceux qui étaient intéressés par de l'or et une mission risquée. Là ils devraient trouver l'argonienne encapuchonnée avec une tiare d'or.

Il se mit à gratter frénétiquement sa peau. Entre ses écailles on voyait d'affreuses plaques rouges un peu gonflées. La proximité avec les autres lui donnait de l'eczéma. Il haïssait leur contact, leur odeur, leur présence. Il en faisait des crises de panique. Depuis qu'il avait quitté la Citadelle il n'avait pas eu une seconde de solitude et il se sentait décrépir à vu d'oeil. Ses écaille était ternes, ses griffes cassantes, son haleine putride, sa langue pâle et ses yeux rougis. Et puis les archives l'obsédaient. Imaginez ses papiers brulés, piétinés, sa bibliothèque mise à sac! Cela le rendait fou! Bande de sauvage! Il devait agir.

Elia, sur le balcon du premier étage, à l'abri des regards, en compagnie de Kiara, au même moment

Kiara a écrit:- En effet ce n'était pas simple, Hamir m'a belle est bien reconnue, nous avons grandis ensemble a Sentinelle et puis ... pendant mes recherches j'ai quelque peu mal menée Encre-les-mots qui a fini par m'aider lui aussi, il faudra d'ailleurs que j'aille le remercier, mais sur un mal entendu nous avions pensé que quelqu'un essayer de me faire chanter c'est ce qui nous à fait presser le pas ... Bien-sûr je comprends, mon père sera ravi de s'entretenir avec vous, je vous organiserais un entretien et vous accompagnerais, je connais les lieux, je conçois également que vous deviez en parler avec le Duc, en tout cas si mes avantages politiques peuvent jouer en votre faveur faite le moi savoir en attendant votre décision, je vous remercie ! De m'avoir accueilli et laisser trouver refuge en votre compagnie

Tandis que Kiara entreprit de verser à nouveau du thé dans la tasse d'Elia, elle posa sa main par-dessus pour arrêter son geste et mieux se concentrer, les sourcils froncés. Elle trouvait que la Rougegarde allait un peu trop vite et son impulsivité n'était pas pour la rassurer. Elle lui donnait à nouveau beaucoup d'informations et aucune ne semblait vraiment anodine. Elle effectua un premier tri pour rassembler ce qu'elle avait entendu.

- Je ne comprends pas, comment Hamir et toi vous connaissez-vous ? Quelle relation entretenez-vous exactement ? Est-il rattaché à la famille royale d'une quelconque façon ? Et plus important encore, qu'est-ce que c'est que cette histoire de chantage ?

Kiara avec Elia même lieu même moment

Kiara reposa la théière, et compris que toutes ses informations d'un coup, c’était peut-être un peu trop, elle avait pris l'habitude de parler distinctement, mais rapidement, les relations humaines, c’était vraiment son point faible, elle souffla doucement pour reprendre plus lentement et expliquer sa relation avec Hamir a Elia.

Elia a écrit:- Je ne comprends pas, comment Hamir et toi vous connaissez-vous ? Quelle relation entretenez-vous exactement ? Est-il rattaché à la famille royale d'une quelconque façon ? Et plus important encore, qu'est-ce que c'est que cette histoire de chantage ?

- Excusé moi, J'ai rencontré Hamir, alors que j'avais 5 ans, il a bien travaillé pour ma famille, mais en tant que garde. Petite, je ne tenais pas en place et régulièrement Hamir me récupérer alors que j’essaye de m'enfuir, pour me rapporter a mes parents, c'est ainsi que notre relation débutas. Nous avons tissé une amitié jusqu'à son départ de Sentinelle.

Elle sourit et ajouta,

- Pour cette histoire de chantage un simple mal-entendu, voyez-vous j'étais tellement à crans et obnubiler par le fait que personne ne devait me reconnaitre que j'ai pris ceci pour du chantage, hors ce n'était qu'un message d'Encre-les-mots qui souhaiter me venir en aide... Il avait posé sur mes affaires personnelles un arbre généalogique de ma famille suivie d'une inscription "Tu sais ou son les réponses" en message crypté et ensuite j'ai vue des affiches d'Alik'r poster dans la citadelle avec mon visage et ... j'ai paniqué et pris tous ceci pour du chantage, alors que ce n'était qu'un message discret et peut-être un peu maladroit de notre archiviste...

Elle rentra sa tête dans ses épaules avec un mouvement de bras un peu gêner d'avouer son manque de discernement, mais dans la panique de l'instant ça lui avait parue être une réelle menace.

Frigga a écrit:
- Alors, c'est quoi qu'tas sur le visage ? Ça doit être une sacrée histoire, non ?

