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Le retour d'un passé déchiré
Mer 14 Juil - 10:13
Le passé
Il fut un temps, jadis, où Ghorthul exerçait avec sa soeur Lamugbek dans la forge ancestrale d'Orsinium qui appartenait à Père Durzum, qui se nommait Rime-martel.
Mais il y avait aussi l'aîné et grand frère Yashnarz, leader né, charismatique mais rude. Ainsi que sa sœur handicapée Ogash étant la plus sensible d'entre eux, et souffrant d'une déficience motrice qui l'empêche de correctement parler et marcher. Père dès la naissance remarqua la difformité de ses membres et de son corps et voulait se débarrasser d'elle du haut d'une crevasse afin de purifier le sang de la famille. Seulement, Mère Urbutha l'en empêcha, peu de temps après que celle-ci ne disparaisse mystérieusement par la Guilde des Mage, mais cela reste une autre histoire...
Plus jeune, alors qu'Orsinium se voyait devenir un territoire conquis par l'Alliance de Daguefilante en raisons d'intérêts politique, par le traité du Roi Kurog d'Orsinium et du Haut-Roi Émeric de Haltevoie. Yashnarz rejoignit les forces séparatistes, militant pour une indépendance et une suprématie de la race Orque quant aux terres Orsimers devenant de plus en plus arpentés par d'étrangers.
La situation à Orsinium poussa les Orques politiquement réactionnaires, et spirituellement dissident, à s'exiler par eux-même afin de préserver leur héritage d'un royaume ayant perdu la valeur du Code de Malacath et la fierté de leurs ancêtres. Le régime de l'Alliance fractionna les adeptes du culte interdit de Malacath et de l'avatar plus lumineuse de ce dernier, étant Trinimac, reconnu religieusement dans le panthéon des Dieux bien-faisants.
Beaucoup fuirent dans les montagnes rocheuses ce qui provoqua une diaspora historique de la patrie Orsimeri. Ils fondèrent des tribus et érigèrent des forteresses selon les valeurs de différents clans afin de s'isoler dans les terres désolées et inhospitalières.
Yashnarz, baignant dans l'idéologie nationaliste, était convaincu que la nouvelle politique progressiste et socialiste ne pouvait être que le résultat d'un royaume en plein déclin et d'un peuple traitre et laxiste. Il tenta en vain d'inciter ses jeunes soeurs, Lamugbek et Ogash, ainsi que son petit frère Ghorthul de les rejoindre, Yashnarz et ses confrères, afin d'aspirer un devenir meilleur pour leur peuple.
Ghorthul et Lamugbek, qui à l'époque furent de parfait produit de la propagande du Lion Royal, refusèrent, mentionnant les bienfait de l'annexion du royaume par l'Alliance de Daguefilante, et en mettant en valeur le relancement de la roue économique concernant le marché du travail fleurissant et les ressources agricoles et artisanales.
Persuadé d'être lucide et dans la vérité, ces paroles sonnèrent pour Yashnarz comme des mots de traitres. De violentes disputent éclatèrent suivit de mots déplacés entre les frères et les sœurs. Ogash, impuissante, à quatre pattes au sol, essayait tant bien que de mal de prononcer des mots, mais dans une frustration éternelle quant à se faire entendre, cela fut sans succès.
Ghorthul interrompit tous le monde d'une phrase :
- Frère, Sœurs, comme vous je me nourris d'eau et de pain. J'arpente ces terres de plus en plus arides et sans saveurs, tel est le destin de notre peuple paria au fil des millénaires qui ont honoré nos ancêtres. Orsinium n'était que ruine et la pauvreté frappait notre civilisation avant l'arrivé de l'Alliance, soyons au moins reconnaissant de ce qu'ils nous ont apporté, mais ne renions tout de même pas l'héritage de nos ancêtres. Restez... Père et Mère nous manque, tous. Soyons unis et cessons de nous diviser, encore...
