Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses 
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?




Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

• Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle. 
  

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

• Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.
  

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

• Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.
  

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle 
[suite du message]

• Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.
  

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles. 

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.


Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :







Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Zephyriel, dans la chambre avec Silgrid

- La personne que tu as vue est très dangereuses.

Il s'éloigna pour récupérer un parchemin dans le tiroir de son bureau.

- Voila ce qui me préoccupe ces derniers temps, quand tu auras lu cette missive tu comprendras mon inquiétude.

Zéphyriel passe une lettre soigneusement écrite à Silgrid.

Silgrid avec Zéphyriel même endroit même moment 


Elle lu attentivement ma lettre.  Honnêtement sans contexte c'était très décousu. Elle n'osa pas demandé d'explication à Zéphyriel de peur qu'il ne soit d'avantage irrité. Elle comprenait bien que l'on le menaçait en l'utilisant elle. Mais les raisons lyi semblait un peu compliqué. 

- Zéph.... Il ne m'a rien fait. Ne t'inquiète pas. Dis moi plutôt ce que tu comptes faire à présent?

Ivy, avec Zahirk, dans l'atelier d'alchimie.

Elle termina sa discussion avec Zahirk, quand une sensation étrange l'envahie, un inconfort global la hante  soudainement, elle entre en transe, des frissons parcours sont corps, et sous ses yeux grand ouvert Zahirk, les fioles, les bandages usagers, le sang, les ingrédients, et tout l'atelier d'alchimie disparait pour laisser place a un brouillard. Les voix lointaines arrivent jusqu'a ses oreilles, comme des petits chuchotements presque inaudibles, elle ne comprend pas la langue, ni la signification des chuchotements, étonnamment elle n'a pas peur.

Elle se lève, et se dresse devant Zahirk et sans dire un mot, attrape un parchemin et une plume, et ce met à écrire frénétiquement.
Une fois terminer elle sort de la pièce en bousculant Zahirk au passage bouche-bée, elle se dirige vers le quartier des officiers, s'arrête devant la chambre du Dux et frappe a sa porte sans s'arrêter, comme hypnotiser par l'action.

Ghorthul, dans les quartiers d'Officiers


Ghorthul, d'une posture effrontée comme pour confronter un problème, était assis face à son bureau devant une carte du Bois Noir. Il se demanda si les Quatre Ambitions que ses Compagnons et lui-même avaient sauvé là bas ne seraient-ils peut-être pas mieux ici au sein de la Citadelle, qui elle-même se révèle être une forteresse impénétrable. Bien que la menace d'un Dieu Daedrique plane dessus ces entités, il se plongea de plus en plus dans sa réflexion quant à trouver une meilleure solution.
Et puis soudain, une toque répétitive de l'autre côté de la porte lui coupa net ses idées, comme si qu'un château de carte à six étages venaient de s'effondrer. Agacé par cette rupture de pensée, il garda son sang-froid mais ne pu s'empêcher de s'écrier :

- ENTREZ !

Ivy devant le seuil de la porte de la chambre de Ghorthul 

" ENTRÉE " 

Elle ouvre la porte sans passer le seuil, de façon mécanique, et lui dit de façon monocorde.

- Un homme à déposer cela pour Elia.

Elle tend le parchemin à Ghorthul, les yeux dans le vide, sans expression sur le visage.
Ghorthul prend le mystérieux message et avant qu'il n'ai eu le tend de le lire Ivy avait déjà tourné les talons .

Elle perd légèrement l'equilibre et s'accroche au mur, elle se sent vaseuse et ses jambes sont engourdis.

Ghorthul, dans ses quartiers, ayant fait entré Ivy

Le Dux se leva puis prit la lettre qu'Ivy était venue lui apporter, disant qu'il s'agissait d'une "homme". Il répondit :

- Merci Paladine, vous pouvez disposer.

Ghorthul observa tout de même le comportement étrange d'Ivy sans réflexions particulières puis retourna s'asseoir derrière son bureau. Il se répéta dans sa tête :

- Un homme ?...

