Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?

Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle.

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle
[suite du message]

Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles.

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.

***

Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :

Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Mazar, à la Forge avec Silgrid et Valriel, en fin de matinée

Mazar était légèrement déçu de ne pouvoir avoir de compagnie pour ce midi mais ne voulait forcer personne à lui tenir compagnie. Il sourit à Valriel.

- Très bien, ce soir dans ce cas. Mais dans ce cas, j'espère pouvoir te retrouver dans une heure à la tour d'entrainement pour un entraînement personnalisé ! Ensuite tu mériteras un bon verre. Et ne t'en fais pas pour les tâches que tu as encore à faire, sauf si ce sont des demandes urgentes des officiers, tes tâches habituelles pourront attendre. Il faut bien que tu fasses une peu d'entrainement au combat aussi !

Il lui souriait, cherchant à le faire sortir de ses activités quotidiennes qui peuvent parfois être répétitives et monotones.

- Qu'en penses tu ?

Valriel, à la forge, en compagnie de Silgrid et de Mazar, au même moment

Il se serait donné une gifle pour ce rire. "Mais quel idiot... Personne ne rit comme ça. Il va bien voir que je suis mal à l'aise." Il se demanda ce qu'il lui avait pris de s'essayer à de telles libertés plutôt que de s'être contenté de rester naturel. Malgré tout, Mazar ne parut pas y prêter attention et il respira un peu mieux lorsqu'il entendit celui-ci répondre comme si rien d'étrange ne venait de se produire.

Mazar a écrit:- Très bien, ce soir dans ce cas. Mais dans ce cas, j'espère pouvoir te retrouver dans une heure à la tour d'entrainement pour un entraînement personnalisé ! Ensuite tu mériteras un bon verre. Et ne t'en fais pas pour les tâches que tu as encore à faire, sauf si ce sont des demandes urgentes des officiers, tes tâches habituelles pourront attendre. Il faut bien que tu fasses un peu d'entrainement au combat aussi !

Il grimaça derrière ses bandages. C'était facile pour Mazar de dire cela. En revanche, il allait devoir déléguer ces tâches à quelqu'un d'autre. Changer son programme de la journée. Revoir son emploi du temps qu'il avait si bien millimétré. Dire adieu à ses projets de solitude et de calme. Et surtout, s'entraîner encore à l'épée. Il songea aux dernières fois où il s'était entraîné seul. Ce n'était pas brillant. Il n'avait jamais été doué pour cela. Encore moins avec une armure et des bandages. Il se demanda s'il pouvait au moins passer quelque chose de plus léger. Ainsi au moins, il pourrait esquiver. Cela, il savait le faire. Épuiser l'ennemi avant de frapper. Mais frapper avec une épée... C'était une autre paire de manches.

"Allons, tu es là pour cela, après tout. Apprendre à devenir un véritable bretteur...". Mais il ne pouvait s'y résoudre sans se sentir abattu. Chacun de ses plans du jour venaient d'être balayés en un rien de temps. Il se sentait déjà fatigué à la perspective de cette journée qui s'annonçait. Malgré tout, il prit une profonde inspiration et, relevant la poitrine dans une posture dynamique, c'est d'un ton aussi résolu que possible, mais la mâchoire serrée qu'il dit :

- Bien sûr, c'est une excellente idée. Je me disais justement que j'avais bien besoin de m'améliorer. Ce sera l'occasion parfaite.

Ce faisant, il ne s'était pas rendu compte que ses doigts se crispaient sur le paquet remis par Silgrid.

Ivy atelier d'alchimie en fin de matinée

Une fois ça tâche accomplie Ivy se dirigea vers l'atelier d'alchimie cherchant Elia mais voulant avant tous améliorer ses compétences, ses derniers temps elle réviser assidûment et
tenait absolument à voir une amélioration.
Elle s'avança de l'atelier et d'une voix clair et forte demanda,

- Il y’a quelqu'un ?

