Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses 
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?




Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

• Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle. 
  

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

• Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.
  

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

• Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.
  

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle 
[suite du message]

• Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.
  

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles. 

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.


Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :







Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Zephyriel a écrit:Kar jeenar, même endroit mémé lieu

Attrape Ivy doucement.

- repose toi, nous irons demain quand tu auras récupérer. Merci pour le déplacement Neeicus.

Ivy avec le chaton au même moment 

Elle se blotti contre lui.
Et dans un soupire en fermant les yeux lui dit 

- tu as raison, je ..  ( Zzz)

Neeicus avec Kar Jenar et Ivi dans le dortoir

De rien, pour être sur je vais aller au quartier des officiers afin de trouver dame Elia ou le Dux pour leur dire ce qui c'est passer

----- NOUVELLE JOURNÉE -----

Elia, quelques heures avant le lever du soleil, dans ses quartiers

Le plafond tournoie tandis qu'elle rouvre les yeux. Elle se sent vide. Aucune émotion ne la parcourt, ni joie, ni tristesse, ni colère. Elle sonde les sensations au creux de son ventre et rien ne lui vient, à part une horrible nausée. Difficilement, elle se relève sur un bras. La pièce tourne un peu plus. Elle aimerait pleurer, mais rien ne vient. Elle jette un coup d'œil au miroir au-dessus de son bureau. Elle mériterait bien un bain. "Mais après tout, à quoi bon ?" 

Dédaignant sa nausée, elle se dirigea vers la carafe à décanter posée sur son bureau et se servit une coupe de vin. Attrapant son verre, et la carafe, elle se dirigea vers les bains, sirotant le breuvage qui étourdit son esprit et lui apportait un peu de légèreté. Elle se dévêtit, laissant négligemment ses vêtements sur le sol, sans se soucier de vérifier si les paravents étaient bien ajustés et plongea dans l'eau chaude. Elle usa de ses pouvoirs pour en augmenter la température, jusqu'à ce que la chaleur soit à la limite du supportable. Avalant une autre gorgée de vin, elle reposa son verre sur le guéridon adjacent et s'immergea complètement, retenant sa respiration. Ici, elle était dans une bulle. Ici ses problèmes n'existaient pas. Ici, elle n'était pas Elia, la "femme facile" à qui on ne pouvait pas accorder sa confiance, la sorcière méprisante au cœur de glace. Elle n'était pas cette personne qui avait été si emportée par ses ambitions qu'elle avait provoqué la mort de son mentor. Ici, il n'y avait pas de mystères, pas d'expéditeur de lettre inconnu... Elle était juste elle. Nue et étourdie de chaleur et de vin. 

Elle était en train de manquer d'air. "Elia, tu ne peux pas te cacher ici éternellement. Tu dois te reprendre et affronter ce que tu as créé. Mais d'ailleurs... Qui a donné cette lettre à Ghorthul ?"
Elle sortit d'un coup la tête de l'eau, aspirant l'air goulûment.

Ivy en compagnie de Kar-jeenar,  dans les dortoirs au même moment. 

Ivy ouvre les yeux, combien de temps à tel dormis ?  Elle ne sait pas, elle est encore un peu perdue à sont réveil et émerge difficilement. 

Elle est allongé sur le côté et pose sa mains sur sa hanche, elle y découvre celle de Kar-jeenar, il est à ses côtés blotti contre elle la serrant contre lui. Elle se retourne lentement, la présence de Kar-jeenar, l'éveil complètement, elle sourie à la vue du chaton endormie.
 
Elle passe sa main dans sa crinière, du bouts des doigts passe derrière son oreille, glisse dans sa nuque, avec ses ongles, elle fait des vas et viens dans sont dos. Il frissonne et ouvre les yeux doucement.

 - Bonjour vous, lui dit-elle dans un sourire tendre et dépose un baiser sur le coin de ses lèvres.

Kar Jeenar, avec Ivy, même moment,


Le khajiit s'était fais réveiller par les douces caresses de sa dame. Il ouvrit les yeux et ronronna de plaisir.

- Bonjour belle dame, lui répondit-il

Il l'enlaça et frotta sa joue contre la sienne.