Ghorthul lu le libellé de la lettre intitulé "A ma délicieuse Élia". Sans passer par quatre chemin, il ouvrit la lettre de façon peu soignée. Il lu le contenu de cette dernière :

Ma chère Elia,

La nuit dernière fut torride et je me languis déjà de ne plus sentir ton corps à mes côtés. 
Ta beauté n'a pas d'égale lorsque l'extase te rattrape. L'eau qui perle sur ta peau d'albâtre est comme les gouttes de rosée du matin et elle fait briller tes courbes somptueuses. Cette charmante tâche de naissance que tu as au bas de ton ventre est comme une invitation à y déverser mes baisers les plus passionnés. J'aime comme tu frémis chaque fois que je passe mes mains sur ton cou délicat.
Sans toi, je suis perdu, je t'en prie, retrouvons-nous bientôt à l'endroit habituel.


Ton dévoué et passionné


D.

Il lu la lettre dans le plut grand des calmes, malgré que son coeur bouillonnait de rage à l'intérieur. Lettre à la main, il prit une torche dans le couloir pour brûler celle-ci. Il prit les quelques cendres restantes pour les déposer sur le bureau d'Elia, puis se dirigea vers son lit pour méditer quant à tout ceci.

Elia, quartiers des officiers, au même moment

Ces derniers jours Elia avait pris l'habitude de s'entraîner très tôt à l'extérieur des murs de la Citadelle pour ne déranger personne avec les sons des violentes explosions de ses sorts et afin de s'assurer qu'elle ne brûlerait pas un Compagnon qui passerait par là.
Elle rentrait donc de son entraînement, fatiguée des courtes nuits qu'elle passait et de la quantité incroyable de ressources qu'elle sollicitait dans l'espoir de s'améliorer.

C'est alors qu'elle vit Ghorthul se diriger dans ses quartiers d'un air décidé, ouvrant la porte de sa chambre sans le moindre ménagement, pour repartir ensuite comme il était venu dans ses propres quartiers. Intriguée, Elia fronça les sourcils et, attendant qu'il ait refermé la porte, demeura sans bouger. Il ne l'avait pas remarquée. Elle s'avança jusqu'à sa chambre et l'inspecta rapidement. Rien ne semblait avoir bougé, le lit était fait, ses instruments magiques et livres étaient bien à leur place, son bureau était toujours bien rangé... sauf qu'il s'y trouvait un petit tas de cendres. Intriguée, Elia inspecta le petit monticule noirâtre pour y distinguer des bouts de parchemin noircis.

- Mais qu'est-ce que... 

Elle ne comprenait pas. Était-ce Ghorthul qui avait déposé cela ? Elle décida d'aller le questionner sans plus attendre et se dirigea vers ses quartiers, ouvrant la porte sans s'annoncer.

- Bonjour Ghorthul. Est-ce vous qui avez déposé ce petit tas de cendres sur mon bureau ?

Ivy dans les dortoirs, au même moment 

Elle titubât jusqu'au dortoir pour y retrouver Kar-jeenar, qui veiller sur elle, avec l'autorisation du Dux.

Il était dans le fond de la pièce assit sur son lit, à sa vue elle sourie et son visage s'illumine,

- Kar-jeen... 

Elle s'écroula sur le sol, inconsciente, les évènements précédents l'avait épuisée, les séquelles était encore trop grande et son mystérieux état ne s'arrangé pas.

Kiara tour d'entraînement avec Hamir au même moment 


En se redressant après avoir mis Hamir au sol, un parchemin tomba de sa robe.
Elle se souvenue, en se changeant dans les dortoirs, avant l'entraînement elle avait aperçu la lettre, déposer délicatement sur son lit, elle l'avait pris au passage et glisser dans sa robe avant de courir rejoindre Hamir, elle décida de l'ouvrir, pendant que Hamir se relève.

Sur le parchemin se trouve sont arbre généalogique, et un mot crypté ...

Elle arrache le parchemin et se retourne vers Hamir le visage grave, pour lui chuchoter dans l'oreille.