Ghorthul finit cette dernière phrase la main au coeur et et d'un ton assez mélancholoque. Mais la fierté mal placée de Yashnarz ne pouvait d'avantage être souillée par tant d'inepties, de vulgarité et de manque de respect.
- Ta fragilité aveugle ton jugement, petit. Tu as encore beaucoup à apprendre, et un jour, dans un devenir proche, je serais là pour te le faire rappeler. Je te ramènerai de gré ou de force et je te ferais payer cet affront. C'est valable pour toi aussi, Lamugbek ! Restez bien au chaud dans votre petit nid confortable, mais lorsque tout ceci explosera, je m'assurerais d'être du côté des miens avant les autres. Je m'assurerais d'être là pour mon peuple avant que ce nouveau gouvernement de nous engloutisse tous et vous envoie comme de la chair à canon vers des guerres qui ne nous concerne pas. Bandes de pantins désarticulés que vous êtes, vous faites honte à notre race !
Il finit son sermon avant de se tourner vers Ogash, en lui demander quel camp choisir. Sous le regard intimidant et effrayant du grand frère, Ogash, encore maléable se tourna vers lui d'un air désemparé.
- Arrêtes ça, Ogash -dit Lamugbek- c'est de la folie ! Ta place est parmis ceux qui t'aiment, pas avec ceux qui te manipulent !
Yashnarz lui répondit :
- Tu parles de manipulation alors que tu portes atteinte à son libre arbitre en la soudoyant de vous rejoindre ? Elle a choisi consciencieusement le camp de la famille. Ce n'est pas une traitre.
- Tu lui fais peur, regarde-là ! Ne vois-tu pas que tu la terrorise ? Laisses-la tranquille !
La grande sœur tenta de prendre par le bras Ogash pour la tirer vers elle, mais Yashnarz infligea à Lamugbek un revers de la main qui la fit reculer. Ghorthul, stoïque et silencieux, observa la scène. Il s'adressa néanmoins à Ogash de la façon la plus intime qui soit :
- Ogash, nous prendrons soin de toi, et tu le sais. Nous t'aimons et nous avons juré de rester ensemble, tous. S'il te plaît.
Entre quelques bégaiement et mots incompréhensibles, la sœur infirme tenta de dire quelque chose, mais Yashnarz prit les devant, ce qui interrompit et clos la discussion. Il prit Ogash par le col et l'emmena avec lui. Lamugbek, désemparée, s'écria vers Ghorthul :
- Bon sang, mais fais quelque chose ! Il l'emmène avec lui !
Avant de partir, le grand frère s'adressa à ce dernier :
- Insolent. Tu vas oser t'interposer ?
Ghorthul, tête baissée, sourcils froncés, mâchoire tendue et poings serrés, ne répondit pas. Yashnarz esquissa un sourire narquois et moqueur :
- Pfeuh. C'est bien ce que je pensais.
- Ghorthul, ne le laisse pas partir ! -s'exclama Lamugbek-
Le frère cadet les vit s'en aller progressivement. Au plus ils s'éloignèrent, au plus les gémissement d'Ogash et les pas lourd de Yashnarz s'atténuèrent, jusqu'à ce que les deux silhouettes disparaissaient dans la brume enneigée.
Lamugbek désorientée au sol les vit également s'éloigner, le regard vide. Elle leva la tête vers Ghorthul, se releva puis donna à son frère des coup légers et peu douloureux comme pour exprimer sa rancœur envers l'inaction de son frère, puis succomba en larmes dans les bras de ce dernier. Ghorthul prit sur lui toutes les blessures de son coeur et de sa conscience depuis.