Ivy en compagnie de son chaton dans les dortoirs, tôt le matin 

Après de tendres carresses, elle se redressa et enfila une jupe et un chemisiers en lin blanc elle brossa, négligemment ses cheveux comme pour se dépêcher.
Puis elle s'assit se le bord du lit

- Que fait ont selon vous ? Devrions nous allez voir Zahïrk ?  Ou parler de ce qu'il c'est passer à Elia ? -elle fait la moue- Je ne me risquerais plus à garder les choses pour moi ... cette fois je ne ferais pas la même erreur.

Elle regarda son chaton lové dans la couverture, visiblement pas très pressé de se lever, alors elle lui lança un sourire taquin et le poussa hors du lit.

- debout là dedans ! Aha 

Elle se rapprocha de lui pour lui tendre la main.

Elia, au point du jour, aux bains

Elle sortit de l'eau et s'enveloppa dans une serviette de lin, séchant sa peau. Elle passa une simple robe légère nouée sur le côté, aux manches amples, confortable. Elle ne se sentait pas d'attaque à s'entraîner aujourd'hui. Mais elle aurait beaucoup à faire et elle avait l'intention de se redonner visage humain. Elle se rendit dans ses quartiers et attrapa une petite fiole dont elle déposa quelques gouttes de parfum au bout de son doigt qu'elle appliqua à la jonction de son cou et de ses oreilles et sur ses poignets. Elle se sentait déjà mieux qu'en s'éveillant.

Elle ressortit de sa chambre et traversa la pièce pour se rendre à la chambre voisine, celle de Ghorthul. Anxieuse, elle frappa à la porte, mais nul ne répondit. "Peut-être est-il encore en train de dormir ?" Elle ouvrit très doucement la porte, mais, à l'intérieur, il ne se trouvait pas la moindre trace de l'orque. S'approchant du lit, elle remarqua que celui-ci n'avait pas été défait. "Cela signifie qu'il n'a pas dormi ici ?". Elle ignora l'inquiétude qui montait dans son ventre. Il finirait bien par rentrer et alors, ils pourraient discuter, elle pourrait s'expliquer. En attendant, elle attrapa une plume et un parchemin sur son bureau et, avec soin, elle écrivit une note. 

"Cher Ghorthul,

Je me doute que vous entretenir avec moi au sujet de la lettre que j'ai reçue est la dernière chose que vous souhaitez, mais j'ai grandement besoin de vous parler. Je fais appel à votre patience une fois de plus et vous demande de m'accorder encore un peu de votre temps. C'est important.
Je vous attends à la Citadelle, je me tiens entièrement disponible pour vous.

Avec tout mon respect,

Elia"

Elle relut la lettre. Ce n'était pas terrible... Mais elle ne voyait pas quoi dire d'autre. Elle ne voulait pas tomber dans le mélodrame et elle ne voulait pas non plus montrer que cela ne lui faisait rien. Elle tourna dans la pièce, sans savoir quoi faire et finit par déposer le parchemin sur le lit, quittant la chambre de Ghorthul. "Bien, et maintenant ?"

Silgrid, dans les écuries, dans la matinée.


La nordique après avoir bichonner ses bêtes préférées s'était abandonnée à la contemplation de l'objet offert par son fiancé. Le collier de Zéphyriel était évidemment sublime, une œuvre d'orfèvre. Le guerrier lui avait tout raconter de leur mission désespéré en Cyrodiil et elle n'ignorait plus rien de la menace pesant sur eux. 

Mais elle n'aimait pas les bignoux magiques.

Elle hésitait, passait son temps à le prendre dans sa poche puis à le remettre. En quoi un petit enchantement la sauverait d'un coup d'épée bien senti? Et puis elle n'allait quand même pas se cloîtrer ici sous-prétexte que monsieur avait voulu faire le malin avec une personne dont la malfaisance ne laissait aucun doute! Pourquoi fallait--il que Zéphyriel soit si orgueilleux?! Piéger le repère d'un mage! Elle grimaça et rangea une nouvelle fois le collier avant d'entreprendre de se rendre à la forge.

Phèbe dans un bureau tard le soir.

Elle était en train de s'afférer à mettre à jour le registre des allées et venues quand on frappa à la porte de la pièce. "Entrez!". Elle ne releva pas tout de suite la tête jusqu'à entendre une voix grave et mélodieuse:

- Vous m'avez fait mander?
- Au garde à vous, Gardien Ganzaëlle. On salut et au garde à vous.

