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Le retour bouleversé de Silgrid
Lun 23 Aoû - 10:32
Silgrid arriva au triple galop en pleure à la citadelle. Elle descend de cheval et fonce sur Zéphyriel qui traversait la cour à ce moment-là. La nordique vint foncer dans les bras de son fiancé toujours en pleur.
- Que se passe-t-il ? Que t'arrive-t-il ? Pourquoi pleure-tu ?
- Monstre ! Korsen est un monstre ! Je suis désolée !
Sentant la colère montait en lui Zéphyriel fit de son mieux pour se contenir. Korsen un monstre ? Que lui a-t-il fait ? Si il l'a blessé ou pire... Il n'osa pas y penser et préféra demander la vérité à sa belle.
- Doucement, je suis là, tout va bien.
Silgrid était inconsolable, fortement accroché au torse du nordique. Zéphyriel lui caressa la tete. La demoiselle commençait à se détendre mais sanglotait toujours.
- Viens avec moi on va en discuter tous les deux.
Avec Silgrid toujours accroché à lui, Il l'aider à ramener son cheval à l'écurie. Le déséquipèrent et le brossèrent ensemble. La nordique se sentait un peu mieux. Zéphyriel la pris alors dans ses bras, lui souriant tendrement. Il l'emmena dans ses quartiers et la déposa sur son lit.
- Voilà, ça va mieux ?
- Un peu, dit-elle entre 2 sanglots.
Le guerrier sécha les larmes de sa belle avec sa main.
- Tu veux me raconter ce qu'il s'est passer ?
Elle hocha la tête et commença son récit. Une fois fini, Zéphyriel la berça pour la calmer jusqu’à ce qu'elle s’endormît.
- Maintenant allons régler ce problème.
Il déposa une couverture sur sa belle nordique endormit et partit en refermant la porte doucement.
- A nous deux Korsen !
Sondant la citadelle de ses sens magique, il trouva l’énergie de Korsen dans la cuisine. Il se déplaça donc vers la cuisine à pied, la marche lui permettrait de réfléchir plus posément qu’avec son portail. Il arriva à la cuisine et vit le nordique en train de boire avec déjà plusieurs vers vide autour de lui. « Silgrid as dû le blesser moralement » se dit Zéphyriel. Il continua son chemin pour aller s’assoir en face de Korsen. Celui-ci le vit et grogna.
- Hé qu’est-ce q’tu m’veux ? Ta gonzesse c’est qu’une salope, ouais une salope.
Il vida son verre et en commanda un autre.
- Bon je vais faire fit de ce que tu viens de dire. Korsen je voudrais…..
Le nordique n’écoutait pas son confrère et avait commençait à gueuler un charabia incompréhensible. Zéphyriel en eut marre. Il abattit violement son poing sur la table tout en déployant sa magie en un mot :
- Nahlot !
La table émit un craquement sinistre et le son de la voix du nordique se répercuta fortement dans la pièce. Korsen ne bougeait plus et regardait Zéphyriel ne sachant quoi faire. Zéph émit un soupire.
- Tu as de la chance que je ne maitrise pas le thu’um ou tu aurais perdu la voie aujourd’hui. Bien, maintenant que j’ai ton attention nous pouvons discuter. Je viens de récupérer Silgrid en pleure après votre petite escapade. Dis-moi, pourquoi as-tu essayer de la forcer à coucher avec toi ? Elle ne voulait qu’une chose, devenir ton ami.
- Et qu’est-ce que tu vas m’faire ? Un bobo sur le neunoeil ?
- Je voudrais que tu aille t’excuser sincèrement.
Korsen se mit à rire aux éclats.
- Tu rêves, petit.
- Je rêve ? Et pourquoi cela ?
- Tiens ta gonzesse en laisse avant, j’m’excuserai p’t’être.
- Ce n’est pas mon problème si tu n’arrives pas à juger une situation mais ça le devient si tes actes influent sur les compagnons et les personnes qui me sont proches !
- Ecoute moi bien !
- Oui ?
- Si je voulais baiser à mort ta copine, je l’aurai déjà fait, et elle n’en serait pas ressortie de la tombe pour venir chouiner sous tes jupons. Donc, fais moi plaisir, tu t’écrases. Et la prochaine fois que Silgrid aboie, tu l’apprivoises cette trainée de menteuse.
Zéphyriel ne se laissa pas gagner par la colère sous les insultes que Korsen portait à sa belle et soupira.
