Chuchotements de campement

Ivy, le soleil à peine levé, au campement


Ivy est réveillée par une intense douleur, elle ressent des fourmillements dans sa cuisse et ses entrailles la tiraille. 
Elle se redresse lentement, en poussant quelques " aie outch" étouffés pour ne pas réveiller ses camarades. Elle se rapproche des quelques braises encore allumées pour s'en servir de lumière d'appoint et enlève délicatement quelques parties de son armure, ainsi que ses bandages. 
Les jambes à nue, elle analyse sa cuisse droite, les fourmillements son intense, elle approche son visage, le morceau de bois toujours planté dans sa cuisse, elle voit tout autour, un bleu violacé s'étendre, sa peau et dure et boursouflé autour du point d'impact de la flèche ...  

- Hum ... sa ne sent pas bon, se dit-elle avec le plus grand des calmes.


Elle se penche à présent sur son abdomen, à côté d'une cicatrice plus ancienne se trouve la même blessure que celle située au niveau de sa cuisse, même couleurs, même forme d'impact, et toujours le bois coincé à l'intérieur... Cassé l'extrémité des flèches lui avait permise de tenir jusque-là, mais à présent il fallait agir... 
Elle tente d'observer de plus prêt pour analyser les possibilités qui s'offrait-à elle, mais dans un faux mouvement, se cambrant un peu trop, elle réveil la douleur et lâche un cri, elle met immédiatement sa main devant sa bouche...

Skonsky, le soleil à peine levé, au campement


Allongé sur le dos, sa main droite posés sur son flanc gauche, il se tient les côtes, qui lui font horriblement mal, bien plus mal que sont entre jambe.(pendent l'assaut il se prit un coup de pied dans les parties).

À bout de fatigue, et n'aillant pas encore pu s'endormir avant, l'extrême fatigue le gagne et il commence à renter dans un sommeille profond, quand un cri étouffé se fait entendre non loin de lui, il lève la tête avec difficulté pour voir d'où le son provenais.

C'est Ivy qui se trouve près du feu. Trop affaibli et à peine capable de bouger, Skonsky repose sa tête sur le sol. Tandis que la fatigue le gagnait de plus en plus, il tendit sa main gauche en direction d'Ivy et lâcha dans un soupir étouffé :

- Iv...y...

Avant de fermer les yeux et de plonger dans un profond sommeil.

Valriel, à l'aube, au campement

Entendant un cri, il est ensuite réveillé par une douleur sourde contre son oreille droite et sur son flanc gauche. Il se relève péniblement. Ses bandages sont collés contre son visage par le sang séché. D'un geste hésitant, il approche ses doigts de son oreille sur laquelle il sent une entaille, peu profonde. Mais la douleur la plus vive demeure sous ses côtes, au dessus de sa hanche, là où la hache du Crevassais a tailladé l'armure.

La veille, après avoir aidé les autres a s'installer, il s'était simplement endormi à même le sol, s'écroulant de fatigue, oubliant l'inconfort de sa posture et ses blessures. Il avait délaissé la nourriture tant le sommeil le gagnait. Il s'était contenté d'ôter son armure et s'était étendu, la tête calée sur une pierre lisse. Mais tandis que les premiers rayons du jours faisaient leur apparition, il lui sembla être encore plus fourbu que la veille, son corps lui rappelant les coups qu'il avait pris durant la bataille. Il jeta un coup d'œil autour de lui, observant les Compagnons endormis, paisibles. A côté de lui, Korsen ronflait bruyamment. Il s'étonna encore que le Nordique lui ait sauvé la mise durant la bataille. Après ce qu'il lui avait dit, il s'était imaginé qu'il aurait saisi l'occasion de le laisser mourir sous la hache d'un ennemi.

Il chercha l'Archonte du regard. Elle dormait encore, non loin, à côté de Phèbe. Elle semblait s'en être bien sortie. Il sourit, se perdant dans ses pensées, avant de remarquer Ivy, près du feu qui semblait en mauvaise posture. Faisant de son mieux pour ignorer la douleur sur son flanc, serrant la mâchoire, il se releva et s'approcha d'elle doucement, faisant de son mieux pour ne pas réveiller les autres.

Il chuchota :

- Ivy ? Tout va bien ? Vous avez besoin d'aide, peut-être ?

