Bruits de couloir

Rappel du premier message :

À la Citadelle, il y a beaucoup de passage, les Compagnons y partagent leur quotidien et de nombreuses histoires s'y tissent. Après vos périlleuses quêtes, vous pourriez profiter d'un instant à la Citadelle pour échanger, écouter, parcourir les livres de la bibliothèque, rêvasser dans vos quartiers, écouter le doux sifflements des alambics, le grattement de la plume de Biro-Dar sur ses
livres, l'éclat des épées dans la cour... Vous pourriez en apprendre bien plus sur vos camarades et amis que vous ne le pensez. Car les murs ont des oreilles, alors, pourquoi ne pas passer un peu de temps parmi vos Compagnons ?

Le concept :

Le but est d'avoir un espace pour écrire sur le quotidien de vos personnages à la Citadelle, sans forcément y placer un grand récit, comme au sein des autres catégories.
Ce que vos personnages choisissent d'y faire est tout à fait libre (dans le respect de la charte, bien entendu).

En revanche, plusieurs paramètres sont à prendre en considération :

Plusieurs interactions sont possibles en même temps et à des endroits différents de la Citadelle.

Exemple : "Valriel décida de se rendre dans les cuisines pour se sustenter un moment."
En parallèle, quelqu'un d'autre peut écrire : "Phèbe faisait l'inventaire des livres de la bibliothèque et se dit que ceux-ci n'étaient véritablement pas bien rangés".

Vous devez avoir une explication logique pour vos actions, elles doivent être justifiées et plausibles.

Exemple : Si Octave se trouve à l'intérieur du bâtiment, mais que d'autres personnes sont en train de discuter dehors, il est plus probable qu'il ne les entende pas, et donc qu'il ne sache pas qu'il y a du monde a l'extérieur. Il faudra qu'Octave sorte du bâtiment pour entendre la conversation.

Pour s'y retrouver sur l'emplacement des personnages et sur qui fait l'action, chaque début de message devra commencer avec le nom du personnage suivi du lieu où il se trouve dans la Citadelle au début de l'action.

Exemple : Ivy, dortoirs de la Citadelle
[suite du message]

Dernier point, mais assez important : attention à ne pas confondre ce que vous savez de ce que votre personnage sait... et à orienter les actions de votre personnage en conséquence. Il est bien sûr très tentant de faire en sorte que notre personnage découvre une vérité que nous, IRL, connaissons. Cependant, toujours dans un souci de cohérence, pensez bien à jouer votre personnage selon les informations qu'il détient.

Exemple : Korsen avoue à Skonsky qu'il planifie de faire une farce à Elia. Je le sais, parce que je l'ai lu, mais si Elia n'a pas été témoin de cette conversation, elle n'a pas non plus de sixième sens et ne pourra, en l'occurrence, pas savoir ce qui l'attend. Je devrai donc jouer Elia comme si elle ne se doutait de rien, tout en sachant les intentions de Korsen.

Enfin, pour vous donner une idée de comment pourrait se dérouler un échange au sein de cette publication, voici un exemple imaginé par mes soins :

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen arriva à la Citadelle et se dirigea vers l'armurerie pour se délester de ses affaires de voyage boueuses. Il les balança par terre et, tournant les talons, poursuivit sa route vers les cuisines."

Valriel, cour de la Citadelle
"Valriel qui revenait tout juste d'affuter les épées de l'armurerie, remarqua le désordre et, voyant Korsen partir, le héla : Hé, Korsen, tu crois peut-être que tu vas laisser l'armurerie dans cet état ?"

Korsen, cour de la Citadelle
"Korsen en entendant la voix de l'Altmer, se retourna un sourire sadique au visage..."

...et ainsi de suite. D'autres personnages peuvent aller et venir et interagir entre eux (ou non) à des endroits différents de la Citadelle.

Au cours de ces échanges, vous allez donc pouvoir évoluer, apporter de la profondeur à vos personnages, leur permettre de nouer de liens entre eux et, si vous êtes attentifs et que vous laissez traîner une oreille (ou un œil) au bon endroit, au bon moment, vous pourrez peut-être recueillir des informations intéressantes… ou des anecdotes inutiles.

L'intérêt de ce roleplay est qu'il n'a pas de limite dans le temps et qu'il laisse une grande liberté d'action tout en gardant le cadre de la Citadelle et la temporalité du quotidien. Certains échanges pourront avoir l'air anodins, mais ils contribueront tous à la vie de la Guilde et à l'élaboration des personnages. Venez donc y faire un tour fréquemment pour ne rien louper de ce qu'il s'y passe !