Pour la première fois, une personne posait la question que personne n'a osé lui demander : son visage.
Il sentit cette question très indiscrète et bu une chope pendant 10 longues secondes afin d'esquiver la situation, avant de finalement répondre.

- Une sorcière de mon village m'a jeté un sort, plus jeune. Je me retrouve avec ce putain de fléau porté par Peyrite. Et la partie cramée, ce sont les flammes de l'Oblivion qui m'ont peté à la gueule. T'es contente, toi et tes questions ?

Elia, sur le balcon du premier étage, à l'abri des regards, en compagnie de Kiara, au même moment

Kiara a écrit:- Excusé moi, J'ai rencontré Hamir, alors que j'avais 5 ans, il a bien travaillé pour ma famille, mais en tant que garde. Petite, je ne tenais pas en place et régulièrement Hamir me récupérer alors que j’essaye de m'enfuir, pour me rapporter a mes parents, c'est ainsi que notre relation débutas. Nous avons tissé une amitié jusqu'à son départ de Sentinelle.

- Je vois... dit Elia en envoyant un regard froid se promener au loin. Et il n'a pas cru bon de nous tenir informés Ghorthul ou moi-même qu'il connaissait ton identité. Cet homme ne cessera donc jamais de me décevoir...

Kiara a écrit:- Pour cette histoire de chantage un simple mal-entendu, voyez-vous j'étais tellement à crans et obnubiler par le fait que personne ne devait me reconnaitre que j'ai pris ceci pour du chantage, hors ce n'était qu'un message d'Encre-les-mots qui souhaiter me venir en aide... Il avait posé sur mes affaires personnelles un arbre généalogique de ma famille suivie d'une inscription "Tu sais ou son les réponses" en message crypté et ensuite j'ai vue des affiches d'Alik'r poster dans la citadelle avec mon visage et ... j'ai paniqué et pris tous ceci pour du chantage, alors que ce n'était qu'un message discret et peut-être un peu maladroit de notre archiviste...

- À ce sujet, je dirais que tu as bien réagi. On n’est jamais trop prudent dans ces circonstances et je dois dire que je n'aime pas vraiment les mots sibyllins déposés à notre insu dans nos quartiers. Ancre-les-Mots aurait dû venir t'en parler directement. J'irai lui en toucher quelques mots pour être sûre que ça ne se reproduise pas. Du reste, je m'assurerai personnellement que la sécurité et la confidentialité des Compagnons soient respectés lorsque nous déménagerons dans notre future Citadelle. Le lieu que le Conseiller est disposé à nous offrir pour les services que nous lui avons rendus sera d'ailleurs tout à fait propice à cela.

Elle lui offrit un sourire engageant en renvoyant son regard vers Kiara. La perspective de ce nouveau lieu de vie l'enthousiasmait. La hauteur des murs de la future Citadelle la rassurait. Étrangement, elle appréciait le sentiment de force et de sécurité que cet endroit lui inspirait. Après tous ces tourments, cela lui semblait être un lieu idéal pour s'y établir.

Frigga, au rez-de-chaussée, près des fûts de bière, en compagnie de Korsen, au même moment

Korsen, le \"Knahatan" a écrit:- Une sorcière de mon village m'a jeté un sort, plus jeune. Je me retrouve avec ce putain de fléau porté par Peyrite. Et la partie cramée, ce sont les flammes de l'Oblivion qui m'ont peté à la gueule. T'es contente, toi et tes questions ?

Frigga ne se rendit absolument pas compte de l'agacement de Korsen face à ses questions. Elle était fascinée par ces nouvelles révélations. Elle but une grande gorgée de bière en tentant d'imaginer à quoi pouvait bien ressembler les flammes d'Oblivion.

- Eh ben, ça a dû être une putain d'histoire ! J'aurais bien aimé voir ça. En tout cas, ça t'donne un style incroyable. Pas mal le bandeau aussi.

Les poings sur les hanches, elle offrit un sourire rayonnant au colosse qui lui faisait face.

- Eh, t'as pas un p'tit creux ? J'mangerais bien quelque chose pour accompagner cette bonne bière blonde !

Frigga a écrit:- Eh, t'as pas un p'tit creux ? J'mangerais bien quelque chose pour accompagner cette bonne bière blonde !

Korsen se laissa attendrir par de telles propositions. La nourriture, et le cul, il n'y avait que ça qui comptait pour lui.

- Une bonne blonde ? Tu sembles être à la bonne place toi. Et j'ai p'tit creux ouais, je boufferai bien ton joli p'tit minois. Alors... On s'la donne ?