Ivy, à l'aube au campement.

Ivy, entend son nom dans un soupir à moins de deux mètres d'elle, Skonsky, il s’était visiblement rendormi, pris entre la douleur et la douleur et la fatigue. 

Elle tente de se déplacer vers lui, mais ses côtes lui empêche tous mouvements.
Valriel, viens (à sa rouscousse) et lui propose son aide, en chuchotant, elle lui répondit à son tour.

- Valriel, pouvez-vous vérifier l'état de Skonsky s’il vous plait ? 

Elle souffrait atrocement, mais cacher toute sa douleur avec un sourire doux. Quant au loin elle aperçue une ombre, se mouvoir dans les bois. Elle attrapa la cheville de Valriel, pour avoir son attention et montra la silhouette, inquiète, la région n'est pas sûre, alors elle était sur ses gardes.

Valriel, à l'aube, chuchotant à Ivy

Ivy a écrit:- Valriel, pouvez-vous vérifier l'état de Skonsky s’il vous plait ? 

- Bien s...

La main d'Ivy sur sa cheville interrompit son geste. Il tourna la tête vers elle. Alerte, elle regardait au loin dans les bois. Il suivit son regard et aperçut alors la silhouette qui avait déclenché cette réaction chez elle. Il intima à Ivy de ne pas bouger d'un geste et, attrapant au passage son épée laissée au sol, s'approcha de l'ombre pour mieux la distinguer. Il n'avait aucune envie de se battre à nouveau. Mais il reconnut bien vite la petite stature fine de la Bosmer et il relâcha la tension. Il souffla à Ivy, aussi discrètement que possible :

- Ce n'est rien. Juste Sabehla. Il n'y a pas de danger.

Il retourna auprès de l'Argonien et se pencha sur lui, examinant rapidement ses blessures. Lui aussi était salement amoché, les entailles qu'il avait reçues sur les côtes n'étaient pas nettes et risquaient de s'infecter. Il avait besoin soit de magie, soit d'un guérisseur et de ses cataplasmes. 

- Il nous faut des plantes. Pour apaiser sa douleur. Faites chauffer de l'eau. Je vais voir ce que je peux trouver à proximité pour l'aider… Je ne suis pas un expert, mais je devrais pouvoir trouver de quoi faire une décoction.

Ivy avec Valriel au campement au même moment.


[size=17]- Il nous faut des plantes. Pour apaiser sa douleur. Faites chauffer de l'eau. Je vais voir ce que je peux trouver à proximité pour l'aider… Je ne suis pas un expert, mais je devrais pouvoir trouver de quoi faire une décoction.
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Elle regarde Valriel gêner et lève le morceau de tissue qu'elle avait placer sur elle pour cacher ça semi-nuditer..

- je ... je ne peux pas 

Elle lui montra du bout des doigts, l'emplacement des flèches, l'aspect de ses blessures ne la rassurer guère, c'est muscles commencer à se tendre, ça peu était dure, elle commençait à recentir une chaleur prendre possession de son corps. Elle avait les jambes tendue à découvert et lui montre la deuxième blessures situé au niveau de sa cuisse.

- Je crois que... je ne peux plus bouger ... 

Elle était inquiète, mais essayée cependant de rester calme, céder à la panique n'arrangerait rien ...

Valriel, à l'aube, chuchotant à Ivy

Intrigué, il s'accroupit et se penche vers la blessure que lui désigne la jeune femme, constatant la pointe de flèche fichée dans sa chair. Loin de le dégoûter, il se sentait néanmoins impuissant. Il aurait fallu du matériel, des plantes sédatives, de l'eau pure, de quoi élargir la plaie. Il n'avait pas les compétences pour l'aider, c'était évident.

- Hmm... C'est une vilaine blessure, en effet. Il faudrait commencer par retirer ces pointes de flèches pour éviter que ça ne s'infecte. Mais sans calmant, vous allez souffrir.

Voyant que ses mots n'étaient pas pour rassurer la jeune femme, il reprit plus doucement, avec assurance pour donner l'impression de maîtriser la situation et apaiser Ivy : 

- Je vais vous trouver de l'eau et des plantes, ce sera toujours utile. Restez au calme. Si vous ne vous affolez pas, tout ira bien.