N.B. : Si quelqu'un tombe sur une information concernant votre personnage que vous ne souhaitez pas divulguer à tous les membres, vous pouvez bien entendu transmettre cette information en MP sur Discord… et voir ce qu'en fera le personnage concerné.

***

Afin de vous situer dans la Citadelle et d'apporter de la logique aux interactions (êtes-vous proche ou non d'un autre personnage, pouvez-vous entendre une discussion ou non), vous pouvez vous référer aux plans ci-dessous :

Edit : Pour ajouter la notion de temporalité et ajouter de la cohérence au RP, il a été décidé que chaque dimanche matin, un nouveau jour commencera. Une journée durera ainsi une semaine IRL afin que chacun ait le temps de participer à la vie de la Citadelle. Faites bien attention de prendre ce facteur en compte lorsque vous écrivez ! Le premier qui écrit au terme d'une nouvelle semaine décidera de l'heure de début du récit.

Valriel, quittant les dortoirs, au petit matin

Oh, comme il avait été difficile d'ouvrir les yeux aux aurores ce matin-là... La veille, il était rentré bien tard, revenant d'un passage en ville pour régler quelques affaires et notamment envoyer une lettre, habitude qu'il tenait depuis plusieurs semaines. Ajouté à cela, il avait mal dormi et s'était réveillé persuadé qu'il était en train de s'étouffer, cauchemardant, oubliant qu'il avait ses bandages sur la figure. "Au moins, ai-je un lit désormais." songea-t-il en jetant un coup d'œil aux matelas superposés un peu trop étroits à son goût.

Il était toutefois déterminé à reprendre avec le plus grand sérieux ses activités d'écuyer et démontrer à Mazar son utilité. Maintenant qu'il se trouvait dans cette nouvelle Citadelle, il n'avait plus d'excuses pour ne rien faire. "Mais pas sans manger quelque chose..." se dit-il en voyant les cernes sous ses yeux tandis qu'il passait devant un miroir. Il songea qu'il lui faudrait plus de temps libre pour faire tout ce qu'il avait à faire... Et plus de sommeil pour pouvoir s'en remettre. Il avait bien pensé à user d'un peu de magie pour se donner un peu d'énergie, mais même de ce côté-là, cette énergie lui manquait ce matin. "Oui, j'ai vraiment besoin de repos."

Il se dirigea malgré tout vers les escaliers en réfléchissant à la liste des choses qu'il comptait faire en cette journée qui commençait.

Kiara avec Skonsky Tour Nord-Est même moment

skonsky a écrit:-"Kiara tu n'as visiblement jamais étais amoureuse ce n'est pas un sentiment que tu peux contrôler, voies-tu."

"Aie" elle pris ceci comme une remarque lui arrivant tout droit de pleine face. Elle cogita un instant sur le sujet... après tous elle n'y avait même jamais pensée, elle n'avait jamais eu de temps pour cela, de plus elle ne pouvait parler a personne grâce à son rang, mais Skonsky ne savait pas tous ça et puis il avait probablement raison ... Et il en savait surement plus qu'elle.

Tous de même piquer elle essaya de faire un effort se voulant le moins sec possible.

- Hm ... Oui probablement.

Skonsky a écrit:-"Kiara tu ne choisis pas la personne de qui tu tombes amoureux, tu ne choisis pas la personne comme une cuisse de Guard sur l'étale d'un marché."

Voilà qu'il me fait la morale ... c’en était un peu trop, pour elle, les efforts oui, mais ce n'était pas encore cela niveau sociabilisation, elle faisait son maximum, mais le sujet n'aidant pas, elle commence à perdre patience et sert les dents.

- Et bien ! Pardonne-moi Skonsky d'avoir voulue aidez ! Mais je ne suis pas là pour trouver l'amour et puis de toute façon je n'ai pas le temps ! Et puis mince à la fin je n'en sais rien moi !

Offusquer, elle se recule d'un pas. Skonsky prend congés

- Oui ! et bien moi aussi je ... je dois allez voir quelqu'un !!

C'est donc en boudant que Kiara s'éloigne de skonsky, se dirigeant vers les bains pour ensuite enfin partir à la recherche de la personne à qui elle devait bien des escuses ... Ancre.