Elle était sérieuse et il déglutit. Elle semblait d'une humeur massacrante. Il recommença avec un salut cette fois et en fixant le mur derrière elle:

- Sénéchal, comment puis-je vous servir?
- Vous possédez des indices dans l'une de nos quêtes récentes. J'ai besoin que vous les restituyez.
- De quels éléments parlez vous?
- "Dans le sous-sols de la crypte, au niveau de ce qui s'apparentait à un atelier de travail, la bosmer Sabehla trouva un journal mais nous n'avons pas eu le temps de l'étudier" 

Phèbe avait pris un document pour le citer. Elle darda son regard sur Ganzaëlle:

- J'ai interrogé Sabehla, elle dit vous l'avoir remit.
- C'est... en effet., le bosmer était visiblement réticent.
- Il y a également un croquis d'un outil magique il me semble?
- Oui..., l'elfe semblait plus que malheureux de devoir l'avouer
- Je ne vais pas vous prier de me le remettre, c'est un ordre.
- Je pensais l'étudier encore un...
- Ahaha! Ne jouons pas à ça! Nous savons tout les deux que tu as retenu le contenu à la seconde où tu l'as lu.
- Satané mémoire.
- Oh oui quel calvaire ca doit être, Phèbe n'avait pas du tout l'air d'humeur à plaindre qui que se soit,. La décision de notre Légat de piéger le passage à des risques, nous devons nous préparer à tout éventualité. Ce n'est pas un jeu. 
- Je vous l'ammène....
- L'original comme la copie.

Ganzaëlle lui jeta un regard profond et Phèbe imperturbable ne détourna pas les yeux. Ils savaient tout les deux qu'elle ne serait pas dupe. Pris la main dans le sac, il effectua un révérence. Il revint quelque minutes plus tard. Elle tendit la main impatiente et saisit le journal original et sa copie conforme.

- Si je découvre qu'un autre réplique traîne, je vous tiendrais personnellement responsable de toutes les conséquences que cela peut avoir. Compris?
- Parfaitement.
- Qu'est-ce...

Phèbe sortis des feuillets d'entre deux pages. C'était des croquis des visages, de motif corporel et d'éléments décoratifs. Ganzaëlle bondit pour tenter de les récupérer mais fut figer par la froideur de Phèbe.

- Je ne savez pas que nos hommes de rangs avait tant de temps libres. 
- Ce sont les victimes.
- Les victimes?
- ...
- Ganzaëlle, je vous ordonne de me donner une explication.
- Il y a une liste de sujet d'expérience dans le livre.... J'ai fais des croquis des victimes de la crypte de mémoire pour... les identifer si possibles... et prévenir leur famille. Elles doivent savoir.

Il serrait la mâchoire. Elle regarda plus attentivement les dessin en pensant, toujours aussi talentueux. Elle les rassembla pour les lui tendre:

- Je me souviens que Zéphyriel a mentionné votre volonté de prévenir la famille de Alcmerion. Faites donc. Vous pouvez disposez.

Quand il fut partis, elle inspecta la copie et le journal pour trouver la moindre anomalie ou différence. Quand elle fut certain que personne ne saurait les différencier à par le propriétaire, elle garda l'original et mis l'autre sur la pile des choses qu'il faudrait bien qu'elle trie un jour.

Zéphyriel, quartier des officiers, au matin


Après avoir passer une nuit des plus agréable, il alla frapper à la porte de la chambre du Dux. Visiblement, il n'y avait personne. Il refis la même opération avec celles des autres officiers à la suite sans attendre de réponse entre 2 coup. Il attendit ensuite une réponse.

Elia, quartiers des officiers, dans la matinée

Entendant quelqu'un frapper à la porte de sa chambre, Elia sursauta, pensant qu'il s'agissait de Ghorthul. Elle se leva précipitamment de son fauteuil pour aller ouvrir et découvrit Zéphyriel. Une lueur de déception passa dans son regard, mais elle le salua respectueusement.

- Bonjour Zéphyriel. Tu avais besoin de quelque chose ?

Zéphyriel, quartier des officiers, même moment

- Bonjour Elia ! Oui tu te souviens de la mission effectué en Cyrodil pour aider la femme d'un forgeron disparue ?

Il lui tendit un parchemin.

- Voila ce que j'ai trouvé dans ma chambre le jour qui a suivi.

Kar Jeenar, dans la chambre d'Ivy,

Surpris par le coup taquin de la jeune femme se retrouva au sol. Lorsque celle-ci lui tendit la main, il l'attira à lui et l'enferma dans ses bras.

