Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?

Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle.

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle
[suite du message]

Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles.

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.

***

Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :

Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Ivy dans le halle avec Elia, Skonsky et corvina .

- Bien, Archonte !

Elle suiva Elia la tête baisser dans ses pensées, imaginant tous les scénarios possibles.

Skonsky et les autres dans le grand hall

bien archonte dit skonsky sans broncher, puis il se retourne vers Corvina,
reste ici ne touche à rien et ne parle à personne, nous revenons bientôt.

Arriver dans le bureau Skonsky se place au garde à vous en attendent que l'archonte l'invite à parler.

*Nouvelle journée *

Kiara, dans la cour, début de matinée.

Kiara Faisait les cents pas dans la citadelle, elle était partie courir, s'entrainer, faire à nouveau de l'exercice, avait priée, avait méditée plusieurs fois, rien n'y faisait elle était toujours incroyablement tendue par la situation à la Citadelle... "Valriel le traite dans tous les esprits, le sien y compris". Elle y avait beaucoup songé après avoir entendue les rumeurs et préférer patienter, attendre les ordres, les nouvelles...

En attendant, quelque chose d'autre la préoccupait... Les deux frères qui savaient si bien la contrariée. Alors elle marchait dans toute la Citadelle à la recherche de l'un ou l'autre, peu lui importait. De toute façon, elle n'avait que cela à faire, elle avait écrit a ses parents les prévenant de son retour. Exécutait ses tâches à la Citadelle...

Donc d'un pas décidait, elle commença par la forge.

Aleck. Dans sa cage 00h pile

Un cri bestiale pourfendit le silence de la nuit a la citadelle et sous la pleine lune dans les geôles.

Aleck avait disparut, laissant la place à la bête, enragée, appeurer paniquer attaché pas une chaîne.
Hurlant à la mère de la nuit, un cri de désespoir.

(Jet de dés : échec 80)

Le loup garou hurle tire sûr le chaîne de toute ses forces, et se libére de son lien. Son instinct de survie le pousse à s'enfuir, à rejoindre les bois pour la chasse, affamé il se jette sans réfléchir de toute ses forces sur les barreaux de la cage, oubliant le sort que la mage avait poser juste avant.

La runes explose dans un fracas assourdissant le projetant violemment en arrière contre le fond de la cage. L'explosion avait projeté des éclats lacérant ses chairs, à une multitude d'endroit.

Gravement brûler et couvert d'entailles profondes faisant s'écoulait du sang, la bête reste inerte sur le sol, dans un état preoccupant.

Vikkye, passe devant le quartier des officiers le matin,

La jeune femme chantonnait en passant son chemin,
"C'est une petite brétonne qui courrait dans les bois !...." (elle continuait les differents couplets.
Elle passait devant la porte massive puis faisait demi-tour et re-passait devant.
Finalement au bout d'un moment elle s'arreta et frappa à la porte. "toc toc toc".
La porte s'ouvrit, Zéphyriel se tenait derriere. On ne lisait pas d'emotions sur son visage mais pourtant on pouvait sentir une légère diffèrence, quelque chose ne devait pas aller mais la brétonne ne s'en préoccupa pas.

- Que voulez-vous ? demanda-t-il

- Heu j'ai ramassé un objet et il pourrait vous etre utile.

La demoiselle se dandinait essayant a son habitude de séduire. Un rapide regard des yeux ardant du nordique la refroidit sur place et elle se tint à carreaux.

- C'est important ?

- heu... oui je suppose, c'est une fiole de sang !

- Une fiole de sang ? Je ne pense pas avoir la meme constituion pour vous si vous contez me l'offrir.

- Mais c'est celui d'un compagnon pourtant... Le mignon et timide Valriel m'a arraché un croc dans ses conneries ! Je suis outré par cela !

- Attendez ! Vous avez dit Valriel ?

- oui pourquoi il ne fallait pas ?

- Suivez moi dans mon bureau !

- Oh chou... elle se tut se rappelant le regard.

Ils entrèrent dans les quartiers du Vicomte et se mirent de chaque coté du bureau.