Le Nordique commença à lentement se rapprocher de Frigga pour un petit encas bien frais et charnel.

Frigga, au rez-de-chaussée, près des fûts de bière, en compagnie de Korsen, au même moment

Frigga dévisagea un moment son congénère avant de se fendre d'un autre rire désinvolte.

- Eh ben toi, on peut dire qu'tu perds pas d'temps, hein ! J'pensais plutôt à d'la nourriture, mais j'dis pas non à une partie de jambes en l'air si tu sais t'y prendre ! Et puis, si ton engin est aussi massif que tes mains, on va pas s'ennuyer !

Elle jeta un coup d'œil autour d'elle pour s'assurer que la pièce était déserte.

- On peut pt'être se trouver un p'tit coin tranquille derrière les fûts, qu'est-ce t'en dis ?

Frigga a écrit:- On peut pt'être se trouver un p'tit coin tranquille derrière les fûts, qu'est-ce t'en dis ?

- Aller viens par là, ma grande !

Alors que Korsen commença sauvagement à déshabiller Frigga ainsi que lui-même, l'étreinte primitif sans préliminaire pouvait commencer, mais Korsen rencontra dès lors un problème...d'altitude. En effet, il n'arrivait pas à se mettre en érection, comme s'il n'était pas sexuellement attiré par la délicieuse et bien bâtie, Frigga. Impuissant, il tenta en vain de minimiser sa réaction...

- Et merde... Qu'est-ce qu'il m'arrive...

Frigga, au rez-de-chaussée, derrière les fûts, en compagnie de Korsen, en fin de matinée

Korsen a écrit:- Et merde... Qu'est-ce qu'il m'arrive...

Contenu explicite:

Ils furent interrompus par la venue d'un homme qui frappa à la porte d'entrée :

- Ohé, il y a quelqu'un ? J'ai un paquet à remettre à cette adresse !

Frigga a écrit:- Eh ben... J't'excite pas tant que ça, apparemment ! T'es sûr que t'avais envie de ça ? C'est p'têtre pas ton truc les femmes dans mon genre, tu préfères p'têtre les filles plus délicates et pomponnées ? À moins qu'tu préfères les garçons ? J'peux comprendre, tu sais ! Ça m'est déjà arrivée d'être avec un gars qui s'était trompé. Ce s'rait pas bien grave. À moins qu'tu sois juste pas en forme. Dans tous les cas, on peut le retenter quand t'auras repris du poil de la bête, hahaha !

Korsen, furieux qu'on le catégorise de la sorte.

- Qu...quoi ??!! Tu m'as pris pour un vulgaire pédéraste ? Une saloperie de fiotte bonne qu'à se comporter comme une tafiole ? Ravales ta langue de vipère, sorcière. J'ai baisé une tonne de femmes euh.... Plus que tu ne peux l'imaginer ! Maintenant, femme, tu vas...

Un homme intérrompant la scène a écrit:- Ohé, il y a quelqu'un ? J'ai un paquet à remettre à cette adresse !

Korsen sorti son fléau accroché à son baudrier avec frénésie et gronda dans toute la taverne.

- QUOI ENCORE ON PEUT BAISER TRANQUILLEMENT ICI !?

Frigga et le messager, en compagnie de Korsen, au rez-de-chaussée, au même moment

Frigga n'appréciait pas vraiment d'être taxée de vipère, surtout quand elle était persuadée d'avoir raison et elle se préparait à éclaircir les idées de ce Nordique colérique et capricieux à coups d'arguments percutants quand la voix du messager la surprit. Elle regarda Korsen attraper son fléau, se diriger vers la porte d'entrée et ouvrir celle-ci à la volée avant de hurler sur le pauvre homme qui se tenait face à lui, les bras chargés d'une grande quantité de livres.

Korsen a écrit:- QUOI ENCORE ON PEUT BAISER TRANQUILLEMENT ICI !?

Le messager, un jeune Bosmer, baissa des yeux éberlués en découvrant la virilité que le Nordique affichait de façon impudique, les braies ouvertes. Tremblant, il releva son regard vers le géant qui lui beuglait dessus, s'attardant sur le fléau qu'il brandissait dangereusement. Il blêmit en voyant le terrible visage de l'homme. Bégayant de terreur, il tenta de s'exprimer d'une voix ténue, tendant devant lui une immense pile de livres maintenus ensemble par une cordelette et surmontés d'un parchemin scellé, soigneusement plié en trois.

- Je... Euuuh... J'ai... un m...m... message et d...d...d...des livres ! Euh... Je...

Il cherchait quoi dire, mais la peur lui avait fait oublier les instructions qu'il avait reçues.

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