Skonsky dans les escaliers des dortoirs, un peu plus tard

kiara a écrit:- Et bien ! Pardonne-moi Skonsky d'avoir voulue aidez ! Mais je ne suis pas là pour trouver l'amour et puis de toute façon je n'ai pas le temps ! Et puis mince à la fin je n'en sais rien moi !

visiblement kiara n'a pas bien pris les remarques de Skonsky

-"ha, elle se rappellera cette conversation quand elle aura trouvé une personne à aimer et ne m'en voudra plus."
Se dit-il sens en être vraiment sûr.

Arriver presque en bas des escaliers il vit Valriel qui ne semblais pas trop réveiller, il essaya de se faire le plus discret possible, mais rata la dernière marche et s'étala au pied de valriel.

Valriel, dans les escaliers près des dortoirs, au même moment

Encore étourdi par le manque de sommeil, l'Altmer manqua de peu de trébucher sur l'Argonien qui venait de s'écrouler à ses pieds. Plissant les yeux, il regarda Skonsky un moment sans trop comprendre comment celui-ci était tombé avant de se souvenir ce qu'il convenait de faire et de lui offrir une main secourable. Faisant de son mieux pour ne pas laisser transparaître son habituelle froideur, il demanda :

- Tout va bien ? Ces escaliers sont parfois traîtres quand on n’y prête pas attention.

Il se souvint que l'Argonien était du genre honnête et tenta de détendre l'atmosphère avec un trait d'humour, en disant d'un ton qui se voulait plus léger :

- Il semblerait que je ne sois pas le seul à ne pas avoir les yeux en face des trous ce matin.

Skonsky, dans les escaliers près des dortoirs, au même moment

valriel a écrit:- Il semblerait que je ne sois pas le seul à ne pas avoir les yeux en face des trous ce matin.

Skonsky hébété attrapa la main tendue de Valriel et ce mis à rire suite à sa remarque.

-"oui Valriel j'étais dans mes pensées ce qui m'a fait rater cette fichue marche."

Il se souvint soudainement que valriel préparer lui aussi des potions, mais en tous genres pas sur ?

-"dit moi Valriel j'ai une question à te poser ! Tu..... prépare bien des potions de toutes sortes toi aussi ? Un peu comme la plupart des personnes ici… À la citadelle ? Si je te demande cela, c’est que voies-tu... j'ai un amiiii... qui... Ho est puis zut !! C’est pour moi, il me faudrait une potion pour ne plus être amoureux. Tu peux m'aider ?"

Skonsky étais directs, il était réveillé depuis plusieurs heures, l'impatience le gagnais, ce n'est qu'après lui avoir demandé tous cela qu'il se dit que ce n'étais peut-être pas ni le bon moment ni une bonne idée.
Les choses sont dites, plus de marche arrière possible, l'argonien se sent de nouveau très mal, mais en plus de cela maintenant il est très gêné.
Il regarde Valriel dans les yeux au travers de ces bandages guettant la moindre réaction.

Valriel, dans les escaliers près des dortoirs en compagnie de Skonsky, au même moment

Tandis que Skonsky se fendit d'un rire franc en attrapant son bras pour s'aider à se relever, Valriel était satisfait d'avoir vu juste en se disant qu'une plaisanterie mettrait l'Argonien dans de bonnes dispositions. Toutefois, il ne s'était pas attendu à ce qu'il lui dit ensuite.

Skonsky a écrit:-"dit moi Valriel j'ai une question à te poser ! Tu..... prépare bien des potions de toutes sortes toi aussi ? Un peu comme la plupart des personnes ici… À la citadelle ? Si je te demande cela, c’est que voies-tu... j'ai un amiiii... qui... Ho est puis zut !! C’est pour moi, il me faudrait une potion pour ne plus être amoureux. Tu peux m'aider ?"

Il se trouva d'autant plus pris au dépourvu lorsque Skonsky ponctua sa phrase en le regardant droit dans les yeux, comportement qu'il avait observé chez peu de gens, à part lui-même. Il tenta de gagner du temps pour mieux réfléchir à la question.

- Eh bien, oui, ça m'arrive de préparer des potions, de temps en temps... commença-t-il, hésitant, se demandant à quel point il devait lui parler de l'étendue de ses compétences sur le sujet.

"Allons, la question est simple. Il veut une potion pour ne plus être amoureux et me demande si je peux l'aider... Non. Non, cela n'a rien de simple, en vérité." Il fronça les sourcils, réfléchissant au problème sous tous les angles et oubliant complètement sa fatigue. Il ne comptait plus la quantité de fois où les gens pensaient que la magie pourrait résoudre les problèmes humains. "Si c'était le cas, je n'en serais pas là aujourd'hui", songea-t-il avec amertume. Il songea bien à inventer quelque chose qui serait plaisant à entendre, mais son mépris pour les escrocs, bonimenteurs, faux-herboristes et autres marabouts qui se prenaient pour de véritables mages le rattrapa et sans s'en rendre compte, il laissa parler sa véritable nature.