- Bien donnez moi la fiole et dites moi comment vous l'avez eu je vous prie.

- La voici....

La jeune femme donna la fiole et raconta comment en partant sur une simple recherche d'un garde de l'alliance ils avaient fini par trouvé Valriel.

- Et bien je vous remercie de ces informations, vous pouvez disposez et petit conseil, ne vous approchez pas trop de ce Valriel. Si vous le voyez, venez me chercher.

- Trés bien monsieur le Vicomte.

La demoiselle se mit à sautiller en reprenant son chant. Elle passa devant chaque chambre des officiers et ressorti se dirigeant vers les cuisines.

"C'est une petite Brétonne,
qui courait dans la Lande
Juste une petite Brétonne qui va sur les chemins

Un jour de bon matin,
je traversais Deshaan
En quête de bon vin, et d'une genre Dame
C'est alors que je vis, éblouis par les flammes
Une ombre qui s'enfuit, poursuivi par les Mânes !"

Le bruit se perdait dans les couloirs de bon matin.

Ivy dans les geôles avec un loup-garou inanimé dans sa cage milieu de matinée.

Elle était accompagnée d'Hamir, qui venait de lancer un seau d'eau sur le loup au sol, après lui avoir annoncé que c'était lui le responsable de son attaque.
Le seau d'eau n'ayant eut aucun effet Ivy s'installa sur le sol, la tête dans ses bras pour réfléchir et faire le point.

C'est dernier temps, avec toutes ses découvertes, toutes ses révélations : Son agression, l'enlèvement de Silgrid, la révélation sur Valriel... Sa tête bouillonnait, elle n'avait pas toutes les réponses, et elle avait soif de vérité, alors elle resta assise sur le sol de pierre gelée des geôles réfléchissant, remettant de l'ordre dans son esprit... Tentant de calmer ça colère.

Elle avait bien envisagée d'entrée dans la cage... abréger les souffrances du loup... Tentant d'apaiser les siennes, Hamir l'avait même pousser à le faire en lui offrant sont soutient, mais en s'approchant de la cage, elle s'était finalement raviser... sentant la noirceur en elle grandissante.

Elle tourna son regard vers Aleck, s'adressant à lui malgré son coma.

- Tu vas répondre à mes questions croit moi...

*Nouvelle journée*

Kiara, tôt dans la matinée, couloir du dortoir en direction des écuries.

Après être sortie du bureau de Phèbe ce faisant remonter les bretelles comme une enfant, Kiara avait ruminée toute la fin de soirée avant d'envoyer une lettre pour Sentinelle :

Cher Père,
Je pars le plus rapidement possible du Bois noir.
Je dois vous parler d'une affaire urgente.
Respectueusement,
Votre fille,
Kiara.

Une fois la lettre remise au page, lui donnant une jolie petite bourse garnie en pièces d'or, elle prépara ensuite ses affaires, son sac de voyage, des documents important qu'elle devait de toute façon remettre à sa mère, de quoi se nourrir et tenir le trajet. Elle enfila un pourpoint, des braies et botte de voyage, dissimula son visage, comme à son arrivée chez les compagnons et se dirigea vers les écuries.

Gilbert le meunier et Bérangère la lavandière, vers midi, à l'arrière de la Citadelle,

Gilbert entreposait des lourds sac de farine pour qu'il n'y est plus qu'à les rentrer au sec. Il y avait plusieurs lourdeaux qui l'aidaient à faire les aller-retours superviser par quelques Compagnons. Le meunier remarqua notemment Hamir, un bon gars qui aimait la bonne cuisine. Alors qu'il le saluait de la main, Bérangère lui enfonça un coude dans les côtes:

- Mais qu'est ce que tu fait? siffla-t-elle
- Quoi?
- Tu ne vas quand même pas sympathiser avec lui?
- Pourquoi pas?
- Tu n'as pas entendu?
- De quoi?
- Il traine dans les bordels, chuchota-t-elle,
- Hein?
- Il traine dans les bordels! cria Bérangère en faisant sursauter le pauvre Gilbert.