Aujourd'hui
Plusieurs années passèrent, et le passé aurait pu rester tel quel. Sauf que le destin en décida autrement. Depuis que Yashnarz est interdit de séjour à Orsinium et Lamugbek protegée au sein du royaume, le grand frère est de retour sur sa bonne vieille rancune d'antan, et parcourait les terres de Tamriel à la recherche de Ghorthul. Jusqu'au jour où il se trouvait sur le pont du Portail Marchand qui reliait Wrothgar à Bangkoraï, et vit des affiches accrochées sur un mur exhibant les exploits d'une Guilde de l'Alliance, nommé Les Compagnons de l'Aube. Cette affiche mentionnait également le lieu du siège de cette Guilde ainsi qu'un portrait déssiné du fondateur de la Guilde.
Yashnarz, surprit par cette annonce, était partagé entre l'amusement, la colère et l'excitation. Il se dit à voix basse :
- Salaud. Tu as osé...
Il prit l'affiche et la montra à sa soeur, Ogash qui semblait être enchaînée. Les deux frère et soeur semblaient arborer des tenues primitives, du cuir animalier revêtait leur accoutrement de sauvageon, et des marquages corporels et faciaux du clan Morkul. Le bruit lourd du métal des chaîse par l'agissement et le grognement d'Orgash à la vue du portrait de Ghorthul sur l'affiche attirèrent l'attention des villageois, peu rassuré par leur accoutrement et leur comportement.
Yashnarz tira d'un coup sec le collier de chaîne d'Ogash, l'incitant à la suivre. Ils partirent tous les deux sur les lieux où règne la Guilde, entre la frontière de Raidelorn et Epervine. Quelques jours ont suffit aux deux Orques de se rendre devant les lieux, qui donnaient sur l'entrée extérieur de catacombes Nordiques.
Ils se tenaient donc devant l'entrée de l'édifice, et Yashnarz commença à hurla d'une hargne puissance le nom de :
- GHOOOOOOOOOOORRRRRRRRRRRTHUUUUUUUUL !!!!!!!
...dont Ogash poursuivait d'hurlement hystériques féminins, strident, aigre et acéré. Le genre de cris à filer une peur bleu intense à n'importe quel monstre. Les hurlements se répetèrent ce qui fit sursauter Ghorthul dans son lit et le faire pâlir d'une chair de poule effroyable.
Les Compagnons se rassemblèrent dans l'empressement devant le bâtiment en attendant l'arrivée du Dux. Celui-ci sorti et le Chevalier Mazar demanda :
- Quelles sont ces choses ? Une horde de Crevassais ?
Ghorthul répondit, anxieux :
- Non... C'est encore pire que ça.
- Que se passe-t-il ici !!?? -s'écria l'Archonte Elia-
- Une page du passé qui n'a apparemment pas été tournée... -répondit Ghorthul la boule au ventre-
Korsen s'écria :
- Hé le Dux, on attend quoi pour aller leur foutre un bon coup de pied au cul ?
- Bah tiens, j'vois que la diplomatie n'est pas ton fort petit Nordique, et t'as bien raison hahaha ! Sus aux sauvageons ! -dit Frigga sur le ton de la plaisanterie-
Tandis que les Parangons commençaient à s'armer et à équiper les Soldats, le Légat Zéphyriel répondit :
- Dux, doit-on charger une offensive ?
- Non. Je m'en charge. Personnellement. -répondit-il serein-
Acte final
Ghorthul sorti de la Citadelle en passant par la sortie des catacombes Nordiques. Il vit son némésis de toujours, son grand frère Yashnarz, mais sa sœur Ogash apparemment changée dans l'esprit et pas que. Les deux Orques se tenaient de manière bestiale. Tandis que Ghorthul, seul, s'avançaient vers eux, Ogash devenait de plus en plus agressive comme un chien enragé. Son action d'attaquer visceralement Ghorthul fut retenue par la chaîne métallique et lourde qui percutaient colériquement son collier. Ghorthul ne pu s'empêcher de voir également qu'Ogash était enceinte, il fit le rapprochement avec son frère Yashnarz quant au fait qu'il soit devenu Chef de Clan, ce qui lui donna le droit de fécondité de toutes les femmes de la tribu.