- Et si nous restions comme ça aujourd'hui, juste toi et moi lové l'un dans l'autre ?

Elle le regardait ne désirant que cela mais ils savaient tous les deux que ce n'était pas possible.

- Bien, qui chez les compagnons pourrais t'aider ? Zahirk pour te soigner mais pour la magie, Elia peut être ?

Ils se relèvent sans se chercher à se décrocher.

Zephyriel a écrit:Kar Jeenar, dans la chambre d'Ivy,

Surpris par le coup taquin de la jeune femme se retrouva au sol. Lorsque celle-ci lui tendit la main, il l'attira à lui et l'enferma dans ses bras.

- Et si nous restions comme ça aujourd'hui, juste toi et moi lové l'un dans l'autre ?

Elle le regardait ne désirant que cela mais ils savaient tous les deux que ce n'était pas possible.

- Bien, qui chez les compagnons pourrais t'aider ? Zahirk pour te soigner mais pour la magie, Elia peut être ?

Ils se relèvent sans se chercher à se décrocher.

Ivy en compagnie de Kar-jeenar dans les dortoirs au même moment 

Au sol, dans les bras de sont chaton, 

- Évidemment, je rêve d'un moment juste toi et moi, mais je veux vraiment résoudre ce mystère, je ne me laisserai pas déborder par les événements , nous devrions allez voir Elia pour lui en parler et interroger Zahïrk par la suite ... 

Elle se relève, et le serre dans ses bras frottant son visage dans sa nuque, elle se retire et l'embrasse tendrement.

- souhaite tu venir avec moi ou veux tu allez voir Zahïrk pendant que je vais voir Elia ? 

Elle replaça sa robe et l'épousta, avant de se placer devant lui pour attendre sa réponse.

Elia, dans les couloirs des quartiers des officiers, en compagnie de Zéphyriel

Intriguée, elle attrapa le parchemin que lui tendait le légat, remarquant l'air grave de celui-ci. Lorsque son regard se posa sur les lignes, elle posa sa main devant sa bouche pour étouffer sa surprise.

Cher Zéphyriel,

Bien que j'ai le plus grand respect pour les Psijiques et leurs charmants tours de magie, je suis déçu que tu aies pensé, ne serait-ce qu'un instant, pouvoir me tromper avec ce charmant piège temporel. Sotha Sil a beau être doué, ce n'est qu'un charlatan qui se prend pour un dieu et joue avec des rouages. Je pensais qu'en voyant ce dont j'étais capable, tu comprendrais que ceci serait bien superflu, mais je me désole que tu aies à ce point insulté mon intelligence.

La discrétion et la subtilité n'ont jamais été ton fort. Comment pourrait-il en être autrement ? Tu as beau manier la magie, tu es aussi balourd et rustre que les autres Nordiques et je regrette de te dire ce ne sont pas quelques artifices qui changeront quoi que ce soit à cela.

Un petit conseil : ne joue pas au plus malin. Toi et les autres, allez fourrer votre nez ailleurs. J'imagine déjà ton obstination et ton agacement en lisant ces mots. "Mais pour qui se prend-il, cet inconnu, ce lâche qui ne me confronte pas en face et qui juge mes compétences ?". Mais je te connais, Zéphyriel, mieux que tu ne le crois. Et sache que rien ne serait plus facile pour moi que d'aller rendre un petite visite à Silgrid et de lui réserver le même sort que celui que vous avez infligé à mon cher Alcmerion.

Mais bien sûr, je pourrais tout aussi bien ne rien faire et tu pourrais tout aussi bien détruire les effets que vous et vos petits Compagnons m'avez volés.

J'espère que tu prendras la bonne décision.

Avec mes salutations respectueuses

- Par les Huit... Quand ? Tu... tu l'as vu ? Ce mage ? Ou Silgrid ?

Kar Jeenar, avec Ivy,


- Je t'accompagne ma belle, je veux te soutenir. Surtout si tu t'évanouis à nouveau.

Il lui ^ris la main prêt à l'accompagner.

Zephyriel, quartier des officier, devant la porte d'Elia,

- Je l'ai eu hier, Silgrid à eu la visite d'un certain Alcmerion à sa forge qui me passait le bonjour... Il va sans dire que je suis assez inquiet. Je pense que nous devrions revoir tous ce que nous avons sur cette mission.