Autour d'eux toutes les têtes se tournèrent, certains curieux ralentir le pas pour écouter. Et Bérangère roula des yeux en se rapprochant du meunier:

- On m'a dit que quelqu'un l'avait vu à la Taverne... en train de se laisser séduir par une fille de joie! Et après ils seraient partis ensemble...
- Ce n'est pas ce qu'on m'a dit! intervint un débardeur qui roulait des mécanique
- Ah oui et qu'est que tu as entendu?
- Parait que c'était pas une fille de joie... mais une idylle secrète!
- Hamir? s'indigna Bérangère
- Ouaip, l'aurait rencontré en mission. Une aventurière de grand chemin. Une mangeuse d'homme!
- Il en a du toupet!
- Je vois pas le problème, grommela Gilbert, un homme peut bien se trouver une partenaire.
- Oui mais.... enfin... Bérangère ne semblait plus si sûre d'elle
- Nan mais regarde le, toujours célibataire à son âge? Moi aussi je voudrait me caser.
- Et puis si il veut se taper des nanas, il devrait pas su priver! Au moins il est pas puritain comme son frère! renchérit l'homme qui s'était incrusté dans la conversation déclenchant des fou rires

Une voix claquante les fit sursauter quand Phèbe la Vicomtesse cria de l'intérieur: "C'est pas bientôt finis les bavardages? Au travailles!". Chacun se précipita soudain afin d'avoir l'air très occupé.

Hamir, aux écuries, début d'après midi

Hamir avait parcouru une bonne partie de la Citadelle après être sorti du bureau de la Vicomtesse et déjà il voyait le travail de cette dernière prendre effet et les regards des différents employés de la Citadelle se braquer puis se détourner de lui lorsqu'il les regardait à son tour. Il pesta, peu satisfait des ragots circulants sur lui et pourtant il parvenait à se rassurer en se disant que c'était pour le mieux. Au moins avec ça, il ne serait pas mis à mal vis à vis de la Guilde et le frère du Roi, le Père de Kiara, aurait moins de raison de le faire incarcérer avant de le pendre en place publique. Néanmoins il grimaçait, cherchant toujours la Princesse.
C'est aux écuries qu'il la trouva, préparant ses affaires pour .. un départ ?!! Il l'interpela a voix basse après s'être rapproché.

- Hé ! Kiara ! Tu .. Tu t'en vas ?! Je voulais te parler .. Est ce que tu peux me donner une minute s'il te plaît ?

Il semblait tendu et voir la princesse sur le point de partir le rendait inquiet, Phèbe ne lui avait pas dit qu'elle voulait la congédier .. au contraire ?!

Arthur, Bibliothèque, début d'après-midi

Arthur quittait le réfectoire et se dirigeait vers la bibliothèque en quête de lecture pour ses recherches personnelles. Arrivé sur place, il traversa les allés, scrutant les étagères, comprenant rapidement leur système de rangement. Une fois celui ci assimilé, il se dirigea d'un pas résolu vers une rangée de livre au ton plus sombre. Il balaye des yeux un ouvrage puis un autre, visant un titre plus éloquent, puis enfin, il saisit un livre, feuillette les premières pages, le referme en acquiesçant d'un léger sourire et le glisse dans son pourpoint avant de se diriger à l'extérieur de la Citadelle pour trouver un coin tranquille où lire sans être dérangé ou surveillé.

Kiara, aux écuries, débur d'après midi

Elle avait fini de préparer ses affaires et c'était occuper des cheveux une partie de la matinée, trouvant leurs contacts apaisants.

Hamir a écrit:- Hé ! Kiara ! Tu .. Tu t'en vas ?! Je voulais te parler .. Est ce que tu peux me donner une minute s'il te plaît ?

Elle déposa la brosse à poncer dans une petite malle en bois avant de se retourner vers Hamir.

- Bien-sûr... Hum oui... Je dois partir pour Sentinelle...

Hamir avec Kiara aux écuries au même moment

Il grimaça d'autant plus .. Il redoutait qu'elle ne dise à son père pour leu romance naissante et que ça ne tourne pas vraiment bien pour lui..