Mazar, toujours devant la forge avec Valriel et Silgrid, au même moment

Mazar remarqua le changement de ton et la disparition de l'engouement de Valriel pour laisser place à son habituel calme et sérieux mais ne voulu pas envenimer la situation et surtout pas dire ce qu'il comptait faire devant quelqu'un d'autre.

- Bon, dans ce cas à tout à l'heure. Oh et une dernière chose, tu n'auras pas besoin de ton armure cette fois ci. Silgrid, n'oublies pas ton rendez vous, il serait dommage que tu ne t'y présentes pas. Sur ce, Silgrid, Valriel, je vous dis à plus tard, moi je vais me restaurer un peu. Arpenter les marchés toute la matinée m'a ouvert l'appétit.

Il salua ses interlocuteurs d'une mini révérence et s'éloigna pour retourner vers la salle principale.

Lilyth a écrit:Phèbe, en fin de journée, dans le quartier des officiers.

Elle ravala son ego et toqua à la porte du Duc:

-Ghorthul, je viens pour - elle desserra la mâchoire - je viens pour déterminer les modalités de la cérémonie.

Puis elle attendit.

Ghorthul, dans son quartier officier

Assis devant sur bureau, alors que Ghorthul lisait un ouvrage sur la nostalgie du pays Orsimeri sur son lutrin, il entendit frapper à la porte. Phèbe lui demandait audience quant aux modalités de la cérémonie ; entre autres, son mariage avec Mazar Al'Hafik. Il se réjouissait de voir deux camarades de longue date, qui se tournaient autour depuis si longtemps, se marier et d'assumer leurs sentiments, devant les Dieux, devant les Compagnons, et ce de façon civique.

- Je vois. Et qu'avez-vous en tête ?

Valriel, à la forge, en compagnie de Silgrid et de Mazar, au même moment

Valriel posa une main sur son abdomen avant de s'incliner légèrement en avant pour saluer Mazar et il le regarda partir un moment avant de se retourner vers Silgrid et de la saluer à son tour :

- Encore merci Silgrid. Bon courage pour cette journée. J'ai encore beaucoup de travail qui m'attend visiblement, je te laisse à ton ouvrage. Prends-soin de toi.

Il emporta avec lui les armes qu'elle lui avait confiées, les calant avec soin sous son bras et s'éclipsa en direction des dortoirs. Il espérait bien trouver en chemin une personne à qui confier ses tâches et il savait que nul ne serait ravi de faire du travail supplémentaire...

Ancre-les-mots avec Kiara et Hamir dans la serre.

Il était furibond. Oh pauvre choupette, il avait blessé ses sentiments? Elle avait du faire un effort pour venir cela lui coûtait ? Qu'est ce qu'elle croyait? Que pour lui s'était une partie de plaisir!? Oui décidément ce n'était qu'une princesse pourris gâté qui croyait être le nombril du monde. Elle avait prouvée à plusieurs reprises que malgré ses airs de mère thérésa, elle ne pouvait se détacher de son destin d'enfant roi.

Quand Hamir approcha, Ancre-les-mots était à deux doigts de l'insulter pour de bon. Il regarda la boîte avec des symboles inconnus et l'ouvrit pour découvrir un dégoûtant tas de larves à moitié... cuisiner !? Sérieusement c'était des gâteaux !? Il frémit tandis qu'un haut le coeur lui retournait l'estomac.

Les souvenirs de petits camarades l'humiliant, moquant sa race, raillant son aspect, remontèrent. Combien de fois déjà lui avait-on remplis son bureau de larves ou cacher un lézard dessécher dans son sac.

Il lâcha la boîte. Il était blessé réellement. Il avait perdu toute sa superbe.

- Bien je vois que vous prenez beaucoup de plaisir à m'insulter et m'humilier.

La queue basse, il rentra la tête dans ses épaules se leva pour partir.