- Ce que tu me demandes n'existe pas, Skonsky. Il y a des gens qui te vendront ce genre de potions et de sortilèges, mais ce sont des charlatans qui offriront des leurres pour distraire ton esprit. Être en vie, c'est cela. Éprouver des émotions et des sentiments, certains beaux, d'autres difficiles. Mais ce sont eux qui nous aident à avancer. Chercher à supprimer un sentiment, c'est refuser une part de soi. Plus tôt tu l'accepteras et mieux ça vaudra.

Skonsky, dans les escaliers près des dortoirs avec Valriel au même moment.

valriel a écrit:- Ce que tu me demandes n'existe pas, Skonsky. Il y a des gens qui te vendront ce genre de potions et de sortilèges, mais ce sont des charlatans qui offriront des leurres pour distraire ton esprit. Être en vie, c'est cela. Éprouver des émotions et des sentiments, certains beaux, d'autres difficiles. Mais ce sont eux qui nous aident à avancer. Chercher à supprimer un sentiment, c'est refuser une part de soi. Plus tôt tu l'accepteras et mieux ça vaudra.

Skonsky surpris par la franchise de Valriel se remet en cause une nouvel fois.

-"l'accepter bien sur j'ai essayé, mais je me fais du mal, car l'être aimer n'est pas seule et elle désire simplement de l'amitié de ma part, c'est ce que j'éprouvais, mais aux files du temps mes sentiments ont évolué."

L'argonien se sentais tirailler en sont fort intérieur il espérait tan d'une potion. Simple efficace, mais ce sentiment est définitivement plus dur qu'un diamant à percer, à comprendre.

-"dit moi Valriel, comment fais-tu toi avec Korsen? Vous êtes bien ensemble ?"

Dans la matinée, un messager arrive à la citadelle, un Khajiit de petite taille trapus et pathos au pelage gris tachetée de noir.

Il arrive dans la grande salle demandant a Keldora ou un certain "Valriel" se trouvait, celle-ci lui indique les dortoirs.
C'est donc dans les dortoirs en compagnie de Skonsky que le messager trouve son destinataire...

- Heu ... Pardonner moi ... Vous êtes Valriel ? Oui ?

Il lui tend alors un parchemin au doux parfum de jasmin, marquer d'une écriture soigner.

Mon tendre Valriel,

Quel bonheur pour moi, d'avoir de vos nouvelles

Je me l'anguille de voir votre beau visage et caresser à nouveau la douceur de votre peau,

Je serai absente une journée pas plus pour les affaires.

Mais croyez bien que j'attends avec impatience votre prochaine lettre.

Votre ardente,

Mélicendre

Une fois le message entre les mains de son destinataire il s'en va en sifflotant

Valriel, dans les escaliers près des dortoirs en compagnie de Skonsky, au même moment

Skonsky a écrit:-"l'accepter bien sur j'ai essayé, mais je me fais du mal, car l'être aimer n'est pas seule et elle désire simplement de l'amitié de ma part, c'est ce que j'éprouvais, mais aux files du temps mes sentiments ont évolué."

-"dit moi Valriel, comment fais-tu toi avec Korsen? Vous êtes bien ensemble ?"

À ce moment, ce fut comme si son cerveau cessa de fonctionner l'espace quelques secondes. Il papillonna des paupières en haussant les sourcils, dubitatif.

- Je te demande pardon ? questionna-t-il, comme pour s'assurer qu'il avait bien entendu.

"Voilà que les gens pensent que j'ai une relation avec cet fou furieux, maintenant... Je me demande bien qui peut répandre de telles rumeurs." Mais en soi, cela lui était égal que quiconque pense de telle chose à son propos, pourvu que le Nordique lui fiche la paix. Ses pensées furent interrompues par le messager qui lui remit une lettre dont il sentit le parfum bien avant de la tenir entre ses mains.

Le messager a écrit:- Heu ... Pardonner moi ... Vous êtes Valriel ? Oui ?

Il attrapa le parchemin avec hésitation avant de le décacheter. Après en avoir parcouru rapidement les lignes, il déglutit avant de lever les yeux au ciel. "Bon sang, elle a osé..." se dit-il avec agacement. À ce moment-là, il se réjouit que son interlocuteur ne puisse voir l'entièreté de son visage. Froissant la lettre d'une main crispée, il la glissa à l'intérieur de son pourpoint et reprit la conversation comme si rien ne s'était passé, avec le plus grand des calmes :

- Excuse-moi, tu disais ?