- Oh je vois .. Ehmm .. Tu as entendu les .. rumeurs ... j'imagine ? C'est la solution qu'a trouvé la Vicomtesse pour te protéger et nous protéger .. Nous devrons nous montrer .. plus discret, à l'avenir .. Mais si ce n'est pas trop indiscret.. Que comptes tu dire à ton père au juste ? Tu ne vas pas lui raconter ce qu'il s'est passé entre nous j'espère ? Il me ferait tuer sans sommation !

Kiara avec Hamir aux écuries au même moment.

Hamir a écrit:- Oh je vois .. Ehmm .. Tu as entendu les .. rumeurs ... j'imagine ? C'est la solution qu'a trouvé la Vicomtesse pour te protéger et nous protéger .. Nous devrons nous montrer .. plus discret, à l'avenir .. Mais si ce n'est pas trop indiscret.. Que comptes tu dire à ton père au juste ? Tu ne vas pas lui raconter ce qu'il s'est passé entre nous j'espère ? Il me ferait tuer sans sommation !

Elle plissait les yeux en grimaçant perplexe.

- Les "Rumeurs" ? Pardons ?... Si vite... Hum oui, elle m'en a parler, mais je ne pensais que cela irais si vite. Je comptais lui dire pour nous et tentais d'arrondir les angles... et te protéger. Hamir, les rumeurs arriverons à ses oreilles... Je ne serais pas étonnée qu'il ait payé un de nos serviteurs pour me surveiller... Alors, le mieux pour te protéger reste encore que j'arrive au Palais avant que l'information n'y soit divulguer.

Elle baisse la tête en se pinçant les lèvres, honteusement.

- Je... Je suis désolé Hamir ! Je savais ce que tu encourais... Je n'aurais jamais dû me laisser aller de la sorte.

Hamir, même endroit même moment

Il posa les mains doucement sur les bras de Kiara, la saisissant délicatement

- Ne dis pas ça .. Ce qu'il s'est passé, nous le voulions tous les deux et je l'assume totalement. Je n'ai pas de regret à exprimer ce que je ressens pour toi. J'aurais sans doute dû avoir la présence d'esprit de nous mettre à l'écart avant de t'embrasser, mais nous étions dans le moment présent .. et .. - Il affiche un sourire en coin en détournant le regard - et c'était agréable .. haha !
Ecoutes, voilà ce que Phèbe m'a dit :

Il lui exposa leur discussion, comment elle comptait noyer l'affaire en divulguant des informations fausses et contradictoires afin que le vrai du faux ne soit plus dénouable et que toutes les informations finissent par ne plus être crédible, le fait qu'elle ne comptait pas les punir plus que cela mais que hormis eux pour l'instant personne ne devait être mis au courant. Après lui avoir résumé toute leur discussion, il conclut

- Voilà .. Maintenant que tu sais tout, est ce que tu penses qu'il est vraiment nécessaire de lui parler de "notre" relation ? J'ai confiance en toi et je sais que tu feras au mieux, mais je t'en prie, sois prudente. Je ne supporterais pas que l'on soit éloigné une fois de plus..

Kiara au même endroit, même moment.

Elle eut un mouvement de recul, léger, sans vouloir le brusquer regardant autour d'eux avant de lui lançait un regard désapprobateur.

Hamir a écrit:- Ne dis pas ça .. Ce qu'il s'est passé, nous le voulions tous les deux et je l'assume totalement. Je n'ai pas de regret à exprimer ce que je ressens pour toi. J'aurais sans doute dû avoir la présence d'esprit de nous mettre à l'écart avant de t'embrasser, mais nous étions dans le moment présent .. et .. - Il affiche un sourire en coin en détournant le regard - et c'était agréable .. haha !
Ecoutes, voilà ce que Phèbe m'a dit :

Elle pinça ses lèvres en repensant à leur baiser et afficha un léger rictus en hochant la tête toujours avec désapprobation.