Phèbe et Ghorthul, le soir dans le bureau de ce dernier.

- Ce que j'avais en tête c'est Mazar et moi nous mariant quelque part en Auridia avec pour seul témoin Elia, Zéphyriel et.. et bien vous.

N'importe qui aurait pu comprendre qu'elle n'était pas contente ni à l'aise. Mais Mazar et elle en 1vait longtemps discuter. Après tout ce qu'ils avaient traverser, les compagnons avaient-ils besoin de voir parader deux officiers qui leur avaitment causer tant de soucis?

- Quelque chose de simple et d'intime mais... ce n'est pas ce que vous aviez en tête....

Elle le regarda pour écouter ses propres propositions.

Hamir, avec Kiara dans la serre, au même moment

Il était surpris par la réaction de l'Argonien. Lui avait-il manqué de respect ? Etait ce une insulte que de donner de la nourriture en cadeau à quelqu'un en Tourbevase ? Il haussa les épaules en regardant Kiara, stupéfait, puis il prit place à côté d'elle.

- Bon eh bien ... Je sais pas ce que j'ai dit ou fait mais je crois qu'il ne m'aime pas ! -il rit nerveusement - Au oins, maintenant nous sommes seuls ! F.P.D.S. a dit que vous preniez le thé alors je t'ai apporté des biscuits - Il sort un petit coffret contenant les biscuit enrobés dans un linge - Veux tu en goûter un ?

Il relève la tête en proposant le boitier devant son amie et regarde l'expression de Kiara qui semble en colère. Il fait alors le lien avec le comportement de A.L.M. Il ne serait donc pas totalement à l'origine de la réaction de l'Argonien.

- Dis moi Kiara. Est ce que tout va bien ? Que s'est il passé ? Vous n'étiez pas sensés prendre le thé ?

Kiara jardin d'hiver avec Hamir au même moment

Elle resta bouche-bée, consterner ... mais comment la situation avait pu déraper a ceux point ? Et si elle avait exprimé ses excuses sans détours sans tout ce cinéma, aurait-elle pu éviter tous ceci ?

Elle regarda les bras ballants l'argonien partir la tête basse prise entre un sentiment de colère, tristesse. Hamir lui tend une boite de gâteaux en temps normal cela l'aurait réjouie et fait sourire, même rappeler des bons souvenirs du temps ou ils partageaient ensemble ses petits moments, accompagner de thé, petits gâteaux et histoires... Mais là ! Elle n'avait pas le cœur à en prendre et tourna la tête repoussant doucement la boite..

Hamir a écrit:
- Dis moi Kiara. Est ce que tout va bien ? Que s'est il passé ? Vous n'étiez pas sensés prendre le thé ?

- Je ... Hamir est-ce que je suis une arrogante petite princesse ? Suis-je horrible a ce point, Je ... je pense que je l'ai blessé pourtant j’essayais de m'excusais, je ... je n'y comprends rien !

Elle posa ses mains sur son visage, se repassant la scène dans sa tête, - Mais qu'est-ce qui avait bien pu se passer ? - Des petites larmes glissèrent de ses joues par pudeur, elle les dissimula tend qu'elle put.

NOUVELLE JOURNEE

Hamir, dortoir de la Citadelle, à l'aube

Hamir avait eu du mal à dormir, sa conversation de la veille avec Kiara l'avait pour le moins fait réfléchir. Etait-elle arrogante et si insupportable aux yeux des autres ? Elle semblait s'être bien intégrée et bien s'entendre avec presque tout le monde, non ? Etait-il lui même l'une des causes de ce possible comportement au point de ne pas se rendre compte de ce qu'elle est ? Est il si aveuglé face à sa Princesse, son amie, sa confidente de toujours, qu'il ne s'en rend pas compte de ce qui n'allait pas ?!
Non ! Non absolument pas ! Il n'en est rien. Il est toujours resté droit et juste avec la guilde comme avec Kiara.
Il chassa ses doutes d'un revère de la main voyant les premiers rayons du soleil illuminer le parquet.