- C’est ça ouais. Respire tant que tu le peux encore, petit guerrier.
Korsen esquissa un sourire cynique. Le regard de Zéphyriel ainsi que son ton se durcirent
- Korsen, c’est bien parce que tu ne l’as pas fait que ta tête est encore sur tes épaules. Laisse moi te rappeler que tu es un compagnon et que en tant que tel, tu dois un minimum de respect à tes camarades et obéir à tes supérieurs. Es-tu mon supérieur ?
Le nordique laissa quelques secondes avant de continuer.
- Je ne crois pas. Tu vas allez t’excuser et c’est un ordre puis tu viendras me voir.
Korsen semblait piqué.
- J’ai pas violé ce ton car elle a une sale gueule, j’avais juste envie de baiser un coup, c’est tout. Et si tu veux m’écraser la tete sur le sol, j’tattends ! J’me laisserai pas traiter de vaurien par toi !
Prenant un ton plus calme mais toujours ferme, le nordique lui répondit :
- Je ne t’ai pas traité de vaurien. Korsen Hjornskr, je te respecte, tu es un bon gars, un brave nordique et un grand guerrier. Je t’aurais en effet traité de vaurien si je pensais le contraire. J’essaie de t’aider mais tu ne me laisse pas faire. Si tu reste buter, cette histoire se finira au consulat supérieur.
- Le consulat ? Et puis quoi encore, j’ai d’autres chattes à fouetter moi ! Bon bon… Ramènes moi ta femme que je lui dise c’que tu veux. Histoire qu’on me foute la paix avec ça.
Après un instant où Korsen semnlait réfléchir.
- Ok ok, comme tu veux petit. On fait ça vite fait.
Zéphyriel semblait soulager de la tournure de la discussion.
- Tant mieux, je préfère largement boire avec toi que d’avoir un problème à régler.
- Moi j’aime les deux, répondit Korsen.
- J’avais remarqué. Je te propose d’aller boire un verre si ça te va ?
Ne relevant pas la demande pour la boisson, Korsen commença à quitter sa chaise.
- Bon, c’est pas tout, mais j’dois aller chier. Le sanglier d’hier me déchire le cul…
- Comme tu veux.
Zéphyriel regarda le nordique finir de se lever.
- Bon, j’dois y aller. A plus tard petit… J’veux dire, Légat n’est-ce pas.
- A plus tard Korsen.
- Que se passe-t-il ? Que t'arrive-t-il ? Pourquoi pleure-tu ?
- Monstre ! Korsen est un monstre ! Je suis désolée !
Sentant la colère montait en lui Zéphyriel fit de son mieux pour se contenir. Korsen un monstre ? Que lui a-t-il fait ? Si il l'a blessé ou pire... Il n'osa pas y penser et préféra demander la vérité à sa belle.
- Doucement, je suis là, tout va bien.
Silgrid était inconsolable, fortement accroché au torse du nordique. Zéphyriel lui caressa la tete. La demoiselle commençait à se détendre mais sanglotait toujours.
- Viens avec moi on va en discuter tous les deux.
Avec Silgrid toujours accroché à lui, Il l'aider à ramener son cheval à l'écurie. Le déséquipèrent et le brossèrent ensemble. La nordique se sentait un peu mieux. Zéphyriel la pris alors dans ses bras, lui souriant tendrement. Il l'emmena dans ses quartiers et la déposa sur son lit.
- Voilà, ça va mieux ?
- Un peu, dit-elle entre 2 sanglots.
Le guerrier sécha les larmes de sa belle avec sa main.
- Tu veux me raconter ce qu'il s'est passer ?
Elle hocha la tête et commença son récit. Une fois fini, Zéphyriel la berça pour la calmer jusqu’à ce qu'elle s’endormît.
- Maintenant allons régler ce problème.
Il déposa une couverture sur sa belle nordique endormit et partit en refermant la porte doucement.
- A nous deux Korsen !
Sondant la citadelle de ses sens magique, il trouva l’énergie de Korsen dans la cuisine. Il se déplaça donc vers la cuisine à pied, la marche lui permettrait de réfléchir plus posément qu’avec son portail. Il arriva à la cuisine et vit le nordique en train de boire avec déjà plusieurs vers vide autour de lui. « Silgrid as dû le blesser moralement » se dit Zéphyriel. Il continua son chemin pour aller s’assoir en face de Korsen. Celui-ci le vit et grogna.