- Hamir ! Plus le temps pour l'entraînement je dois agir au plus vite ont essaie de nous mettre des bâtons dans les roues ... 

Elle l'aide à ce relever.

- nous devons allez voir Elia ! Suivez-moi ! 

Elle ordonna comme une vieille habitude.

Ghorthul allongé sur son lit


Ghorthul observa Elia se questionner sur l'origine de ce petit tas de cendre sur son bureau. Il lui répondit :

- Il semblerait qu'un certain "D.", votre dévoué et passionné fit l'éloges de vos ébats charnels. Il n'est apparemment plus le seul a avoir remarqué vos... "courbes somptueuses"... mettant en valeur "l'eau perlant sur votre peau d'albâtre étant comme des gouttes de rosée du matin"... et surtout cette "charmante tâche de naissance"... Cependant, ce dénommé "D." apprécie grandement lorsque vous...  "frémissez chaque fois que sa main passe sur votre cou"...


Il se releva, assis sur son lit, puis regarda Elia droit dans les yeux.

- Il daigne cependant à ce que vous vous .. "retrouviez à votre endroit habituel" . Dois-je appeler une charrette pour que vous puissiez vous y rendre saine et sauve, Elia ? dit-il sarcastique.

Elia, dans les quartiers de Ghorthul

En entendant ces mots, Elia ne songea même pas à refermer la porte derrière elle tant elle était estomaquée. Elle blêmit en entendant les paroles de l'orque. 

-... Quoi ? C'est une plaisanterie Ghorthul ?

Mais elle se souvint bien vite que Ghorthul n'était pas du genre à plaisanter. Elle poursuivit rapidement.

- Mais... Qu'est-ce que c'est que ces histoires ? C'est ça qu'il y avait marqué sur le parchemin brûlé ? Je ne connais personne qui puisse écrire ça. Mais... comment savait-il pour la tache de naissance ?

Elle avait pensé tout haut et regretta immédiatement sa dernière phrase qui soulignait ce détail. Elle jeta un coup d'œil à Ghorthul pour voir si ce qu'elle avait dit l'avait interpellé. 

- Ghorthul, je suis désolée, je ne comprends pas... C'est... Je sais que les apparences ne jouent pas en ma faveur, mais je ne connais pas de "D." C'est forcément un canular de mauvais goût...

Zéphyriel, dans ses quartiers avec Silgrid


Il caressa la joue de sa bien aimée son regard dans le sien

- Je ne sais pas quoi faire, demain je pars pour Arteum, je demanderais conseil à mon maitre si je le voie et à Elia qui m'accompagnera pour résoudre ses propres problèmes. Jusqu'à ce que tout ceci soit résolu, reste à la Citadelle je t'en prie, je m'en voudrais tellement s'il t'arrivait quelques chose.

Il décrocha un doux baiser sur les lèvres de sa belle et l'enlaça tendrement comme si il avait peur de la perdre.

- Oh et tu peux oublier cette histoire de couronnement d'empereur, j'ai refusé. Je ne voulais être un pantin politique. Ils voulaient se servir de mes actions sur le champ de bataille pour mettre une figure "héroïque" sur le trône. Je n'ai rien d'un héros, je ne sauve pas je fais la guerre.

Kar Jeenar, sur le lit d'Ivy

Il vit Ivy tomber sur le sol sous ses yeux, il se précipita juste à temps pour empêcher sa tete de heurter le sol. Il ramena la dame sur son lit et commença à paniquer. Il ne savait pas quoi faire, il appela Ivy mais rien ne se produisit. Ne sachant quoi faire il hurla :

- AIDEZ MOI, IVY A BESOIN D'AIDE !

Il la pris dans ses bras en espérant que de l'aide arriverais vite.

- Ivy remet toi, réveille toi ma douce. 

Des larmes commençait à couler le long de ses joue, il appuya sa tete sur celle d'Ivy priant qu'elle se remette.