Général Patafouin a écrit:Valriel, à l'aube, chuchotant à Ivy

Intrigué, il s'accroupit et se penche vers la blessure que lui désigne la jeune femme, constatant la pointe de flèche fichée dans sa chair. Loin de le dégoûter, il se sentait néanmoins impuissant. Il aurait fallu du matériel, des plantes sédatives, de l'eau pure, de quoi élargir la plaie. Il n'avait pas les compétences pour l'aider, c'était évident.

- Hmm... C'est une vilaine blessure, en effet. Il faudrait commencer par retirer ces pointes de flèches pour éviter que ça ne s'infecte. Mais sans calmant, vous allez souffrir.

Voyant que ses mots n'étaient pas pour rassurer la jeune femme, il reprit plus doucement, avec assurance pour donner l'impression de maîtriser la situation et apaiser Ivy : 

- Je vais vous trouver de l'eau et des plantes, ce sera toujours utile. Restez au calme. Si vous ne vous affolez pas, tout ira bien.

Ivy avec Valriel au campement au même moment 

Elle lui répondit par un signe de tête, et lui sourie, la présence de Valriel la rassurer, après tous n'avait-il pas souvent était la pour elle ? Pour l'aider. Alors et se calme et souffle un bon coup, en le voyant partir chercher de quoi s'exécuter... 

Elle réfléchie, elle imaginé très bien ce qui allait se passer... elle devait se préparer, elle attrapa une lanières de cuir détachées d'une pièce de son armure... vue l'état de cette dernière, une lanières en moins ... ce dit-elle.
Elle plaça un morceau de bois traînant à côté d'elle dans le feu pour l'alimenter, et démonta une pièce métallique provenant de son armure, la plaçant au bord des braises pour pouvoir s'en servir.... Elle avait vue l'oreille de valriel quand ce dernier c'était pencher sur elle, et ce dit que cotériser sa blessure pourrait probablement l'aider.

Elle arracha ensuite, lentement sans pouvoir trop bouger les parties de tissus commençant à se coller à ses chairs.

Heureusement Ivy était une enfant des rues, elle avait appris la survie et cela lui serait probablement très utile

Tourbe-Moirée, ne s'étant pas reposer depuis l'assaut.

L'argonienne avait vécu le combat avec une folie vertigineuse, rien ne semblait pouvoir l'arrêter elle enchaînait les sorts puissants avec aisance et repoussait toute attaque. Elle valsait dans la tourmente alors qu'autour d'elle, les alliés tombaient. Il y avait trop d'ennemi, trop de dangers et bientôt il n'eurent d'autre choix que de fuir, fuir vers le lointain. C'est ainsi que Tourbe-Moirée découvrit Vikkye. Avec ses yeux perçants, en bas des murailles elle fit la jeune fille qui gisait sur le flanc Nord. Un bras déboité et visiblement cassé, un flanc criblés de shrapnel et l'autre ensanglanté s'était visiblement reçu un projectile de plein fouet, enfonçant sa cage thoracique. Vampire ou non, elle allait mourir! Non! Tourbe ne pouvait l'abandonnée! Sans se préoccupé des autres blessés Elle prit la fragile adolescente dans ses bras et fuis le champ de bataille. Elle réussit à rejoindre un groupe de survivant mené par l'Archonte. 

Toute la nuit dans leur course effrenée elle serra Vikkye entre ses pattes écailleuses, sifflant et menaçant de ses crocs quiconque semblait prétendre que laisser une telle blessée derrière serait plus simple. A chaque halte elle tentait d'aider Vikkye avec ses faibles sort de soins. Elle implorait l'hist et puisait dans ses connaissances alchimiques pour appliquer des cataplasmes. Quelques guérisseurs tentèrent bien d'aider, mais son état était trop grave. Tourbe ne voyait qu'une chose: sa belle et sauvage seigneur vampire, il lui fallait du sang. Du sang frais. Et elle allait lui en trouver.

Ganzaëlle, à l'aube.

Le bosmer était épuisé. Il avait utilisé toute sa puissance à soigner ce beau monde pour qu'il puisse traverser les terres arides de Raidlorn pendant la nuit. Il avait sombré rapidement dans le sommeil, incapable d'aider à monter le camp.