Kiara quelques heures plus tard dans la matinée, bibliothèque

Kiara était enfin détendue, elle c'était prélasser quelques heures dans les grands bassin faisant des longueurs détendant ses muscles crispé par l'énervement.

Elle sort des bains, revêtit sa robe bleue et ses apparats habituels, pour partir à la recherche d'Ancre. - Il est surement à la bibliothèque, comme à son habitude -, elle progresser anxieuse perdue sans ses pensées, des excuses ... Elle n'en avait jamais faite... elle s'imaginait la scène dans son esprit, il la regarderait probablement avec son petit air sournois ... du contrôle ! C’est ce qui lui fallait et trouvait les mots justes, ça elle savait faire aussi, Oui ! Mais devant une assemblée politique, jouant la comédie, se montrant dans son rôle de "princesse" ... Là, c'était différent ... de la sincérité ... Hum, elle n'avait jamais eu à parler de sentiment ... Perdue, anxieuse, c’est dans ces états quelle finie par arriver devant la bibliothèque, à l'intérieur l'odeur des livres lui redonne un regain et c'est avec une voix finalement assurée qu'elle dit tout haut,

- Ancre ? Vous êtes là ? Puis-je vous parler ...

Skonsky dans les escaliers avec Valriel, au même moment

valriel a écrit:- Je te demande pardon ? questionna-t-il, comme pour s'assurer qu'il avait bien entendu.

Skonky voie bien que ses questions mettent Valriel mal à l'aise, presque en colère.

-"heu non rien Valriel."

Dans le même instant un messager arrive.

le messager demande a écrit:- Heu ... Pardonner moi ... Vous êtes Valriel ?

Skonsky observer Valriel, quand il remarqua :

valriel a écrit: Froissant la lettre d'une main crispée, il la glissa à l'intérieur de son pourpoint

Skonsky perçue une odeur familière quand il froissa la lettre, mais n'y prêta pas plus d'intérêt.

-"un problème valriel?"

Ce messager est une bénédiction de l'Histe pour Skonsky qui ne souhaite pas ce justifié de son manque de tact.

*"C'est la deuxième personne que j'offusque en peut de temps aujourd’hui"*, se dit-il.*"si je continue d'ennuyer d'autres personnes avec mes problèmes de cœur je vais finir par avoir des embêtements !"*

Penaud Skonsky reste planté là, scrutant la réaction de Valriel.

Ancre-les-mots, dans la bibliothèque en même temps que Kiara.

Il rangea les rares bouquin qu'il avait récolté auprès des compagnons éparses et ceux qu'il avait pu obtenir en ville. L'archiviste soupira devant les étagères chichement remplis. Il gratta compulsivement ses écailles. Le foutoir de leur ancienne Citadelle lui manquait. Il allait se diriger vers son bureau de fortune quand une voix l'interpelle:

Kiara a écrit:- Ancre? Vous êtes là? Puis-je vous parler...?

Reconnaissant la Rougegarde malpolis il grinça des dents. Il pris le temps de chasser toute émotions négatives. Et il apparut à ses côtés avec son registre.

- Enfant des sables, que puis-je pour vous?

Valriel, dans les escaliers près des dortoirs en compagnie de Skonsky, au même moment

Skonsky a écrit:-"un problème Valriel?"

Les yeux de l'Altmer se plissèrent en un sourire exagéré. Feindre des émotions n'avait jamais été son fort.

- Pas le moins du monde. Juste un message sans importance.

Il chercha rapidement comment distraire l'attention de son interlocuteur et lui faire oublier cette lettre en revenant à la conversation initiale. Il retraça rapidement dans sa mémoire le fil des paroles de l'Argonien avant de reprendre calmement :

- Pour Korsen et moi, c'est un peu plus compliqué que ça. Si j'étais toi, je ne chercherais pas de réponses dans les relations qu'entretiennent les autres. Chaque situation est unique. Je ne sais pas si tu t'adresses à la bonne personne pour parler des émotions, cela dit... Mais on ne peut pas forcer les gens à ressentir quelque chose. Ni à ne plus aimer, ni à aimer. Cependant, tu peux utiliser cette énergie pour créer quelque chose. Pour mettre en place de nouveaux projets.