- Toi alors. Moi aussi, bien-sûr, mais nous n'aurions pas dû... Tout est si compliqué... Je me suis éloignée de ma patrie pour oublier mon rang et voilà qu'il me rattrape... Avec toi qui plus es... Tu es conscient que les choses ne seront jamais simple n'est pas ? et oui, malheureusement, je dois aller lui parlais, comme je te l'ai dit, tôt ou tard il le sera et crois-moi, il vaux mieux que se soit tôt et que cela sorte de ma bouche... Plutôt que de celle d'un pauvre bougre, qui déformera probablement pour avoir une bourse conséquente, a la mesure de son ragot.

Hamir, aux écuries avec Kiara

Il écoute la Princesse parler en faisant une grimace légère. Il sait qu'elle a raison et ne peut rien faire, ni pour lui faciliter la tâche ni pour lui éviter d'avoir à le faire. Qui d'autre qu'elle serait en mesure de parler à Aaban.. Il saisit les rênes de son cheval et l'attire de façon à les cacher de la vue des autres avant de faire un petit pas vers Kiara et de lui parler plus doucement.

- Très bien. Je comprends les enjeux et tes contraintes. Et tu as raison, mieux vaut ne rien lui cacher et s'il doit y avoir des conséquences pour moi, toi ou même nous deux, je pense que plus ce sera tôt mieux ce sera. Avec un peu de chance les conséquences en seront peut être plus légère..

Il joue maladroitement avec les cordelettes, visiblement agacé

- Kiara ..-Il réfléchie un instant - .. fais attention à toi pendant que tu seras en voyage. Surveilles tes arrières. - Il finit par chuchoter - Je t'aime ..

Kiara avec Hamir au même moment, au même endroit.

Hamir a écrit:- Très bien. Je comprends les enjeux et tes contraintes. Et tu as raison, mieux vaut ne rien lui cacher et s'il doit y avoir des conséquences pour moi, toi ou même nous deux, je pense que plus ce sera tôt mieux ce sera. Avec un peu de chance les conséquences en seront peut être plus légère..

- Oui, je pense que c'est la bonne chose... La bonne décision, certe pas la plus simple...

Hamir a écrit:- Kiara ..-Il réfléchie un instant - .. fais attention à toi pendant que tu seras en voyage. Surveilles tes arrières. - Il finit par chuchoter - Je t'aime ..

Elle lui offrit un sourire empli d'une profonde affection, avant de prendre les sangles dans les mains.

- Ne t'inquiète pas Hamir... Je reviens. Moi aussi. Je t'aime.

Sur ses mots, elle met le pied à l'étrier, et s'installe sur son cheval avant de prendre la route au petit trot.

Skonsky et Corvina devant la bibliothèque tôt le matin

La veille Skonsky étais en entretien avec Ivy dans le bureau d'Elia, l'Archonte les avait convié à un entretien après les avoir entendues dans le grand hall.

Skonsky une fois sorti de cet entretien alla voir Corvina pour lui proposer une couche pour la nuit.

C'est donc au réveil qu'il se rendit avec Corvina à la bibliothèque pour tenter d'obtenir des réponses sur les liens de fraternité interraciales.

Avec un peu de chance, ils trouveront l'archiviste Ancre-les-Mots qui pourra les conseiller sur les ouvrages à lire.

* Nouvelle journée *

Ivy dans les geôles de la citadelle tôt le matin

Elle avait cogité pendant plusieurs jours et sa bonté lui l'acérai la cervelle...

Ce matin-là, elle s'était rendu en cuisine pour remplir un bol, du ragout de la veille préparer par Fait-plein-de soupe, avant de ce dirigeait vers les geôles a pas vif, discrètement.

Aleck était encore allongés sur le sol encore dans les vapes, il était très faible et affamé et grogna à son approche.

- Tiens. Tu viens m'achever, c'est ça ? Vas-y ! Fait toi plaisir, je préfère mourir que de t'entendre encore pleurer sur ce qui t'ai arrivé...

- Ferme-là ! Abruti ! Je viens t'apporter à manger...

- Garde ta pitié pour quelqu'un d'autres...

- Je n'en ai rien à faire de ton sort... ce ragout était dégueulasse, j'apporte ça au chien, voilà tous !

Elle déposa le bol sur le sol avant de partir aussi vite, qu'elle était arrivée, de mauvaise humeur.

Bruits de couloir