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La magie de Zéphyriel - Chapitre 1 : La faille Empty La magie de Zéphyriel - Chapitre 1 : La faille

Lun 28 Fév - 16:50
La faille



La magie de Zéphyriel - Chapitre 1 : La faille Ofxs6ZK2vCbXFn7TuHdzCso7lzGyH2dNOGYC8LRSi-TAdFEIcjM9X-nC1Ru6A6ZKYt5NR3EoB_1XZSPeYOuV2jJ0dYme8hvd4yDCj1KehVtj0b4ekm71U8FE_dpMWQ42sFKACY2h



       Durant mon dix-neuvième printemps, je reçus une demande particulière. Cela faisait un moment que je travaillais avec la guilde des guerriers et commençais à me faire un nom. J’avais choisi de travailler seul. Les autres ne m'auraient⁷ que gêner, je ne peux pas me battre et les protéger en même temps. Protéger… cette pensée seule me rappela la mort du Maître. Je continuais de ruminer tout en marchant vers le bâtiment des mages. Le magicien de garde, me demanda la raison de ma visite. Je lui tandis la lettre qu’un messager m’avait apporté plus tôt dans la matinée. Surpris au premier abord, il me conduisit poliment jusqu’au responsable du lieu. Je montais jusqu’à un bureau où une femme âgée m’attendait.



  • Ah ! vous voilà, dit-elle, je ne m’attendais pas à vous voir si vite mais c’est mieux ainsi.


       Elle me fit assoir en face de son bureau pour m’expliquer la situation. Un mage avait découvert une sorte de portail ou de fissure étrange dans un ancien temple ayleids. J’avais été missionner pour servir d’escorte avec d’autres guerrier. Nous devions protéger un groupe de mage jusqu’au lieu ainsi que pendant l’étude de l’étrange phénomène. Ce travail ne me plaisait pas. Rien de bon ne ressort avec la magie et les mages sont faibles pour la plupart. Mais la prime de la mission était conséquente, ça laisser comprendre l’importance peut être le danger qu’il s’y trouverait.



  • Une fois la mission finie vous aurez un supplément en fonction de votre aide apporter. Vous pourrez aller voir toutes les filles de joie que vous voudrez. C’est bien ce que les guerriers comme vous font non ?


       Je me rappelais la fille et la seule que j’étais aller voir. Une charmante jeune femme qui m’avait courtisé toute une soirée avec des verres et ses aphrodisiaques. J’avais dans son lit et je ne regrette pas d’y avoir succomber. J’étais aller la revoir plusieurs fois jusqu’à sa disparition. J’avais appris qu’un groupe de personnes ivre l’avait violé et battu à mort dans une ruelle, ces salauds s’en était vanté. Il n’aurait pas dû. Ils disparurent la nuit suivante et plus personnes n’entendis parler d’eux.


Revenant au présent, je lançais un regard meurtrier au mage. Celle-ci pâli à vue d’œil.



  • Mêlez-vous de vos affaires, lui dis-je d’un ton froid.


       La tension était palpable. J’acceptais le contrat, ayant besoin d’argent. Le départ serait dans trois jours à l’aube. Il se ferait ici à Daguefilante. Nous prendrons un bateau jusqu’en auridia, nous nous amarrerons à Gardeciel. Après nous irions direction le nord à cheval jusqu'aux ruines de Torinaan.


Trois jours plus tard, je retrouvais le groupe de mage avec son escorte. Il y avait 8 mages et 12 guerriers moi inclus. Le voyage se passa bien, les mages ne se mélangèrent pas avec nous mais il n’y avait pas de rixe, au vu de la paye, personnes n’allaient se les mettre à dos.


Une fois arrivées aux ruines, nous commençâmes par sécuriser les lieux et monter un camp. Les mages avaient décidé de s’enfoncer pour aller voir la faille. je faisais partie de la moitié des guerriers qui descendirent.  Au plus profond des ruines, une fissure lumineuse se trouvait au centre de la pièce. Les mages commencèrent leur travail tandis que nous nous chargions de les protéger, par groupe de deux. J’avais l’impression que je n’avais pas eu mon mot à dire. Je me retrouvais avec une jeune guerrière spécialisée dans le maniement de l’épée et du boulier qui n’avait pas arrêté de me faire de l’œil depuis le début du voyage. 


En fait, elle se débrouillait souvent pour rester en ma présence. Je me tenais généralement à l’écart au fond des ruines lors de mon repos. Mais elle finissait irrémédiablement par chercher ma compagnie. Elle était jeune mais avait un corps robuste, ses cheveux châtains clairs lui arrivaient à l’épaule. La jeune femme était venue me trouver pour « partager » son repas avec moi. Elle entreprit rapidement de bavarder. Elle riait beaucoup d’une voix claire et approchait ses mains de moi à la moindre occasion. Je tentais tant bien que mal d’imposer une distance mais… elle ne lâchait pas l’affaire. Elle fit mine d’avoir trop chaud pour pouvoir se dévêtir un peu. Ca commença simplement par laisser ouvrir sa blouse, faire tomber le tissu de ses épaules mais bientôt: Il y eu plus de peau que de vêtement. Je l’arrêtais sur le coup :



  • Que veux-tu ? lui demandais-je suspicieux.