Le lendemain il est éveillé par les gémissements de blessés, un peu partout. Il lève les yeux et vois la Sénéchale accroupis dans un coin avec l'Archonte en consultant une carte, une outre d'eau à la main. Phèbe est en vie, se disait-il,  et elle va bien je vais pouvoir aider les autres.  Il avait des vertiges, il avait perdu hier beaucoup de sang avant de se soigner. Mais cela irait. Il commença à préparer sa foi, à prier se dieux et rassemblé son courage. Tremblant, il se leva pour inspecter les soldats et estimé leur blessures. Il n'était pas au meilleurs de sa forme, mais cela suffirait. Il entendit un cri de douleur et se dirigea dans cette direction en massant son torse couvert de contusion du au chute de débris. Elle se rapprocha de Ivy, Skonsky et Valriel et murmura: "Vous avez besoin d'assistance par ici?"

Lilyth a écrit:Ganzaëlle, à l'aube.

Le bosmer était épuisé. Il avait utilisé toute sa puissance à soigner ce beau monde pour qu'il puisse traverser les terres arides de Raidlorn pendant la nuit. Il avait sombré rapidement dans le sommeil, incapable d'aider à monter le camp.

Le lendemain il est éveillé par les gémissements de blessés, un peu partout. Il lève les yeux et vois la Sénéchale accroupis dans un coin avec l'Archonte en consultant une carte, une outre d'eau à la main. Phèbe est en vie, se disait-il,  et elle va bien je vais pouvoir aider les autres.  Il avait des vertiges, il avait perdu hier beaucoup de sang avant de se soigner. Mais cela irait. Il commença à préparer sa foi, à prier se dieux et rassemblé son courage. Tremblant, il se leva pour inspecter les soldats et estimé leur blessures. Il n'était pas au meilleurs de sa forme, mais cela suffirait. Il entendit un cri de douleur et se dirigea dans cette direction en massant son torse couvert de contusion du au chute de débris. Elle se rapprocha de Ivy, Skonsky et Valriel et murmura: "Vous avez besoin d'assistance par ici?"

Ivy au campement même moment 

Elle voit arriver Ganzaelle, visiblement elle n'avait pas réussi à se faire discrète. Le bosmer venait proposer son aide. 
Elle pointa du doigt skonsky avant de murmurer 

- Je crois que Sjonsky a besoin d'aide il ... il a parler puis il c'est évanoui ou endormie... je ne sais pas et moi ... Hum 

Elle montra ses jambes nues, d'un geste délicat et lent pour ne pas empirer la situation.. Elle aurait pus être gênait par sa position de faiblesse et sa semi-nudité mais il n'était pas l'heure de faire des manières.

Quand tapis dans la noir une ombre s'approcha, elle plissa les yeux pour mieux voir, 

- Tourbe ?  Çà va?

Tourbe Moirée, au même instant.

Elle fut attiré par l'odeur du sang. Avec tout ce beau monde vuen sûr elle gonflait l'air, mais ce sang la était frais et surtout son propriétaire était une camarade du Magisterium de la flamme écarlate. Tourbe-Moirée portait la vampire benjamine des Compagnons de l'Aube dans ses bras. Elle s'agenouilla près de Ivy sans même balloter son fardeau et demanda suppliante: 

"Fille du feu tourmentée par les morts, je lève la crête de deuil. J'ai besoin de ton sang... Vikkye se meurt et... tu pourrais l'aider si seulement tu lui faisais boire ton sang humain si fraîchement versé. "

Elle serrait précieusement l'autre en implorant Ivy de ses yeux. Sur son crâne ses deux crêtes symétriques s'étaient applatis et des plumes décolorés faisaitent en effet leur apparition.

Ganzaëlle au même moment.

Comment conseillé par Ivy, il commença par Skonsky inconscient. Il l'osculta rapidement le mit dans une position qui le soulagerait et changea ses vetements crasseux pour panser ses plaies puis lui appliqua un sort de soin lèger. Il devait économiser ses forces puisque Heal ne semblait pas prêt de revenir à lui, Octave était introuvable et Zahirk était à vout de force d'avoir tant lutté. Quand il fut certaine que la vie de Skonsky n'était pas en danger il rejoignit Ivy. Des gens conscients et Vigilants, ils en auraient besoin pour surveiller les autres.

