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Date d'inscription : 17/01/2021
Une soirée à la taverne
Mar 13 Juil - 21:18
Je m’appelle Harold le Borgne, je suis fermier et chef de village. J’ai trimé toute ma vie pour apporter la nourriture à mon foyer et aider mes voisins. Je suis même aller jusqu’à perdre un œil pour sauver une famille. Elle avait eu le malheur de se retrouver coincé sous les débris de leur maison pendant une forte tempête. Ces tempêtes sont rares ici à Morthal.
Après une bonne journée de travail, je me dirigeais vers la taverne après avoir ranger mes outils. En chemin je croisais la fille du boulanger. La jeune Freyla ne me laissa pas indifférent et ce malgré mon âge avancé compare au sien. J’avais 12 ans de plus qu’elle. La jeune femme de 19 ans avait répondu positivement à mes avances. Je me préparais donc à aller demander sa main à son père puisque mes préparatifs était enfin fini. Dans 2 jours, bon sang que ce temps me parait long tout à coup.
Je la saluais en passant mais elle me sauta au coup et nous échangeâmes de longs baisers. Nous nous regardâmes un moment, admirant les yeux l’un de l’autre. Que j’étais chanceux d’avoir été accepter par une personne aussi merveilleuse.
- Tu pensais passer sans me saluer ? me dit-elle d’un ton faussement accusateur
- Mais j’étais sûr que tu allais venir, et je n’ai pas été déçu. Lui dis-je avec mon plus beau sourire
Elle m’embrassa pour m’empêchant de continuer.
- Ne rentre pas trop tard, tu dois être en forme pour demain !
- Ne t’en fais pas, je vais boire un coup, rigoler, chanter avec les gens et je serais en forme demain à la première heure devant ta maison pour te ravir à ton père.
- Je te souhaite de réussir mon fougueux brigand !
Nous échangeâmes encore de longs baisers avant de nous séparer. Je continuais ma route jusqu’à la taverne.
Arriver à la taverne, je saluais le tavernier qui me connaissais bien depuis le temps.
- Comme d’habitude ! lui dis-je avançant quelques pièces sur la table pour couvrir mes frais de la soirée.
Je fus servit rapidement. Buvant la première chope comme un assoiffé dans un désert. Je pris le temps de boire plus posément la deuxième.
- En voila une sacrée descente que vous avez la !
Je me retourner, la voie provenait d’une personne, sans doute une femme au son de la voie, qui avait une longue cape noire avec la capuche rabattue sur la tete, empêchant de voir son visage.
- Si vous videz votre verre comme le précédent, je vous en offre 2, qu’en dites-vous ?
Sa voie était incroyablement agréable à entendre et puis une offre pareille, comment ne pas refuser ? Il but donc le contenu de son récipient d’une traite.
- Bravo, bravo ! s’exclama la dame.
La soirée se prolongea tranquillement, à travers rires, chansons et boissons. La dame m’apprit qu’elle était une jeune aventurière qui aimait festoyer et discuté avec les gens là où elle passait. Je lui appris que j’étais le chef du village responsable des gentils idiots qu’elle croiserait pendant son séjour et que j’allais bientôt me marier. Elle m’écouta attentivement parler de celle qui faisait battre mon cœur pendant un temps suffisamment long pour la moitié des personnes présentes soit ivres. A un moment, elle se mit à chanter, sa voie était tellement belle que plus personne ne faisait le moindre bruit pendant son chant. Elle se tut et des clameurs de tout le monde suivi, elle avait assez de verre offert pour tenir une semaine !
Plus tard, elle m’invita à monter dans sa chambre, elle voulait en entendre plus sur mes récits mais souhaiter pouvoir être plus au calme. Elle me demanda de l’aide, sa jambe avait été blesser quelques jours avant lors d’une chasse m’avait-elle racontée.
Arrivée tant bien que mal en haut. Il faut dire qu’entre l’alcool que j’avais bu et la jambe de la donzelle on n’était pas aider. Haletant je la déposais sur son lit et je m’assis sur une chaise à bout de souffle.
J’avais du trop boire, le décor tournait et la jeune femme s’était levé s’en problème. Elle alla jusqu’à la porte et la ferma à clé, elle murmura un charabia incompréhensible puis s’approcha de moi.
- Et bien tu vas pouvoir me raconter tous ce que tu veux cette nuit !
Elle s’approcha davantage, que….quoi…..je n’arrivais plus à bouger, mais qu’elle était cette sorcellerie ! Ses lèvres vinrent se poser sur les mienne, une larme coula sur ma joue en pensant à Freyla puis je vis ses yeux et je perdu toute résistance. Elle me demanda de me déshabiller et de m’allonger sur le lit et j’obéit. Elle ôta sa cape, sa tunique glissa rapidement après, elle était plutôt pale et frêle pour une aventurière, mais d’une beauté à couper le souffle. Je la désirais, je la voulais ! Elle prit le temps de poser lentement son corps nue à califourchon sur le mien. « plus vite, je te veux ! » Mon corps entier était en tension et désirait ardemment cette jeune femme plus que tout ! Puis elle vint, elle me laissa pénétrer en elle mais m’immobiliser juste après.