- Je vais aller courir un moment, ça me fera du bien. Se dit il intérieurement en se levant de son lit et enfilant ses vêtements.

Puis il quitta les dortoirs en direction des escaliers.

Ivy, Dans l'infirmerie très tôt dans la matinée

Ivy avait veillé toute la nuit, ses camarades était partie à la recherche d'Ewen, qu'ils avaient fini par ramener inconscient, dans un état étrange...

Inquiète elle avait pris une chaise, pour rester prêt de lui et veiller son réveil ...
Au cours de la nuit, la fatigue l'avait emporté.

Elle sursauta paniquer,

-Ewen !!!

Elle porta son regard sur l'homme toujours inconscient et déposa sa main sur son torse veillant, ses mouvements de poitrine, penchant sa tête prêt de sa bouche pour sentir son souffle ...

- Ouf. Il respire encore ...

Elle retourner la question dans sa tête mille fois, - Que faisait-il là-bas ? Pourquoi ? Et Mélicendre ... -

Corvina, embarcadère face à la citadelle, tôt le matin

Une silhouette se dessine sur les planches de l'embarcadère qui fait face à la Chapelle du croc de la panthère. Grande, élancer se tenant fièrement un bâton à la main, elle regarde la citadelle sans bouger.

C'est Corvina, elle a enfin retrouvé les traces de Skonsky et attend patiemment que quelqu'un se présente afin de pouvoir rentrer et le rencontrer.

HRP: Je ne pourrais interagir que le matin cette semaine et avec mon tel, merci de votre compréhension. Smile

Phèbe, revenant du marché de Leyawin, de bon matin.

Depuis qu'ils avaient migré définitivement ici, Phèbe avait été très occupé à se former un réseau. Pour obtenir des bonnes affaires, avoir vent des bon plan, se voir confier des missions, pour tout cela, il fallait un réseau solide. Ca commence bien sûr par beaucoup de parlotte. Se faire connaître, se montrer, échanger, partager, se lier avec les locaux. Mais c'était aussi se faire recruter pour de petites tâches, envoyer chaque fois une personne différente, proposer ses services. C'était encore participer à la vie locale pour montrer patte blanche. Et hier c'est ce qu'elle avait fait. En ville un tournois local cartes s'était enchaîner sur moulte partie sauvage, la brétonne n'avait eu aucun mal à comprendre les règles mais les amitiés se construisent sur les échecs autant que les réussites. Briller ne lui servirait pas.

Après cette nuit bien agité et de petits gains forts intéressants, elle se rendit à l'embarcadère pour retourner à la Citadelle. Là une étrangère se tenait. Phèbe inquisitrice: "Bonjour, je peux vous aider?"

Mazar, dortoir, début de matinée

Mazar avait décidé ce matin là de reprendre un rythme correcte pour la vie de tous les jours et il devait en être de même pour les compagnons. Après un réveil matinale et une rapide préparation, il retourna au dortoir commun. Veillant à ne pas paraître trop brusque, il alluma les lanternes et les torches avant de gentiment taquiner du pied les pieds des lits des compagnons encore présents dans les dortoirs en disant d'une voix ferme mais mais non agressive :

- Allez debout tout le monde ! On se réveille ! Je veux voir tout ce beau monde dans la cour dans une demi heure. Séance d'entraînement collective !

Puis il descendit les escaliers en direction de la cour.

Corvina sur l’embarcadère tôt le matin
Cela fait déjà un moment qu’elle attend seule dans la brume,quand elle entendît des pas derrière elle.une femme arrivée près d’elle « bonjour je peux vous aider? » demanda t elle
Bonjour, oui je souhaiterais me rendre à La Chapelle du croc j’ai besoins d'y retrouver quelqu’un.
Vous vous y rendez peut-être ?