Elia, quartiers des officiers, au même moment

Elle les yeux vers l'officier, mais son regard semblait perdu dans ses réflexions.

- ... Oui. Rassemble toutes les preuves, je les veux sur mon bureau sur le champ. Ainsi que le rapport de mission. J'aimerais aussi une liste de tous les Compagnons présents ce jour-là. Où est Silgrid ? Je dois lui parler. Je veux en savoir plus sur ce mage.

Zephyriel a écrit:Kar Jeenar, avec Ivy,


- Je t'accompagne ma belle, je veux te soutenir. Surtout si tu t'évanouis à nouveau.

Il lui ^ris la main prêt à l'accompagner.

Ivy avec kar-jeenar dans les dortoirs au même moment 


Elle pris sa main, et lui sourie avant de s'accrocher à son bras,
En sortant des dortoirs communs elle entendu des voix venant du quartier des officiers et reconnue la voix d'Elia.

Il se dirigerent en direction des voix, et virent, Elia et Zephyriel discuter.
Ne souhaitant pas déranger elle resta un instant en retrait attendant le moment opportun pour intervenir.

- Bonjour à vous Zephyriel, Archonte 

Elle les salua respectueusement avant de reprendre, 

- Dame Elia ? Pourrions-nous vous voir un instant, quand vous aurez un moment s'il vous plaît ?

Elia, quartiers des officiers

Vivement, elle tourna la tête vers la voix qui l'interpella.

- Ivy ? Décidément, vous êtes nombreux à vouloir me parler ce matin ! Je suis à toi dans un instant. Zéphyriel ?

Zéphyriel, quartiers des officiers,

- Je vais rassembler ce que nous avons Elia, j'irai chercher Silgrid, et il me semble que Gonzaelle possède une partie des objets de cette mission, le reste est ce que j'ai déposé dans ton bureau en revenant. c'est la sacoche au pied de ton bureau avec une barrière dessus, simple précaution.

Il salua de la tete les nouveaux arrivants et se mit à chercher Silgrid avec ses sens magiques, il l'a repéra dans les écurie et s'y transporta magiquement aussitôt.

Elia, quartiers de officiers, après le départ de Zéphyriel

Fébrile, elle regarda le Légat quitter les lieux avant de se tourner vers Ivy et Kar Jeenar. 

- Bien, qu'y a-t-il, Ivy ? Vous avez l'air pâle, êtes-vous sûre d'aller bien ?

Silgrid dans la court en même que Zéphyriel apparaît. 

Quand elle sentit la présence du portail à moins de 30 centimetre d'elle, son premier reflexe fut de se retourner pour balancer de toute ses forces la lime qu'elle avait utilisé sur les fers au écurie. Après tout il paraît qu'un mage lui en voulait!

La lime virvolta et... atterit dans le front de Zéphyriel....

Elle écarquilla les yeux, prise de panique :

- Oh non! J-Je suis désolée ! Olalah... mais qu'est-ce que tu fiches là ?

Elle s'approcha précipitamment pour regarder les dégâts.

Général Patafouin a écrit:Elia, quartiers de officiers, après le départ de Zéphyriel

Fébrile, elle regarda le Légat quitter les lieux avant de se tourner vers Ivy et Kar Jeenar. 

- Bien, qu'y a-t-il, Ivy ? Vous avez l'air pâle, êtes-vous sûre d'aller bien ?

Ivy avec Kar-jeenar et Elia dans les dortoirs au même moment 

Ivy se tenait droite aider par le bras de Kar-jeenar, elle se pencha en avant pour chuchoté à Elia.

- Elia nous devrions allez dans vos quartiers pour discuter ... 

Elle avait l'air grave, elle était tremblante et serrer fort la main de Kar-jeenar.

Elia, quartiers des officiers, dans la matinée

Elle scruta le visage d'Ivy, jetant un rapide coup d'œil au Khajiit. Cela semblait sérieux et ce n'était pas pour la rassurer. Son cœur se mit à battre encore un peu plus vite. "Ce ne peut pas être une coïncidence que tous ces évènements surviennent en ce moment…". Elle jeta un coup d'oeil au parchemin que Zéphyriel lui avait laissé et ses entrailles se resserrèrent. Elle le rangea dans le pli de ses vêtements.

- Très bien, suivez-moi.

Elle les mena à l'intérieur de ses quartiers et, croisant les bras sur son torse, la mine véritablement affectée, elle questionna :

- Que se passe-t-il ?