Ghorthul continua d'avancer et les cris d'hystérie d'Ogash se manifestaient de plus en plus. Du haut de la scène, Ancre-les-mots est parvenue à escalader les rochers, sa vue et son ouïe étaient de taille pour contempler la situation au loin.
Yashnarz pointa du doigt de façon véhémente envers Ghorthul :
- D'abord, tu t'approprie le château de Hakkvild, durement gagné par le clan de Yashnag, ensuite tu blasphèmes au nom de Mauloch puis tu voles l'héritage de notre lignée ! Tu n'es pas digne, ni légitime des Compagnons de l'Aube, le trône de Dux me revient de droit. Le Dux Maknok dans ses écrits ancestraux a bien revendiqué le droit de l'aîné, je suis légitime et suis le véritable monarque. De plus, ta Guilde est composé de gnomes, d'elfes métissés, de bâtards à l'engeance douteuse et de sangs mêlés, vous êtes impropres à notre héritage ! La vérité, c'est que tu es faible, jeune frère, ton domaine est faible, tes valeurs de clan sont faibles. Donnes moi le trône, ou j'achève ta misérable vie d'imposteur Ghorthul !
Effronté, une main sur la hanche, il avait l'unique occasion de confronter pour la première fois de sa vie son grand frère. Son coeur battait la chamade, malgré un sang-froid de marbre, la peur le rongeait viscéralement.
- Je ne suis pas un imposteur. J'ai fondé cette Guilde avec le labeur de mes efforts et le sang de mon âme. Et je suis légitime quant au devoir ancestral. Pendant que tu as abandonné ta patrie Orsimeri, Lamugbek et moi avons prit soin des nôtres, de nos anciens, de nos frères et soeurs de sang dans le besoin et la difficulté. Tu as délaissé ton berceau natal au détriment d'une idéologie, certes noble, mais qui nous a encore plus divisé qu'auparavant, et cela ne s'était jamais vu dans l'histoire de notre peuple. Et qu'as-tu fais à Ogash ? Tu l'as dressée comme un chien enragé, et tu l'as en plus de ça engrossée. C'est notre sœur, elle vaut mieux que ça ! Tu incarnes la vilénie en personne, et tu mérites le pire des châtiments.
- Je vais effacer sur toi ces marquages du clan Corneffroi en te pelant la peau à vif ! Ils ne t'appartiennent pas et tu ne mérites pas ces terres !
Irascible, la fierté de Yashnarz attaquée, il lâcha les chaînes métalliques d' Ogash, qui lui donna le droit d'attaquer son frère Ghorthul. La silhouette difforme, devenue monstrueuse, galopa frénétiquement à toute vitesse vers Ghorthul. Dans son dernier élan d'espoir, il vit Ogash foncer sur lui, priant qu'elle s'arrête à temps, ce qui ne fut pas le cas. Au dernier moment, Ghorthul esquiva l'attaque, sorti son glaive dans la seconde qui précédait puis la planta dans le ventre d'Ogash. Gisant au sol d'agonie et de tocs nerveux, elle hurla de souffrance et de peine, car le glaive avait penetré l'enfant dans le ventre de la mère, ce qui atténua les dégâts. Ghorthul retira son glaive avec des morceaux d'embryon avant de s'approcher vers sa sœur, le chagrin au coeur.
- Je t'aimerai pour toujours, petite sœur.
Ogash continua d'hurler frénétiquement de rage et de larmes.
Ghorthul empoigna fermement son glaive puis le planta dans le coeur d'Ogash. Lorsque l'arme pénétra son coeur, les hurlements se coupèrent net, la mâchoire difforme ouverte, les yeux commençant à rouler en arrière, Ogash succomba.
Yashnarz sorti sa hache, dans une colère noirâtre :
- Espèce de raclure, tu vas payer pour ce que tu as fais !
