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Date d'inscription : 11/01/2021
Se faire poser un lapin n'est pas si mal
Mer 13 Jan - 13:55
Il me plait de vous raconter aujourd'hui une anecdote amusante. Après une énième discussion unilatérale où je tentais de convaincre Mazar de me laisser en paix, lui vint une curieuse idée. Enfin conscient que pour me conquérir il faudrait plus que des joyaux et des marivaudages, il se décida à m'inviter à un quelconque rendez-vous galant. Ne nous mentons pas, j'ai tout d'abord pensé refuser. Cependant pour une fois ca demande semblait raisonnable et par respect pour ses efforts j'acceptais. C'est dans les froides contrées nordiques que nous devions nous rencontrer dans la place forte de Bordeciel, Solitude.
Et bien sachez qu'il ne se pointa jamais. Je m'étais préparé au mieux, habillé et coiffé dans la mesure où je n'avais auparavant jamais du faire ce genre de sortie. Et ce goujat, fils de chien, execrable larve, me fit poiroter des heures sous la neige. Si je le revoyait je vous promet que je lui arrache le cœur avec les ongles avant de le bruler dans ma paume comme je le ferais avec celui d'un galopin.
Furieuse, blessé, je quittais rageusement les lieux et entrait dans la taverne la plus proche pour noyer mon malheur. Est-ce que je bus plus que de raison? Certainement! Me reste-il un quelconque souvenir de cette soirée? Absolument pas.
Quand le brouillard tomba et le froid eu finis de geler mon cœur, je décidais de rentrer à la citadelle, histoire de donner mon opinion à cet ordure sur la juste façon de traiter une femme. Enfin, ça c'était le plan car en réalité je n'atteignis jamais l'oratoire, à la place j'entrais dans un bien curieuse endroit. Enfin les lieux à proprement parler était tout à fait classique, par contre les gens! Une bande d'huluberlu au styles vestimentaires tous plus ridicules les uns que les autres et qui s'extasiaient sur de vieux pots cassés comme sur un trésors de pirates engloutis? Vous allez rire, je venais de me retrouver dans les quartiers générales d'une bande de dézingué qui cherchait des bignous oubliés pour reconstitué l'histoire. Archéologues, voilà un métier dont j'ignorais même l'existence.
Curieuse je tentais ma chance et m'initiais à cette curieuse activité. Ce fut une révélation. L'excitation de trouver une piste sur un antique reliquaire, de sonder une zone à sa recherche, de creuser et gratouiller la terre. La satisfaction de la découvert, la joie d'en apprendre d'avantage sur le passé et d'ammener sa pierre à l'édifice. Une activité pacifique, sans larmes ni douleur. Une activité lucrative, sans effusion de sang ou complot effroyable. Un vrai bonheur. Une passion!
J'en vins même à oublier Mazar et ses tourments.
C'est donc mon malheur qui fit mon plus grand bonheur. Je n'irais pas jusqu'à le remercier de m'avoir laisser en plan, j'accorderais plutôt une offrande aux dieux pour m'avoir ainsi guidée. L'autre abrutis de rougegarde? Je lui aurait presque pardonner son comportement et son irrespect. Enfin, il me restait quand même un peu de dignité! Je l'ignorerai pendant quelque temps pour faire bonne figure, ça lui apprendra tiens.
Et bien sachez qu'il ne se pointa jamais. Je m'étais préparé au mieux, habillé et coiffé dans la mesure où je n'avais auparavant jamais du faire ce genre de sortie. Et ce goujat, fils de chien, execrable larve, me fit poiroter des heures sous la neige. Si je le revoyait je vous promet que je lui arrache le cœur avec les ongles avant de le bruler dans ma paume comme je le ferais avec celui d'un galopin.
Furieuse, blessé, je quittais rageusement les lieux et entrait dans la taverne la plus proche pour noyer mon malheur. Est-ce que je bus plus que de raison? Certainement! Me reste-il un quelconque souvenir de cette soirée? Absolument pas.
Quand le brouillard tomba et le froid eu finis de geler mon cœur, je décidais de rentrer à la citadelle, histoire de donner mon opinion à cet ordure sur la juste façon de traiter une femme. Enfin, ça c'était le plan car en réalité je n'atteignis jamais l'oratoire, à la place j'entrais dans un bien curieuse endroit. Enfin les lieux à proprement parler était tout à fait classique, par contre les gens! Une bande d'huluberlu au styles vestimentaires tous plus ridicules les uns que les autres et qui s'extasiaient sur de vieux pots cassés comme sur un trésors de pirates engloutis? Vous allez rire, je venais de me retrouver dans les quartiers générales d'une bande de dézingué qui cherchait des bignous oubliés pour reconstitué l'histoire. Archéologues, voilà un métier dont j'ignorais même l'existence.
Curieuse je tentais ma chance et m'initiais à cette curieuse activité. Ce fut une révélation. L'excitation de trouver une piste sur un antique reliquaire, de sonder une zone à sa recherche, de creuser et gratouiller la terre. La satisfaction de la découvert, la joie d'en apprendre d'avantage sur le passé et d'ammener sa pierre à l'édifice. Une activité pacifique, sans larmes ni douleur. Une activité lucrative, sans effusion de sang ou complot effroyable. Un vrai bonheur. Une passion!
J'en vins même à oublier Mazar et ses tourments.
C'est donc mon malheur qui fit mon plus grand bonheur. Je n'irais pas jusqu'à le remercier de m'avoir laisser en plan, j'accorderais plutôt une offrande aux dieux pour m'avoir ainsi guidée. L'autre abrutis de rougegarde? Je lui aurait presque pardonner son comportement et son irrespect. Enfin, il me restait quand même un peu de dignité! Je l'ignorerai pendant quelque temps pour faire bonne figure, ça lui apprendra tiens.
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