Lilyth a écrit:Ganzaëlle au même moment.

Comment conseillé par Ivy, il commença par Skonsky inconscient. Il l'osculta rapidement le mit dans une position qui le soulagerait et changea ses vetements crasseux pour panser ses plaies puis lui appliqua un sort de soin lèger. Il devait économiser ses forces puisque Heal ne semblait pas prêt de revenir à lui, Octave était introuvable et Zahirk était à vout de force d'avoir tant lutté. Quand il fut certaine que la vie de Skonsky n'était pas en danger il rejoignit Ivy. Des gens conscients et Vigilants, ils en auraient besoin pour surveiller les autres.

Skonsky quelques secondes après.

Sentant de l'agitation autour de lui, il se réveille difficilement, mais ne ressent quasiment plus de douleurs au niveau de ses côtes.

Il observe les personnes qui se trouvent près de lui. Tourbe, vikkye, gonzaëlle et ivy. Peut-être y a-t-il d'autres personnes, mais sa vue reste encore trouble.

En se redressant il se rend compte que quelqu'un lui a prodigué des soins et changer ses vêlements.

Soudainement, il regarda son poignet pour vérifier qu'il porte toujours son précieux anneaux.

"Il est là tous va bien".

Il relève la tête pour observer les personnes présentent autour d’Ivy.

"Comment va-t-elle, que lui faite vous ?".

Ivy, avec Ganzaelle, Tourbe, Vikkye, Skonsky, Valriel, et Sabhela au petit jour toujour au campement

Ivy, regarda tendrement Tourbe son amie l'implorer et ça lui fend le cœur, elle regarda Vikkye ... et déposa sa main sur sa chevelure rousse.

- Vikkye ... non !

Sabhela arrive vers elles à pas feutré, en entendant sa proposition elle regarde la petite vampire, et analyse la situation ... et ses possibilités

- Sabhela, Malheureusement Vikkye n'est pas en état de mordre... - elle réfléchit et regarde sa cuisse, puis Ganzaelle qui viens de terminé avec Skonsky- Je pense que si Ganzaelle retire la flèche dans ma cuisse et qu'on la relève un peu, en plaçant Vikkye en dessous, ont peu lui procurer du sang, mais ... Je risque de perdre connaissance.

 Elle regarde Ganzaelle sérieusement, comme pour essayer de voir si cette possibilité et ses capacités sont compatible, puis elle lui adresse un sourire confiant

- Je suis sûr que Ganzaelle S'occupera bien de nous en attendant que les autres ce réveil. Enfin si vous êtes d'accord Ganzaelle ? Qu’en pensez-vous ?

Ivy, voulait aider ses amies, elles beaucoup de temps ensemble et la vue de l'argonienne désespérer et de Vikkye inanimé lui prenais les tripes, il fallait agir au plus vite.

Zéphyriel, au camp,

Il avait tenu jusqu'au camp malgré ses blessures importantes, serrant des poings et dents tous le trajet. Une fois arrivée il senti la tension tombé et s'écroula épuisé. Il se réveilla à l'aube réveiller par ses sens qui captaient la douleur des autres compagnons, il ressentait leurs douleurs, leurs détresse. Il tourna la tete et vie Silgrid endormit à ses coté. Cela le rassura, elle veillait sur lui. Amusé de la situation il déposa un baiser sur son front et rassembla son énergie pour se lever. L'effort était considérable, avec difficulté il parvint à se mettre debout et rejoignit le centre du campement. Il regarda les compagnons, ses amis, la douleur était palpable dans leurs yeux, ils étaient pour la plupart recouvert de bandages. Certains même évanouie. 

- Je suis un officier de la guilde et je n'ai pas pu les protégés... Je ne peux pas faire grand chose pour vous mais je peux au moins vous soulager.

Il commença à méditer. S'élevant un peu dans les aires, une lumières douce, s'échappa de son corps. Des sphères lumineuses se mirent à graviter autour du nordique.

"Cette technique permet de se revitaliser, de guérir et de refaire ses forces. Je vais en modifier la fluctuation pour vous aidez compagnons, je mettrais plus de temps à m'en remettre mais ce n'est rien." pensa-t-il.