- Allons laisse toi faire, je vais t’apporter beaucoup de plaisir, elle sourit dévoilant une dentition impeccable.
Elle avait dit vrai, elle mena la danse, et le plaisir se propagea dans tout mon corps à chacun de ses mouvements, chacune de ses respirations. Se sentant arriver à sa limite, une dernière tension survint dans son corps puis il se détendit.
- déjà ? elle eut l’air déçu
- Ne tant fais pas, laisse moi me reposer un peu et je serais parti encor plus fort qu’avant.
- Oh mais ne tant fais pas pour ça, détends-toi et ferme les yeux.
Elle posa ses lèvres sur mon torse et remonta lentement jusque dans mon coup, le délice de son toucher fut incroyable. Soudain je ressentis une douleur, mon cœur s’accéléra, je paniquais mais n’arrivais plus à bouger. Elle se releva, un flot de sang descendais de sa bouche. Elle me sourit de ses dents et de ses crocs.
- C’est mieux comme ça, je m’ennuyais mais maintenant je peux me nourrir.
Elle se baissa à nouveau, ma vue se troubla, je m’affaiblissais puis plus rien, le néant.
- Et voila ton âme est dans cette jolie gemme maintenant. C’est au moins ça de gagner. Bon maintenant je vais m’occuper de son corps, je n’ai pas encore éprouvé assez de plaisir pour te laisser.
Une fois mon affaire terminer, je laissais sur le corps du fermier qui n’était plus qu’un squelette désormais, un mot lui souhaitant ses meilleurs vœux pour son mariage.
Je dissipais le sort de dissimulation, me rhabillais en prenant soin de bien mettre ma capuche. Une fois devant le tavernier, je payais pour la chambre. Puis partit et marchais le long de la route. En chemin je croisais une jeune femme plutôt charmante. Une pomme roula sur le sol, je la ramassais et la tendit à sa propriétaire.
- Merci beaucoup. me dit la charmante demoiselle.
Une rafale de vent passa et rabattit le capuchon sur mes épaules.
- Oh ! Que vous êtes belle, ce teint pale vous va tellement bien !
- Je vous remercie, mais vous n’avez rien à m’enviez, comment vous nommez vous ?
La jeune femme rougit du compliment.
- Je me nomme Freyla et vous ?
- Je vous souhaite une belle vie.
Sur ces mots je partis. Quelques mètres plus loin je me retournais pour lui crier :
- Vikkye !
Après une bonne journée de travail, je me dirigeais vers la taverne après avoir ranger mes outils. En chemin je croisais la fille du boulanger. La jeune Freyla ne me laissa pas indifférent et ce malgré mon âge avancé compare au sien. J’avais 12 ans de plus qu’elle. La jeune femme de 19 ans avait répondu positivement à mes avances. Je me préparais donc à aller demander sa main à son père puisque mes préparatifs était enfin fini. Dans 2 jours, bon sang que ce temps me parait long tout à coup.
Je la saluais en passant mais elle me sauta au coup et nous échangeâmes de longs baisers. Nous nous regardâmes un moment, admirant les yeux l’un de l’autre. Que j’étais chanceux d’avoir été accepter par une personne aussi merveilleuse.
- Tu pensais passer sans me saluer ? me dit-elle d’un ton faussement accusateur
- Mais j’étais sûr que tu allais venir, et je n’ai pas été déçu. Lui dis-je avec mon plus beau sourire
Elle m’embrassa pour m’empêchant de continuer.
- Ne rentre pas trop tard, tu dois être en forme pour demain !
- Ne t’en fais pas, je vais boire un coup, rigoler, chanter avec les gens et je serais en forme demain à la première heure devant ta maison pour te ravir à ton père.
- Je te souhaite de réussir mon fougueux brigand !
Nous échangeâmes encore de longs baisers avant de nous séparer. Je continuais ma route jusqu’à la taverne.
Arriver à la taverne, je saluais le tavernier qui me connaissais bien depuis le temps.
- Comme d’habitude ! lui dis-je avançant quelques pièces sur la table pour couvrir mes frais de la soirée.
Je fus servit rapidement. Buvant la première chope comme un assoiffé dans un désert. Je pris le temps de boire plus posément la deuxième.
- En voila une sacrée descente que vous avez la !
Je me retourner, la voie provenait d’une personne, sans doute une femme au son de la voie, qui avait une longue cape noire avec la capuche rabattue sur la tete, empêchant de voir son visage.
- Si vous videz votre verre comme le précédent, je vous en offre 2, qu’en dites-vous ?
Sa voie était incroyablement agréable à entendre et puis une offre pareille, comment ne pas refuser ? Il but donc le contenu de son récipient d’une traite.