- Non, c'est toi qui va en payer le prix des conséquences. Tu as ruiné la vie de notre sœur en faisant d'elle une arme de destruction. Et tu l'as délibérément envoyé comme bouclier humain droit vers la mort comme un vulgaire morceau de pâturage. Tu es la pire des ordures, et je compte bien appliquer le Code de Mauloch avec toi, mon frère.
Les deux frères se lancèrent dans une frénésie meurtrière. Ils poursuivirent un des combat les plus sanglants que Ghorthul a mené dans toute sa vie. Une fois la mêlée rapprochée, ils se cognait, se poignardaient, se broyaient quelques côtes, se fracturaient certaines parties osseuses, se dévoraient à l'aide de leur défenses, et lacéraient le corps durant près de cinq heures. A l'issu, les deux Orques étaient extenués, tous deux allongés au sol. Ghorthul semblait plus fatigué que Yashnarz tandis que ce dernier, dans un ultime effort, se dirigeait vers le corps sans vie d'Ogash. Il trainait sur son chemin des lambeaux de peau déchirés, les mains recouverts de sang il caressa le visage et le corps de sa soeur morte, jusqu'à son ventre sur une partie de leur enfant fut disséqué en quelques morceaux. Il le prit dans ses mains puis pleura de rage pendant de longues minutes. Ghorthul quasi-inconscient à moitié éventré les viscères à l'air, dans une marre croissante de sang, comprit que la vengeance et la haine était ce qui causa la dissolution de la famille, aussi disparate qu'elle ne l'était déjà auparavant.
Pendant ce temps, Yashnarz reprit ses esprits, et dans une tourmente noire se tourna vers Ghorthul. Il rampa vers ce dernier, l'avant bras gauche déboité et se releva vers lui dans un ultime et grandiose effort. Il prit le glaive de Ghorthul au sol qui lui permet d'acheter Ogash et s'apprêta à tuer de la même façon son frère. Ghorthul, dans un élan d'éveil, ne manifesta aucuns bourd d'honneur, et daigna pas faire le moindre effort.
- Meurt.. espèce... de lâche.
- Malacath... te le... rendra, frère.
Satisfait de cette vision, alors que Yashnarz s'apprêta à achever le coup final, Yashnarz fut réduit en cendre par un sort de destruction de flamme par l'Archonte Elia du haut des rochers. Ancre-les-mots avait réussie à avertir à temps Elia de l'état déplorable de la situation. Ghorthul fut enseveler par un léger tas de cendres, pensant dans son subconsciens que cet effet fut la sensation étrange et chaleureuse de la mort frappante, puis plongea dans un coma profond.
Voile noir.
La révérence
Les blessures étaient telles que de simples sorts de soins ne pouvaient pas guérir la totalité des blessures, aussi bien externes qu'internes. Même Octave n'a pas réussi Il aurait fallu une magie bien complexe pour un rétablissement de conséquence. La totalité des Compagnons dans leur ensemble accompagnèrent Ghorthul dans un centre curatif basé la Glénumbrie tenus par des Maître Mages expérimentés, où il dort profondément sur un lit.
Elle l'accompagna tous les jours, et certains Compagnons passaient de temps en temps pour lui rendre visite. Un des Mages sachant manier la magie Aedrique et les soins qui en découlent, expliquait à Elia qu'il n'avait jamais vu de son vivant de telles blessures, qu'elles étaient pire que celles que pouvaient infliger un Durzogh, un Smilodon ou encore un Wamasu.
Lorsque Ghorthul se réveilla après de longs jours en dormition, il vit Elia près de son lit à attendre, la tête baissée, plongée dans ses pensées. Il ouvrit les yeux discrètement afin d'observer Elia dans ses aspects qu'elle n'a pas pour habitude de montrer aux autres. Après cela, il fit semblant de se reveiller en bougeant ses bras, ce qui interrompit le flot de pensée d'Elia.
- Ghorthul !
- Ah... La dernière fois que j'ai entendu ce nom, c'était de mauvaise augure. Je...
Elia interrompit Ghorthul à son tour pour l'embrasser et le prendre dans ses bras.
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