La lumière commença à se diffusé. Elle soulagea une partie de la douleur des personnes présentes au camp. Zéphyriel se mit à grimacer mais garda sa sérénité, il ferma les yeux et continua de maintenir l'aura lumineuse. La douleur soulagé des compagnons n'avait pas disparue, elle était simplement aller ailleurs, quittant leur corps.

(hrp : Zéphyriel prend un partie de la douleur des compagnons sur lui et entre dans un état de transe)

Valriel, en revenant au campement

Après avoir récupéré quelques plantes - des racines de bardane, des fleurs de bleuet et de souci - il mit à bouillir un peu d'eau pure dans laquelle il déposa ce qu'il avait récolté, attendant patiemment que les effets se diluent. Cela n'avait rien d'un atelier d'alchimie, mais au moins la décoction permettrait quelque peu de soulager Ivy et Skonsky et de retarder l'infection.

Ignorant les personnes qui commençaient à se réveiller et à s'agiter autour de lui, il s'assit sur une pierre près du feu et observa la vapeur d'eau monter dans les airs, se perdant dans ses pensées.

(plantes trouvées grâce à un jet de dé réussi)

Ganzaëlle avec Sabhela, Skonsky, Ivy et Tourbe-Moirée.

En faite Ganzaëlle se retrouva soudain submergé par toue ses choses à faire, mais ils étaient tous confus, paniqué ou fatigué. Peut-être était-ce à lui de prendre un décision.

"Skonsky, ne bougez pas. J'ai fait passé la douleur mais vous n'êtes pas guérit pour autant. Restez tranquille dans cette position., je vais aider les autres. Ivy, nous devons absolument nous occupé de cette plaie." 

Il regarda ensuite Sabehla, Vikkye et Tourbe-Moirée. La vampire était vraiment mal en point, rien ne montrait qu'elle allait s'en sortir. Ganzaëlle réfléchissait à toute vitesse. Il n'avait pas vraiment été formé au sauvetage des créatures maléfiques en pleine agonie hein, alors laissez lui un moment. C'était tout nouveau ça encore! Mais si on en croyais les légendes sur comment affaiblir une telle créatures... peut-être suffisait il de faire l'inverse. L'argonienne avait raison: il lui fallait du sang frais mais pas que... Celui de Ivy serait riche en magie, c'est cela qu'il lui fallait. Il hésita. Ivy était déjà faible avant l'assaut, l'exposer ainsi été trop risqué et puis récupéré son  sang serait un calvaire. Si sabhela était volontaire... C'était la meilleurs option.

" Sabehla, ça ne sera pas agréable mais cela aiderait vraiment notre compagne que vous lui donniez du sang. Non Ivy! Ne protestez pas! Nous allons devoir nous occuper de vous et ça ne doit plus tarder. Tourbe, vous allez allongé Vikkye en calant sont torse avec vos jambes pour qu'elle soit en position semi assise. Nous allons déjà voir si elle réagit au sang, si tu pouvais simplement te piquer le doigt pour faire perler quelque goutte Sahbela, se serait parfait. Si cela semble fonctionner l'une de vous devra lui ouvrir la bouche et masser sa gorge pour forcer la déglutition."

Ganzaëlle  cherchait comment soigner Ivy sans gaspiller de magie et sans la faire souffrir. Puis il jeta un regard à Valriel, peut-être devrait il également le soigner. "Valriel? Voulez vous m'aidez avec Ivy? Avez vous besoin d'assitance?"

Lilyth a écrit:Ganzaëlle avec Sabhela, Skonsky, Ivy et Tourbe-Moirée.

En faite Ganzaëlle se retrouva soudain submergé par toue ses choses à faire, mais ils étaient tous confus, paniqué ou fatigué. Peut-être était-ce à lui de prendre un décision.

"Skonsky, ne bougez pas. J'ai fait passé la douleur mais vous n'êtes pas guérit pour autant. Restez tranquille dans cette position., je vais aider les autres. Ivy, nous devons absolument nous occupé de cette plaie." 