- Hé qu’est-ce q’tu m’veux ? Ta gonzesse c’est qu’une salope, ouais une salope.
Il vida son verre et en commanda un autre.
- Bon je vais faire fit de ce que tu viens de dire. Korsen je voudrais…..
Le nordique n’écoutait pas son confrère et avait commençait à gueuler un charabia incompréhensible. Zéphyriel en eut marre. Il abattit violement son poing sur la table tout en déployant sa magie en un mot :
- Nahlot !
La table émit un craquement sinistre et le son de la voix du nordique se répercuta fortement dans la pièce. Korsen ne bougeait plus et regardait Zéphyriel ne sachant quoi faire. Zéph émit un soupire.
- Tu as de la chance que je ne maitrise pas le thu’um ou tu aurais perdu la voie aujourd’hui. Bien, maintenant que j’ai ton attention nous pouvons discuter. Je viens de récupérer Silgrid en pleure après votre petite escapade. Dis-moi, pourquoi as-tu essayer de la forcer à coucher avec toi ? Elle ne voulait qu’une chose, devenir ton ami.
- Et qu’est-ce que tu vas m’faire ? Un bobo sur le neunoeil ?
- Je voudrais que tu aille t’excuser sincèrement.
Korsen se mit à rire aux éclats.
- Tu rêves, petit.
- Je rêve ? Et pourquoi cela ?
- Tiens ta gonzesse en laisse avant, j’m’excuserai p’t’être.
- Ce n’est pas mon problème si tu n’arrives pas à juger une situation mais ça le devient si tes actes influent sur les compagnons et les personnes qui me sont proches !
- Ecoute moi bien !
- Oui ?
- Si je voulais baiser à mort ta copine, je l’aurai déjà fait, et elle n’en serait pas ressortie de la tombe pour venir chouiner sous tes jupons. Donc, fais moi plaisir, tu t’écrases. Et la prochaine fois que Silgrid aboie, tu l’apprivoises cette trainée de menteuse.
Zéphyriel ne se laissa pas gagner par la colère sous les insultes que Korsen portait à sa belle et soupira.
- C’est ça ouais. Respire tant que tu le peux encore, petit guerrier.
Korsen esquissa un sourire cynique. Le regard de Zéphyriel ainsi que son ton se durcirent
- Korsen, c’est bien parce que tu ne l’as pas fait que ta tête est encore sur tes épaules. Laisse moi te rappeler que tu es un compagnon et que en tant que tel, tu dois un minimum de respect à tes camarades et obéir à tes supérieurs. Es-tu mon supérieur ?
Le nordique laissa quelques secondes avant de continuer.
- Je ne crois pas. Tu vas allez t’excuser et c’est un ordre puis tu viendras me voir.
Korsen semblait piqué.
- J’ai pas violé ce ton car elle a une sale gueule, j’avais juste envie de baiser un coup, c’est tout. Et si tu veux m’écraser la tete sur le sol, j’tattends ! J’me laisserai pas traiter de vaurien par toi !
Prenant un ton plus calme mais toujours ferme, le nordique lui répondit :
- Je ne t’ai pas traité de vaurien. Korsen Hjornskr, je te respecte, tu es un bon gars, un brave nordique et un grand guerrier. Je t’aurais en effet traité de vaurien si je pensais le contraire. J’essaie de t’aider mais tu ne me laisse pas faire. Si tu reste buter, cette histoire se finira au consulat supérieur.
- Le consulat ? Et puis quoi encore, j’ai d’autres chattes à fouetter moi ! Bon bon… Ramènes moi ta femme que je lui dise c’que tu veux. Histoire qu’on me foute la paix avec ça.
Après un instant où Korsen semnlait réfléchir.
- Ok ok, comme tu veux petit. On fait ça vite fait.
Zéphyriel semblait soulager de la tournure de la discussion.
- Tant mieux, je préfère largement boire avec toi que d’avoir un problème à régler.
- Moi j’aime les deux, répondit Korsen.
- J’avais remarqué. Je te propose d’aller boire un verre si ça te va ?
Ne relevant pas la demande pour la boisson, Korsen commença à quitter sa chaise.
- Bon, c’est pas tout, mais j’dois aller chier. Le sanglier d’hier me déchire le cul…
- Comme tu veux.
Zéphyriel regarda le nordique finir de se lever.
- Bon, j’dois y aller. A plus tard petit… J’veux dire, Légat n’est-ce pas.
- A plus tard Korsen.
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