Neeicus sous le sol pleureur

Neeicus s'étais assis tôt le matin au pied du sol pleureur, il avait apporté avec lui un esraj. Il commença à jouer de manière un peu hésitante tout en se rappelant les instructions de son maître et la seule partition qu'il savait jouer puis repris ses habitudes et joua à peu près normalement

Sabehla sur ! le Sol-pleureur

Sabehla s’était assoupie dans les solides et accueillantes branches du majestueux sol-pleureur. Ce lieu qu’elle partageait depuis quelque temps avec Neeicus semblait être l’endroit le plus propice pour un agréable sommeil, bercé par les sons de la nature et de l’arbre en lui-même.

Elle eut une drôle de sensation en imaginant un rêve qui se terminait sur des notes un peu discordantes et le poids de son petit animal qui s’étirait d’un long et paisible endormissement sur elle. Elle se réveilla lentement pour s’apercevoir qu’elle était perchée en hauteur de l’arbre et que des mouvements se produisaient en bas, et qu’elle ne rêvait plus... D’ailleurs à quoi rêvait-elle ?

Elle aperçut Neeicus avec son instrument qui s’était installé, comme à son habitude confortablement contre le tronc, et commençait à faire de la musique. Ithildin sautait déjà de petits bonds, maintenant bien réveillé et s’apprêtait à descende l’arbre, quand Sabehla lui fit signe de faire le moindre bruit et de venir se lover contre elle. Elle s’était allongée sur le ventre, les coudes retenant, sa tête au creux de ses mains, positionnée sur la naissance des larges branches inclinées. Cela lui donnait tout à loisir pour observer Neeicus et écouter ses progrès à l’Esraj sans le déranger.

Ithildin n’était pas du même avis et avait envie de jouer ! Il se frotta le long de la belle pour mimer le fait de la faire basculer… Mais sa force n’était surement pas sa meilleure arme pour la faire bouger. Il employa les grands moyens qui sont bien entendu les chatouilles ! Il se mit à la mordiller gentiment sur les flancs puis se rouler en boule sur des parties de peau exposées à son pelage pour la chatouiller. Sabehla retenu ses rires délicieux de chatouillement en voulant respecter la concentration de son ami Neeicus. Mais tout à coup, Ithildin arrêta son raffut en tombant sur une chose nouvelle apparu sur sa maitresse, alors qu’il était enclin à lui faire une nouvelle adorable torture… des petits bisous sur le visage. Il observa un instant l’objet comme si cela lui semblait étrange. Il reniflât cette chose et commença à ma mordiller pour voir le gout qu’elle avait … ce qui ne manqua pas de faire réagir Sabehla.

Elle lui murmura : - heyyy, que fais-tu ! Cela ne se mange pas ! Humm, tu veux voir ce que s’est petit curieux ! C’est un présent de… *lui fit un signe des yeux vers le bas *.

S’asseyant en tailleur, elle retira le bracelet de son poignet et le posa au creux de sa main, pour que le petit animal puisse le regarder de plus prés.

Ithildin inspecta le bijou et fini par pousser l’objet avec son petit museau. Il finit par l’enfiler par erreur autour de son cou… Gêné il eut un bon de recule mais cela n’eut l’effet de de rebrousser es poils et l’objet chut … Heureusement t que sabehla avait une rapidité de mouvement parfaite et elle attrapa le bracelet à temps … il aurait fini sa course tout simplement sur la tête de Neeicus. Elle ne put s’empêcher de laisser échapper un rire exaltant en voyant la tête d’Ithildin toute ébouriffée.

Skonsky dans les escaliers avec Valriel, au même moment

Skonsky compris qu'il avait étai trop loin avec cette question

skonsky a écrit:-"dit moi Valriel, comment fais-tu toi avec Korsen? Vous êtes bien ensemble ?"

Le calme apparent de Valriel le surpris une fois de plus, la suite de ses paroles le fit réfléchir un instant

valriel a écrit:Chaque situation est unique. Je ne sais pas si tu t'adresses à la bonne personne pour parler des émotions, cela dit... Mais on ne peut pas forcer les gens à ressentir quelque chose. Ni à ne plus aimer, ni à aimer. Cependant, tu peux utiliser cette énergie pour créer quelque chose. Pour mettre en place de nouveaux projets.

-"Le Potenta, je vais aller me ressourcer au Potenta!" s'exclama-t-il.
Merci Valriel et... désoler de mon indiscrétion, je dois partir pour suivre tes conseilles.