  • Bah baiser pardis, pourquoi j’enlèverai mes vêtements comme ça ?

  • Pardon ?


Surpris par ses paroles, elle ne me laissa pas le temps de bouger un muscle. Elle fondit sur moi et plaqua ses lèvres sur les miennes en faisant courir ses mains sur mon corps.


  • Ne me fait pas croire que tu n’avais pas compris. 

  • Je ne vois absolument pas…

  • Tu pensais que je te faisais causette pour tes beaux yeux? Tu croyais que je voulais faire quoi? du tricot?

  • Et bien...

  • Alors pour commencer, oui j’apprécie particulièrement ta belle carrure, et j’espère que tes muscles sont aussi développés qu’ils en ont l’air. 

  • heu c’est à dire ?

  • Et bien le plus simple c’est de me montrer.

  • Hein ? Heu comment ça ?

  • Laisses toi faire, chuchote ‘elle en se penchant à son oreille


Ni une ni deux, elle pose sa main sur les fermoirs de mes protections pour les détacher vigoureusement. 


Je sentais la rougeur atteindre mon visage et ne sachant que faire, je détachais ma veste pour couvrir la jeune femme.


  • Tu risques d’attraper froid si peu couverte.

          Elle crut avoir enfin ferre le poisson et retint un sourir cajoleur. Elle s’approche à quatre patte pour se lover contre moi: “Oh oui, réchauffe moi”. Ses doigts toujours plus audacieux virent enfin à bout du laçage du plastron.


Comprenant où la demoiselle voulait en venir, hésitant je l’aidais à enlevé les parties les plus solidement attachées de son armure. J’eu bien vite pour seul vêtement, ma tunique et mes braies. Je ne sais même pas comment elle fit pour nous traîner loin de regard indiscret mais elle avait visiblement eu le temps de visiter le coin. Elle n’hésita pas un instant sur comment ouvrir un passage dérober et les amener… Dans une salle remplie de sarcophage et de gemmes brillantes. De peur de la blessé ou totalement dépassé, je me laissais faire alors qu’elle me plaquait contre une des stèles et me forçait à m’y asseoir. Elle finit de nous dévétir et commença l’étreinte. 


Pas une fois elle ne me laissa protester, lui donner mon avis ou émettre une protestation. Elle faisait ce qu'elle voulait de moi et l'utilisait pour son propre plaisir. Nos ébats furent brefs mais puissants, intenses et sauvages. Les jours s’enchainèrent ainsi, nous faisions nos gardes, puis elle me montrait ce qu’elle savait des arts guerriers. Nous nous entraînons de long moment avant de finir dans une étreinte charnelle. Si j’avais le malheur de m'emballer et prendre une initiative, elle n’hésitait pas à me rappeler à l’ordre par la force. Elle ne semblait pas avoir de remords à me faire mal, croyant certainement que cela me donnait du plaisir. Si je n’atteignais pas ses attentes, si épuisé ou satisfait m’arrêter un instant, elle n’hésitait pas à me gifler avant de critiquer l’air sévère: “Que crois tu faire au juste? Ce n’est pas fini. Je n’ai pas fini. Et tant que je n’ai pas fini..." Elle m’attrape le menton avec violence pour me forcer à la regarder: “Nous continuons.” De temps en temps je me demandais si nos ébats me procurait plus de douleur que de plaisir. Mais après tout ça n’avait pas tellement d’importance, je recherchais une présence et j’acceptais ce qui venait avec sans vraiment me demander si j’appréciais cela.


          Quelques semaines passèrent avant que les mages nous disent qu’ils avaient enfin trouvé quelque chose. Il pensait que la faille était présente délibérément et qu’elle menait à un lieu similaire à un petit plan personnel. Sans doute utilisé par les anciens occupants pour cacher leur savoir. Ils eurent la bonne idée de vouloir activer les runes autour de la faille sans écouter nos protestations évidemment. Les mages se réunirent en cercle autour de la fissure. Nous autres guerriers nous positionnèrent au niveau des entrées prêt à intervenir si quoi que ce soit venait perturber le rituel. Le chant des sorts se mit à résonner dans la pièce, l’air semblait de plus en plus lourd. Des particules lumineuses se mirent à graviter entre nous. Marina me regarda inquiète. Je jetais un coup d’oeil aux mages. Ils étaient entrer dans une sorte de transe pendant leur incantation. Soudain l’un d’eux s’écroula à terre. Les autres n’avaient pas l’air en meilleur état, des éclairs jaillirent de la faille, et ce fut la panique. Les mages cherchaient à se protéger, les mercenaires couraient dans tous les sens pour éviter la foudre. Des cris résonnèrent dans la pièce. Tous les bruits étaient amplifiés par la réverbération du lieu. Je me baissais évitant une lueur aveuglante de justesse, j’allais atteindre Marina quand une voix forte surplomba le reste :


  • Non pas la pierre de Varla !

Du coin de l'œil, je vis un des mercenaires jeter une pierre bleue sur la faille. L’instant d’après, une violente lumière nous engloba tous. La dernière image que j’eus fus Marina me regardant le visage inquiet puis plus rien, le néant. Je sombrais dans l’inconscience.
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