Ghorthul dans les quartiers, s'expliquant avec Elia 


L'orque prit un ton cynique et répondit à Élia :

- Je vois. J'aimerai tant vous croire Elia, mais je me sens profondément blessé par la lettre de ce "D." . D'abord ce fameux bouquet à la Citadelle, suivit d'une précédente lettre d'amour qui vous était destiné, ce Hamir qui vous tournait autour puis ensuite cette autre lettre d'amour signé d'une autre personne. Et encore, je suis sûr que je ne suis pas au courant de tout... Et moi à côté de cela, je n'ai jamais séduit ni couché avec une autre femme que vous. Je déplore les femmes faciles tel que vous arborez avec brio être, manifestement. Dorénavant, nous consacrerons une relation platonique, professionnelle seulement. Mais sentimentalement, je n'ai plus rien avoir avec vous. Sur ce, je pense avoir le droit à mon tour de.... m'amuser moi aussi avec des femmes de joies dans les faubourgs de Leyawiin. Qu'en pensez-vous ?


Sans qu'il ne puisse laisser Elia répondre, il sorti des quartiers Officiers et prit une tenue civile avec lui. Il sorti de la Citadelle puis entra en ville passer du bon temps. Il pénétra dans une auberge pour se rendre ivre et oublier cette histoire. Après quelques chopes, il fit d'un geste vulgaire signe à deux dames de plaisirs s'asseoir sur chaque genoux de Ghorthul.

Après ébats et séductions à foison, l'une d'elle attrapa Ghorthul par le col, l'incitant à se lever pour qu'il les accompagne à l'étage. Une fois entré dans la chambre, les deux femmes Nibenaises se délectaient entre-elles de diverses caresses de par certains endroits de leurs corps. Désirantes et allongées sur le lit, elles attendait la venue du mâle orque. Ghorthul se déshabilla puis retira ses sous-vêtements. Prêts à passer une nuit torride à se languir de ces plaisirs charnels, Ghorthul eu un blocage et n'arriva pas à gagner en altitude.
L'une d'elles, conciliante, avança vers Ghorthul comme une tigresse à quatre pattes chassant sa proie, puis commençait à emboucher le sexe de l'orque tandis que la deuxième se donnait à l'onanisme et au plaisir visuel.

L'orque eu un regain de flot de pensées concernant Élia et cette lettre. Les deux femmes riaient aux éclats mettant en valeur l'impuissance virile de Ghorthul, inapte à quelconques désirs. Ghorthul gifla la femme dessous lui, ce qui interrompit immédiatement les moqueries des deux femmes. Elle tomba à même le sol, littéralement sur le côté. La seconde femme recula, apeurée, vers la tête du lit, dont le corps s'enroulaient à moitié de draps.

Ghorthul se rhabilla en vitesse puis déposa plus de pièces d'or que prévu sur la table de chevet comme indemnisation. En partant, il claqua la porte, sorti de l'auberge puis erra sur un banc dans la ville. Seul.

Neeicus dans le couloir a coté des dortoirs,


Neeicus dans ses pensés qui se balade dans les couloirs de la citadelle, quand il en fut sortie par des appels au secours venant des dortoirs, il se précipite dans les dortoirs et vis Kar Jenar tenant Ivi inconsciente dans ses bras.

Que c'est-il passé ? Demande-t-il a Kar Jenar

Silgrid, dans la chambre de son fiancée 


Silgrid lui rendit aussi une douce caresse avant de poser sa tête sur son torse.

- Toujours si vertueux.... 

Elle recule toujours dans ses bras et ajoute en souriant timidement:

- Mais Zéph si tu comptes sur moi pour rester sagement à t'attendre ici comme une bonne petite épouse, tu peux toujours courir. J'ai déjà un foyer et ici n'est pas chez moi. Je ne compte pas rester à trembler dans l'ombre de tes compagnons. Je rentre chez moi dès ton départ.