Phèbe, sur les quais avec l'inconnue,

Phèbe salua de la tête et se présenta poliment:

"Je suis la Vicomtesse Valtergi, Officier de la Guilde qui occupe à présent le croc de la Panthère. Je comptais en effet rentrer à l'aide d'une embarcation. Puis-je connaître votre nom? De qui êtes vous à la recherche?"

Hamir, extérieur de la Citadelle, début de matinée

Hamir revernait de sa sortie matinale, il avait courut le long du fleuve qui sépare la Citadelle du reste du Bois Noir et était de retour proche de l'embarcation.
En arrivant à une cinquantaine de mètres il distingue deux silhouettes qui se rapprochent l'une de l'autre près de l'embarcation permettant le trajet de retour.
Il continua à avancer et pu reconnaître Phèbe avec une autre femme. En arrivant à quelques mètres il fraine sa course et marche dans leur direction puis dit d'une voix forte :

- Mesdames, bonjour !

Il incline la tête respectueusement devant la Brétonne en disant "Vicomtesse", puis se tournent vers l'autre femme :

- Tiens donc, une nouvelle arrivante ? Puis je me joindre à vous ?

Désignant la barque du doigt en regardant Phèbe.

Frigga, début de matinée, dans les dortoirs

Elle entendit vaguement une voix appeler et une légère secousse dans son lit. Elle grommela. Il était trop tôt pour être réveillée ainsi.

Elle grommela. Elle rêvait qu'elle était encore en mer.

- Moins fort, moussaillon, y'a pas l'feu que j'sache... lança-t-elle à l'adresse de l'importun, rabattant les couvertures par-dessus sa tête.

Kiara, dortoir tôt le matin

Les évènements de la veille l'avaient attristée, elle pensait à Ancre ... et chercher comment arranger les choses ... En temps normal, elle serait simplement passée outre, mais là, c'était différent ... il l'avait aidé, elle était libre grâce à lui ... Elle avait une dette ... Et puis Hamir avait essayé de la réconfortée une bonne partie de la soirée, ce qui avait déclenchée chez les deux Rougegardes des sensations étranges.

C'est donc le cœur lourd, que Kiara c'était coucher trouvant difficilement le sommeil, c'étant endormie très tard, ou plutôt très tôt ? ...

Cela faisait seulement, peut-être 5 heures qu'elle avait réussies à dormir, qu'elle fut réveillée par ... Mazar.

Mazar a écrit:- Allez debout tout le monde ! On se réveille ! Je veux voir tout ce beau monde dans la cour dans une demi heure. Séance d'entraînement collective !

Elle sursauta, dans le brouillard, sortie tout juste d'un début de cauchemars, transpirante de sueur, elle hurla à pleins poumons.

- AAAAAAH ! Non Haaaam ! ... Quoi ?! Heu ... Mazar mais ce que ! Mais que fais-tu ? Et quelle heure est-il ?

Elle s'assit dans son lit remontant les draps jusqu'a son menton, puis essuyant son front.

Valriel, à l'infirmerie, tôt dans la matinée

N'ayant pas passé la nuit à la Citadelle, il était rentré aux aurores, avec une idée en tête. Il avait de nombreux projets pour cette journée et espérait trouver le temps de tout faire, sans se faire alpaguer par un quelconque importun ou un officier capricieux.

Il gagna rapidement l'infirmerie et y trouva Ivy qui lui tournait le dos, au chevet d'Ewen. "Bien. Un petit contre-temps, mais rien d'insurmontable." Il se redressa dans une posture avenante.

- Bonjour Ivy. Quelle bienveillance de t'occuper des convalescents. Es-tu là depuis longtemps ? demanda-t-il avec douceur et affabilité.

Ivy, à l'infirmerie au même moment au chevet d'Ewen avec Valriel

Elle sursauta, sans laisser échapper de son de sa bouche,

Valriel a écrit:- Bonjour Ivy. Quelle bienveillance de t'occuper des convalescents. Es-tu là depuis longtemps ? demanda-t-il avec douceur et affabilité.