Il regarda ensuite Sabehla, Vikkye et Tourbe-Moirée. La vampire était vraiment mal en point, rien ne montrait qu'elle allait s'en sortir. Ganzaëlle réfléchissait à toute vitesse. Il n'avait pas vraiment été formé au sauvetage des créatures maléfiques en pleine agonie hein, alors laissez lui un moment. C'était tout nouveau ça encore! Mais si on en croyais les légendes sur comment affaiblir une telle créatures... peut-être suffisait il de faire l'inverse. L'argonienne avait raison: il lui fallait du sang frais mais pas que... Celui de Ivy serait riche en magie, c'est cela qu'il lui fallait. Il hésita. Ivy était déjà faible avant l'assaut, l'exposer ainsi été trop risqué et puis récupéré son  sang serait un calvaire. Si sabhela était volontaire... C'était la meilleurs option.

" Sabehla, ça ne sera pas agréable mais cela aiderait vraiment notre compagne que vous lui donniez du sang. Non Ivy! Ne protestez pas! Nous allons devoir nous occuper de vous et ça ne doit plus tarder. Tourbe, vous allez allongé Vikkye en calant sont torse avec vos jambes pour qu'elle soit en position semi assise. Nous allons déjà voir si elle réagit au sang, si tu pouvais simplement te piquer le doigt pour faire perler quelque goutte Sahbela, se serait parfait. Si cela semble fonctionner l'une de vous devra lui ouvrir la bouche et masser sa gorge pour forcer la déglutition."

Ganzaëlle  cherchait comment soigner Ivy sans gaspiller de magie et sans la faire souffrir. Puis il jeta un regard à Valriel, peut-être devrait il également le soigner. "Valriel? Voulez vous m'aidez avec Ivy? Avez vous besoin d'assitance?"

Ivy, en compagnie des lève-tôt, au petit matin

Elle écoutait les paroles de Ganzaelle, son aîné, mais aussi supérieur, alors elle fini par se taire ... Même si elle souhaitait aider ses amies, même si, après tous, ce sang gâcher ... 

Elle acquiesce simplement, tant que Vikkye était hors de danger toute irai bien ... Elle ne pensait même pas à ses propres blessures, elle jeta un coup d'œil a son chaton qui était toujours dans le petit coin qu'ils avaient trouvé pour se reposer salement amocher lui aussi, elle se dit que plus vite, ce serait fini, plus vite les autres blesser pourrait être soigné, et que si son état le permettait, elle pourrait aider.

- Ganzaelle ! Je suis prête ... - Elle désignât une lanière de cuir, l'acier rouge au bord des braises ainsi que des bandes de tissues qu'elle avait arraché du fond de son armure, les montrant au Borsmer - ça peux peut-être nous aider ?

Valriel, dans la matinée

Ganzaëlle a écrit:Valriel? Voulez vous m'aidez avec Ivy? Avez vous besoin d'assistance?

Il releva doucement la tête vers la voix qui l'interpellait, reconnaissant le timbre flûté de Ganzaëlle. En observant les Compagnons s'agiter autour de lui, il pouvait sentir la détresse et l'inquiétude. La jeune femme au cheveux rougeoyants qui lui avait tourné autour à la taverne semblait dans un état critique. Ivy paraissait se préparer à une opération délicate, tandis que les autres faisaient de leur mieux pour aider. Il n'était pas vraiment de ceux dont il fallait se préoccuper et se surprit même qu'on l'ait remarqué.

- De l'assistance ? Non, pas vraiment. J'ai préparé une décoction de plantes antiseptiques et calmantes. Je m'apprêtais à en distribuer à ceux qui en ont besoin. C'est plutôt moi qui devrais proposer mon aide, j'ai l'impression. Que puis-je faire pour toi, Ganzaëlle ?

Kiara, campement au lever du jours

Kiara avait passer une partie de la nuit à marcher autour du campement avec Hamir, ils surveiller les alentours, tout en discutant, ils avaient fini par tomber de fatigue s'endormant l'un à côté de l'autre, éloigné du camp .

Kiara se réveille brusquement cauchemars, horreur de cette bataille, ses membres étaient engourdie, elle sent un poid sur sont épaules, Hamir c'était endormie sur son épaule. 
Elle sourie, en le voyant et essaye de se dégager discrètement. Se lève et s'étend puis elle commence à échauffer des muscles ! Mes éraflures n'allait pas l'empêcher d'être prête à aider.

Et en exécutant ses mouvements, dit d'une voix douce ...

- Hamir, réveille toi, on va avoir besoin de nous... aujourd'hui