- Bravo, bravo ! s’exclama la dame.
La soirée se prolongea tranquillement, à travers rires, chansons et boissons. La dame m’apprit qu’elle était une jeune aventurière qui aimait festoyer et discuté avec les gens là où elle passait. Je lui appris que j’étais le chef du village responsable des gentils idiots qu’elle croiserait pendant son séjour et que j’allais bientôt me marier. Elle m’écouta attentivement parler de celle qui faisait battre mon cœur pendant un temps suffisamment long pour la moitié des personnes présentes soit ivres. A un moment, elle se mit à chanter, sa voie était tellement belle que plus personne ne faisait le moindre bruit pendant son chant. Elle se tut et des clameurs de tout le monde suivi, elle avait assez de verre offert pour tenir une semaine !
Plus tard, elle m’invita à monter dans sa chambre, elle voulait en entendre plus sur mes récits mais souhaiter pouvoir être plus au calme. Elle me demanda de l’aide, sa jambe avait été blesser quelques jours avant lors d’une chasse m’avait-elle racontée.
Arrivée tant bien que mal en haut. Il faut dire qu’entre l’alcool que j’avais bu et la jambe de la donzelle on n’était pas aider. Haletant je la déposais sur son lit et je m’assis sur une chaise à bout de souffle.
J’avais du trop boire, le décor tournait et la jeune femme s’était levé s’en problème. Elle alla jusqu’à la porte et la ferma à clé, elle murmura un charabia incompréhensible puis s’approcha de moi.
- Et bien tu vas pouvoir me raconter tous ce que tu veux cette nuit !
Elle s’approcha davantage, que….quoi…..je n’arrivais plus à bouger, mais qu’elle était cette sorcellerie ! Ses lèvres vinrent se poser sur les mienne, une larme coula sur ma joue en pensant à Freyla puis je vis ses yeux et je perdu toute résistance. Elle me demanda de me déshabiller et de m’allonger sur le lit et j’obéit. Elle ôta sa cape, sa tunique glissa rapidement après, elle était plutôt pale et frêle pour une aventurière, mais d’une beauté à couper le souffle. Je la désirais, je la voulais ! Elle prit le temps de poser lentement son corps nue à califourchon sur le mien. « plus vite, je te veux ! » Mon corps entier était en tension et désirait ardemment cette jeune femme plus que tout ! Puis elle vint, elle me laissa pénétrer en elle mais m’immobiliser juste après.
- Allons laisse toi faire, je vais t’apporter beaucoup de plaisir, elle sourit dévoilant une dentition impeccable.
Elle avait dit vrai, elle mena la danse, et le plaisir se propagea dans tout mon corps à chacun de ses mouvements, chacune de ses respirations. Se sentant arriver à sa limite, une dernière tension survint dans son corps puis il se détendit.
- déjà ? elle eut l’air déçu
- Ne tant fais pas, laisse moi me reposer un peu et je serais parti encor plus fort qu’avant.
- Oh mais ne tant fais pas pour ça, détends-toi et ferme les yeux.
Elle posa ses lèvres sur mon torse et remonta lentement jusque dans mon coup, le délice de son toucher fut incroyable. Soudain je ressentis une douleur, mon cœur s’accéléra, je paniquais mais n’arrivais plus à bouger. Elle se releva, un flot de sang descendais de sa bouche. Elle me sourit de ses dents et de ses crocs.
- C’est mieux comme ça, je m’ennuyais mais maintenant je peux me nourrir.
Elle se baissa à nouveau, ma vue se troubla, je m’affaiblissais puis plus rien, le néant.
- Et voila ton âme est dans cette jolie gemme maintenant. C’est au moins ça de gagner. Bon maintenant je vais m’occuper de son corps, je n’ai pas encore éprouvé assez de plaisir pour te laisser.
Une fois mon affaire terminer, je laissais sur le corps du fermier qui n’était plus qu’un squelette désormais, un mot lui souhaitant ses meilleurs vœux pour son mariage.
Je dissipais le sort de dissimulation, me rhabillais en prenant soin de bien mettre ma capuche. Une fois devant le tavernier, je payais pour la chambre. Puis partit et marchais le long de la route. En chemin je croisais une jeune femme plutôt charmante. Une pomme roula sur le sol, je la ramassais et la tendit à sa propriétaire.
- Merci beaucoup. me dit la charmante demoiselle.
Une rafale de vent passa et rabattit le capuchon sur mes épaules.
- Oh ! Que vous êtes belle, ce teint pale vous va tellement bien !
- Je vous remercie, mais vous n’avez rien à m’enviez, comment vous nommez vous ?
La jeune femme rougit du compliment.
- Je me nomme Freyla et vous ?
- Je vous souhaite une belle vie.
Sur ces mots je partis. Quelques mètres plus loin je me retournais pour lui crier :
- Vikkye !
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