Elia, dans la chambre de Ghorthul

Le ventre noué, la gorge verrouillée, le cœur battant dans ses tempes, Elia écoutait impuissante. Elle ne parvenait pas à croire à la suite de mots qui s'alignaient dans la bouche de Ghorthul.
"Non. Non. Non." se répétait-elle intérieurement tandis que son corps s'alarmait de ce qui était sur le point de se produire. "Ça ne se peut pas. Ça ne peut pas arriver.". Chaque parole était comme un coup de poignard supplémentaire. C'était de sa faute. Si elle avait parlé à Ghorthul, si elle lui avait dit plus tôt les tourments qui l'habitaient, elle lui aurait laissé l'occasion de lui faire confiance.

Ghorthul a écrit:Sur ce, je pense avoir le droit à mon tour de.... m'amuser moi aussi avec des femmes de joies dans les faubourgs de Leyawiin. Qu'en pensez-vous ?

Elle ouvrit la bouche, mais les mots moururent sur ses lèvres. Elle parvint juste à dire d'une voix blanche :

- ... Quoi ?

Il y avait tant de choses qu'elle aurait voulu lui dire. Elle aurait voulu lui expliquer pourquoi elle n'arrivait pas à s'engager. Pourquoi elle craignait tant de faire confiance à quelqu'un. Pourquoi depuis qu'Aesril l'avait brisée et utilisée, elle ne parvenait plus à croire en une quelconque romance. Lui expliquer qu'elle craignait qu'il soit de retour dans sa vie. Lui expliquer à quel point elle était terrorisée, effrayée. Lui expliquer que depuis qu'il était entré dans sa vie, avec son pragmatisme et sa force, il avait été son socle, son ancrage, son repère. Mais rien ne vint et Ghorthul partit avant qu'elle n'ait eu le temps de dire la moindre chose.

Et maintenant elle était seule. À cause d'une lettre. Une simple lettre avait eu la possibilité de les séparer. Quelqu'un avait cherché à les briser et il avait très bien su comment s'y prendre. Cette personne savait où appuyer et avait réussi avec brio à couper les fils fragiles de l'étoffe qui les retenait.

Désorientée, les jambes tremblantes, elle demeura un instant dans la chambre à regarder les objets appartenant à Ghorthul.

- Ghorthul... Je suis désolée... lâcha-t-elle de sa voix étranglée, les larmes coincées dans sa gorge.

Bien sûr, il ne pouvait plus l'entendre. Alors, simplement, elle sortit de la chambre, prenant le chemin de ses quartiers. Au loin, dans le flou, elle entendit des cris, mais elle ne comprenait pas. Elle avait l'impression que son esprit lui jouait des tours. Sans savoir comment, elle était rentrée dans ses quartiers. Elle se servit une coupe de vin, qu'elle but d'une traite. Puis une autre. Et encore une autre. Depuis combien de temps n'avait-elle pas dormi, déjà ? La tête lui tourna et, s'asseyant sur son lit, la coupe lui échappa des mains et elle sombra dans un profond sommeil.

Kar Jeenar, sur le lit avec Ivy

- Neeicus ? Par pitié dite moi que vous pouvez faire quelque chose, Ivy s'est évanoui et ne se réveille pas !

Le khajiit était paniqué, Ivy allait mal mais il ne savait pas quoi faire, comment l'aider ?

Zephyriel, dans ses quartiers avec Silgrid,

- Je m'en doutais que tu dirais ça.

Il remis une mèche derrière son oreille.

- Veux tu rester avec moi jusqu'à mon départ ?

Il l'embrassa tendrement. Admirant ses traits qu'il connaissais par cœurs.

- J'ai un présent pour toi, comme je m'attendais à ta réponse.

Il alla chercher un morceau e tissu qu'il déplia. Envelopper dedans se trouvais une chaine argenté avec un une pierre en pendentif. La pierre n'étais pas plus grande qu'un pouce, d'un bleu d'une clarté et d'une grande pureté. Elle était incrusté de runes dorée qui émettait une très faible lueur.

- Je ne suis pas artisan et je ne peux m'attribuer le mérite de sa création mais je l'ai enchanté moi-même avec tous mon savoir. Je souhaiter te le donner le jour de notre mariage mais je ne m'attendais pas à ce qu'on te menace. Cette pierre te protègera de toutes magies et malédictions ainsi que des climats les plus allant à ton encontre ainsi. Aussi de la majorité des poisons et de certaines attaques physiques.