- Oh, Hum Bonjour Valriel excuse-moi, c'était si calme. Je commençais à somnoler légèrement. Oui, je veux être présente quand il se réveillera ... Je ... Je ne comprends pas -Elle plissait les yeux, fouillant ses pensées, cherchant des réponses- - Que faisait-il là-bas ? -Elle sortie de ses pensées- Heu, oui enfin depuis son arrivé ...

Elle coiffer les cheveux d'Ewen de sa main, avec inquiétude

Valriel, à l'infirmerie en compagnie d'Ivy, au même moment

Il posa une main compatissante sur son épaule et la pressa doucement.

- L'esprit de cette sorcière est aussi tourmenté que ses mœurs, je pense qu'il ne sert à rien de se torturer à la comprendre. Tu sembles vraiment exténuée, Ivy. Pourquoi n'irais-tu pas te reposer un peu ? Tu ne seras d'aucune utilité à Ewen si tu as l'esprit embrumé par le sommeil. Si tu veux, je prends le relais et j'irai te prévenir dès qu'il ouvrira les yeux.

Ivy à l'infirmerie au chevet d'Ewen avec Valriel au même moment

Elle posa délicatement sa main sur celle de Valriel, se retourna sur sa chaise pour lui offrir un sourire amical.

Valriel a écrit:- L'esprit de cette sorcière est aussi tourmenté que ses mœurs, je pense qu'il ne sert à rien de se torturer à la comprendre. Tu sembles vraiment exténuée, Ivy. Pourquoi n'irais-tu pas te reposer un peu ? Tu ne seras d'aucune utilité à Ewen si tu as l'esprit embrumé par le sommeil. Si tu veux, je prends le relais et j'irai te prévenir dès qu'il ouvrira les yeux.

- Tu es si gentil, Merci beaucoup ... Je ne sais pas j'ai du mal à croire que cette femme qui m'à pourtant aider ... enfin qu'elle a pu faire tous ça ... Je te remercie de l'avoir ramené avec les autres, je n'arriverai pas à dormir, mais je vais aller me chercher quelque chose à grignoter ... Tu veux un morceau toi aussi ?, S’il se réveille je compte sur toi pour m'appeler ou prévenir Zahirk ou Octave ... Ganzaelle n’est pas là pour le moment ... De toute façon je reviens vite.

Valriel, à l'infirmerie en compagnie d'Ivy et d'Ewen, au même moment

Le sourire de la jeune femme et le contact de sa main lui procurèrent une agréable sensation de chaleur. Elle n'avait jamais eu de cesse d'être foncièrement gentille envers lui. "Arrête de te ramollir, espèce d'idiot… "
Sincère, il rendit son sourire à la Brétonne, plissant ses yeux en amande. "Mieux vaut l'éloigner de ces ennuis, quoi qu'il en soit", se dit-il pour se rassurer.

Ivy a écrit:Je te remercie de l'avoir ramené avec les autres, je n'arriverai pas à dormir, mais je vais aller me chercher quelque chose à grignoter ... Tu veux un morceau toi aussi ?, S’il se réveille je compte sur toi pour m'appeler ou prévenir Zahirk ou Octave ... Ganzaelle n’est pas là pour le moment ... De toute façon je reviens vite.

- C'est gentil, mais j'ai déjà mangé ce matin... Tu sais ce qui serait une bonne idée ? Une décoction de bleuet. C'est excellent pour accélérer le rétablissement. Si tu pouvais profiter de passer par l'atelier d'alchimie pour en récupérer une fiole, cela pourrait l'aider, je pense. J'ai vu qu'il y en avait une, tout au fond de l'armoire des potions... à moins qu'elle ne se trouvait sur l'étagère ? Enfin, je sais qu'il y en a une, j'en suis certain.

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