Neeicus toujours sous le sol-pleureur

Neeicus était en pleine concentration afin de ne pas faire de fausses notes, quand il en fut sortie en entendant un rire, il s'arrêta de jouer, regarda autour de lui, mais ne vis personne puis il regarda haut dessus de lui et vit Sabehla qui regardais Ithildin toute ébouriffé, en voyant cette scène il sourit, mais ne dit pas un mot, il posa son esraj et fouilla dans son sac, il en sortit de quoi manger et boire pour trois (trois repas et une bouteille d'eau et un saucisson) et commença à manger s'attendant à voir les deux compères descendre de l'arbre

Sabehla dessous le sol-pleureur avec Neeicus et son fidèle Ithildin.

Après s’être suffisamment esclaffée sur le pauvre animal à la crinière de lion, elle le petit avec douceur et tout en le caressant pour le recoiffer elle déposa un baiser sur son nez pour s’excuser de sa moquerie.

L’elfe des bois descendit du bel arbre pour rejoindre Neeicus qui avait préparé de quoi se sustenter … Ce qui devenait presque une habitude … En effet, les trois lurons se retrouvaient pour partager un tas de choses. Neeicus et Sabehla en ce lieu, parlaient, écrivaient des courriers, tandis qu’Ithildin dévorait les gros insectes juteux des hautes herbes… Ils s’inventaient également des jeux ou Ithildin avait souvent l’avantage puisqu’il volait les pions ou cachait des objets utiles dans ses abajoues… Parfois même ils mangeaient sur le pouce pour ensuite se baigner dans la rivière non loin… en regardant dormir l’animal épuisé de ses aventures à son échelle réduite.

-Alors, alors ! Qu’est que tu as ramené de bon ? Dit-elle en s’installant non loin de Neeicus avec un sourire tendre et un regard rieur.

Elle observa le nombre de repas et songea qu’il avait encore tout prévu avec une attention certaine. Elle prit alors en premier le saucisson et sortant une de ses minuscules lames cachées cette fois ci dans son corset de cuir, elle commença à découper des tranches pour chacun…

Ithildin qui avait déjà oublié qu’l venait de se mettre en spectacle se rua sur les rondelles alléchantes. Sabehla en tendit d’autres à Neeicus avant de les voir disparaitre à leurs tour.

-Tu t’entraines encore pour l’Esraj ?! J’espère écouter ton maitre qui doit être calé … au vu de ta façon de jouer que je trouve déjà admirable. Tu crois qu’il pourrait aussi m’apprendre ?! Enfin si je le rencontre un jour ! Dit-elle avec un petit clin d’œil.

Ivy dans la matinée se promenant autour des murs de la citadelle.

Ivy se promenait tranquillement quand elle fut attiré par quelques notes de musique, elle tend l'oreille, et s'approche délicatement, et vois sous le sol pleureur ses deux camarades échanger autour d'une Esraj tenue par Neeicus.

Arriver a leurs auteurs, et d'une voix douce et agréable leur adresse un bonjour.

- Bonjour tous les deux, Comment-allez vous ? Je peux me joindre à vous ? J’ai était attirer par les notes de l'Esraj, tu apprends Neeicus ?

Kiara dans la bibliothèque avec Ancre au même moment

L'argonien fit enfin son apparition, toujours silencieux et discret, elle si attendait cependant.

Ancre a écrit:- Enfant des sables, que puis-je pour vous?

Les mots étaient posés ... et elle ne sut quoi dire ... - Bon sang ! Des excuses ce n'est pas si compliqué - Elle resta face à lui se mordant la langue comme pour contenir un secret inavouable, elle regarder le sol, puis son visage, puis le sol, puis son visage... Les mots ne sortent pas, - Détend toi !! Ce ne sont rien que des excuses- Une nouvelle fois, elle tente de se lancer ...

- Heu ... Hum... Je ... Du thé ? Enfin, je veux dire, accepteriez-vous de prendre le thé en ma compagnie ?

Non, ce n'était pas ce qu'elle voulait dire, mais se dit-elle que finalement devant une tasse de thé tous pouvait lui sembler plus simple...

Neeicus sous le sol-pleureur avec Sabehla et Ithildin

Neeicus vit Sabehla et Ithildin descendre, il écouta la question de Sabehla et lui répondit en souriant :

"Alors j'ai ramené du gibier rôtie, du lapin au mille pilaf et une quiche aux œufs de kwama "

Neeicus regarda Sabehla couper des rondelles de saucissons un peu gêné du fait que Sabehla est sortie la lame avec laquelle elle coupait les rondelles de son corset.