Il sourit en disant cela se souvenant des problèmes à Wrothgar.

- Ce n'est pas une défense absolue mais elle te protégera et je serais alerter si les runes s'activent.

Il lui tendit le bijoux.

- Je pourrais te l'accrocher mais il faudrait t'enlever ton haut, la chaine pourrait s'agripper dans tes vêtements.

Un sourire séducteur s'afficher sur les lèvres de Zéphyriel.

Zephyriel a écrit:Kar Jeenar, sur le lit avec Ivy

- Neeicus ? Par pitié dite moi que vous pouvez faire quelque chose, Ivy s'est évanoui et ne se réveille pas !

Le khajiit était paniqué, Ivy allait mal mais il ne savait pas quoi faire, comment l'aider ?

Ivy dans le brouillard en compagnie de Kar-jeenar et Neeicus dans les dortoirs.

Ivy, ouvre les yeux complétement dans le brouillard, elle découvre Kar-Jeenar, les larmes aux yeux au-dessus d'elle, ainsi que Neeicus.
Ses pupilles vacillent, elle tremble, ne comprend pas ce qu'il vient de se passer, ses membres son engourdie, elle tente de se redresser, en vint.

Elle ouvre la bouche à mi-voix,

- Kar-Jeenar, que... que ce ... passe-t-il ?

Kar Jeenar, même endroit, même moment


- Belle dame vous revoila parmi nous, vous m'avez fais peur en vous écroulant sans prévenir.

Son front étais appuyer sur celui d'Ivy et les larmes couler de plus belle, soulagé par le réveille de sa douce.

Zephyriel a écrit:Kar Jeenar, sur le lit avec Ivy

- Neeicus ? Par pitié dite moi que vous pouvez faire quelque chose, Ivy s'est évanoui et ne se réveille pas !

Le khajiit était paniqué, Ivy allait mal mais il ne savait pas quoi faire, comment l'aider ?

Ivy avec kar-jeenar dans les dortoirs au même moment 

Elle enroula ses bras autour de lui.

- Je ne sais pas ... que c'est il passé ?  Et comment suis-je arrivé ici ? Je ... j'étais avec Zahïrk et ... le brouillard 

Elle était complètement perdue, son visage était cernée de fatigué

Kar Jeenar, idem

Il serra Ivy contre lui pour la rassurer.

- Doucement, ça va aller Ivy.

Il lui offrit son plus beau sourire et déposa un doux baiser sur les lèvres de la jeune femme perdue.

- Tu es arrivé ici en titubant et t'es évanoui sur le pas de la porte. Je t'ai rattraper et poser sur le lit.

Zephyriel a écrit:Kar Jeenar, idem

Il serra Ivy contre lui pour la rassurer.

- Doucement, ça va aller Ivy.

Il lui offrit son plus beau sourire et déposa un doux baiser sur les lèvres de la jeune femme perdue.

- Tu es arrivé ici en titubant et t'es évanoui sur le pas de la porte. Je t'ai rattraper et poser sur le lit.

Ivy avec kar-jeenar dortoirs au même moment 

Le tendre baisers du chaton la reconforte, 

- je ... je ne me souviens de rien, et Zahïrk...

Elle releva son chemisier et observa sa blessure Elle ne saigner plus elle semblait avoir était soigner, il devait avoir eu le temps de l'aider. 

- la douleurs était trop forte, je suis allez à l'atelier d'alchimie espérant chercher Elia et... je suis tomber sur Zahïrk pendant qu'il me soigner je lui raconter ce qu'il m'était arrivé puis plus rien ... le noir totale 

Elle se redressa lentement pour s'assoir sur le lit face à Kar-jeenar

- Il faut aller demander à Zahïrk... - essaie de se relever en se tenant les côtes douloureusement - il sait peut être..

Kar jeenar, même endroit mémé lieu

Attrape Ivy doucement.

- repose toi, nous irons demain quand tu auras récupérer. Merci pour le déplacement Neeicus.