Il prit les rondelles que Sabehla lui tendais et les mangea tout en écoutant Sabehla puis lui répondit :

Oui il faut bien que je continue à m’entrainer si je veux un jour atteindre le niveau de mon maître, je t'emmènerai l'écouté jouer je suis sûr que tu vas aimer, ma façon de jouer n'est pas si admirable que ça *rit un peu gêner par le compliment*. Et oui je suis sûr qu'il voudra bien t'apprendre à en jouer quand tu le rencontreras *sourit*.

Neeicus vit Ivi arriver et l'écouta parler, il lui répondit :

Bonjour Ivi, nous allons bien et toi ? Et non je n'apprends pas je m'entraine juste afin de ne pas perdre mon niveau

Ancre-les-mots, bibliothèque avec Kiara.

L'argonien tapota la couverture du livre de ses griffes. Il savait qu'elle n'était pas là pour ça. Outre que personne ne vient dans une bibliothèque pour inviter le scribe à en sortir, lui et elle avait des passifs. Intrigué, il plissa les yeux avec joie (sans se rendre compte que cela lui donnait l'air vicieux).

- Qui pourrait refuser un telle proposition. Je uis grand amateur de thé.

Il la suivit.

Ivy sous le sol pleureur avec Neeicus, Sabhela au même moment

Elle sourit, plissant les yeux,

Neeicus a écrit:Bonjour Ivi, nous allons bien et toi ? Et non je n'apprends pas je m'entraine juste afin de ne pas perdre mon niveau

- Très bien ! Ah oui ? C’est génial ! Tu peux nous jouer un morceau ? J'adore écouter le son de l'Esraj, je trouve que c'est apaisant ...

Elle tourne la tête observant le petit animal se goinfrer, et s'adresse à Sabhela

- Aha, en tout cas ça à l'air bon si j'en juge les joues pleines d'Ithildin

Kiara avec Ancre se dirigeant vers la serre passant par les cuisines au même moment

Ancre a écrit:- Qui pourrait refuser un telle proposition. Je uis grand amateur de thé.

Elle sourit, d'un sourire faux répondant a sa viscosité, - Bien-sûr, il sait parfaitement pourquoi je suis là, hum, il doit jubiler ... - Elle baissa la tête, lui faisant signe de la suivre, se dirige vers la cuisine pour y préparer le thé (à sa façon) l'eau avait déjà était chauffé par Fait-pleins-de-Soupe. Il suffisait à Kiara d'ajouter les feuilles, peut-être un peu trop ?.

Une fois la théière pleine elle se dirigea vers l'extérieur, la serre serait un endroit parfait pour discuter tranquillement...

Sur place, elle s'installa et remplie une tasse pour la tendre distinctement à Ancre ...

- Tenez ! Pardonnez-moi je suis encore en train d'apprendre à doser correctement, mais cela devrait-être buvable ... Hum ... Heu ... Ancre ! Je dois vous parler ! Hum ...

Elle s'adresse à Ancre, se penchant dans sa tasse regardant les feuilles tourner entres elles ... Les mots ... elle les connaissait mais, rien ne voulait sortir, elle n'osait pas regarder son air fourbe et vicieux ... Il devait être en train de se satisfaire de cette situation.

- Je ... Le ... le thé vous plait ?

Non, non, ce n’était pas encore ça non ...

Neeicus, Ithildin, Sabehla et Ivy qui vient d'arriver prés du sol-pleureur

Sabehla n'avait pas fait attention à Ivy qui venait de passer la rivière et les eaux mouvementées et bruyantes, pour les rejoindre. Entendant celle-ci s'adresser à elle se leva et vint se poster derrière le dos de Neeicus posant sa main sur son bras et se penchant pour voir Ivy qui lui faisait face.

-Bonjour Ivy! Oui, Neeicus nous a prit une petite collation... à tous les trois. On aime bien se retrouver ici loin du brouahaha des autres compagnons. Je pense que si tu veux toi aussi un concert privée, tu devras attendre un peu, il joue de façon admirable mais je crois qu'il ne se sent pas encore prés. * Sur le ton de la confidence*. Sinon si tu aime le saucisson tout comme Ithildin; je crois bien que Fait plein de soupe en cache dans les caves ! Car je l'ai déjà vu remonter avec des charcuteries en venant de ce lieu. Tu devrais aller le lui demander! *lui offrant un sourire amical*

Bruits de couloir

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Arriver presque en bas des escaliers il vit Valriel qui ne semblais pas trop réveiller, il essaya de se faire le plus discret possible, mais rata la dernière marche et s'étala au pied de valriel.

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