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Date d'inscription : 07/01/2021

Mazar Al'Hafik Empty Mazar Al'Hafik

Lun 11 Jan - 0:08
Introduction :
Nom : Mazar Al’Hafik
Date de Naissance : 21 d'Ondepluie, 2E543 - 39 ans
Signe de Naissance : Le Mage
Race : Rougegarde
Rôle : Chevalier de la Guilde des Compagnons de l’Aube
Idéologie : Profond dégoût pour les guerres entre humains et toutes créatures et cultes liés aux Daedras qu’il combat fermement ; Voue sa vie à protéger et défendre la Justice.
Politique : Neutre, sert l’Alliance indirectement par le biais de la guilde
Spécialité Primaire : Explorateur et ennemis des Daedras
Spécialité Secondaire : Guerrier
Personnalité : Loyal - Bon
Obédience : Fervent Serviteur de Stendarr
Communauté : A juré loyauté complète envers la guilde des Compagnons de l’Aube et son Chef, le Grand Dux Ghorthul Gro-Narkhozug


_____________________________________________________________________________________



Je suis Mazar Al’Hafik, Membre et Second Officier de la guilde des Compagnons de l’Aube. Vous vous dîtes certainement que j’ai dû avoir un passé d’abondance dans les hautes sphères et une famille aisée pour me retrouver si jeune aussi haut gradé dans une prestigieuse guilde de l’Alliance de Daguefillante ? Désolé de vous décevoir, mon « glorieux » passé n’a de glorieux que le fait d’être du passé .. Voici la vérité :


17 ans plus tôt..

Une journée de plus à vagabonder sur les quais de Sentinelle, épiant les marchands et voyageurs et scrutant chaque ruelle à la recherche d’une occasion, d’une cargaison à piller ou d’un passant à détrousser.. de quoi me permettre de survivre dans cet enfer ne serait ce que quelques temps de plus sans avoir le ventre vide.. Voilà maintenant 5 ans que je vis (ou plutôt survis..) en voyou, livré à moi même, enfant pauvre, fils unique d’une famille pauvre. Attendez ?! Ai-je dit « famille » ? pfeuh .. une mère dépravée et un père soldat absent et mort au combat.. quelle famille.. !



Un Tirdas, j’entendis une conversation depuis le coin d’une ruelle, quelque chose à propos d’un évènement qui se préparait pour ce Sundas. Et en effet, durant toute la semaine, les stands et tente de marchands ne cessèrent d’arriver et d’ouvrir sur les quais et jusqu’au coeur de la ville. Des banderoles arpentes les murs et fenêtres, surplombent les rues et embellissent les luminaires.



Les marchands et leurs servants, trop occupés à mettre en place leurs étales, ne font même pas attention à moi alors que je traverse les rues emportant sur mon chemin tout ce qui peut être assez petit pour rentrer dans ma « sacoche » ou passé dans mes mains. Tout se passait bien pour moi jusqu’à ce que j’arrive devant un marchand d’antiquité : De l’or et des babioles en tout genre sur plusieurs mètres carrés.. la tentation est trop grande .. je me rapproche, timidement, je vérifie autour de moi que personne ne me remarque .. plus que quelques pas avant d’être à porté.. je m’avance encore et quand enfin j’arrivais devant la belle toison parsemée de trésor, je tendis le bras, saisis une lampe en or et me préparais à repartir lorsque :



- "AU VOLEUR !! AU VOLEUR !!" Hurla un marchand.


Submergé par la panique je me mis à détaler le plus vite possible mais je fus rapidement pris en chasse par des gardes alertés par les cris de ce fichu vendeur ! Sans ralentir je jetais un rapide coup d’oeil derrière moi, j’entraperçus deux gardes en armure de cuir et de toile me courir après a une dizaine de mètres. Je tentais de les semer dan la foule et emprunta une allé très fréquentée. Je courrai toujours sans plus me retourner mais je sentais la présence des deux hommes comme si ils étaient sur mon dos.


Au moment où je commençais presque à regretter mon acte, je fus brusquement renversé et projeté en contrebas d’une ruelle adjacente. Après un roulé boulé de quelques mètres avec mon agresseur, je relevais la tête et avant même de n’avoir pu dire un mot ce dernier me saisit la mâchoire et couvrit ma bouche pour qu’aucun son ne soit produit. « Ferme la et calme toi pauvre idiot ! Tu vas nous faire prendre ! » me dit l’individu qui se révélait être une femme. Je repris mon souffle en voyant les soldats qui se pressaient dans la direction initiale que je prenais et qui n’avait donc pas vu notre accrochage . Cette femme m’avait donc sauvé .. mais pourquoi ?



- "Espèce d’abruti !" me lança-t-elle avant de m’empoigner le col pour me relever et me réprimander. Puis elle enchaîna : "Sombre amateur ! Tu étais remarquable et visible à deux lieux à la ronde ! Tu empestes le trac !  Hors de ma vue et que je ne te retrouves plus sur mon chemin !"


Elle remonta la ruelle et entreprit d’induire les gardes sur une fausse piste. Je ne la connaissais pas mais elle m’avait sauvé ce jour là.



Jour après jour, je recroisais cette dame, la nuit faisant ses affaires, sûrement de la contrebande, et la journée furetant ou observant sous sa capuche. Je tentais de la suivre malgré son avertissement. Un jour alors que je volais , encore, je fus surpris par une voix :


- "Dis donc toi ! Ne t’avais-je pas prévenu ?!" C’était-elle, elle m’avait vu lui désobéissant.


Elle me fit un sermon sur mes choix de vie et sur la liberté, un blabla de maman qui gronde son fils parce qu’il a volé l’oeuf du voisin… quelle plaie ..


- "Ouais bien-sûr ! Aller dire ça à mes parents vu que sans eux j’aurai surement été un «meilleur garçon» !" lui rétorquais-je. 


Mais elle me dit alors une chose qui me fit réfléchir..


- "Un vrai homme ne blâme pas les autres pour sa propre faiblesse !"



Cette nuit je ne dormi pas et je regardai l’horizon du haut d’un phare, réfléchissant à ce que m’avait dit ‘’Eimat Muqnie’’ comme j’avais pris l’habitude de la nommer, elle qui restait constamment sous sa capuche et qui malgré ses airs de méchante pas nette devait cacher un cœur plein de tendresse.



Le lendemain matin, je décidais donc de monter discrètement à bord du premier bateau en direction de La Glénumbrie où se trouve le siège de l’Alliance de Daguefilante avec comme objectif de suivre les traces de mon père et devenir à mon tour un soldat pour donner un vrai sens à cette vie qui est la mienne.


Aussitôt arrivé à destination, je pris l’initiative de me renseigner au près d’un garde en belle armure avec ce qui me semblait être le « Lion de l’Alliance » en relief sur le torse et les épaulettes. Je l’interpellais pour solliciter son aide.

- M’sieur !.. Hé ! M’sieur !


Ce dernier se tourna vers moi agacé.


- Qu’est ce que tu veux, gringalet ?


- Où est ce que je vais pour devenir soldat et avoir une armure comme la votre ?!


Après un rire narquois, il se redressa et d’un ton plus calme me dit :

- "C’est par là, suis moi."


Il m’emmena dans la garnison la plus proche et me fit changer de vêtement, il faut dire que mes vêtements en lambeaux ne me donnaient pas fière allure .. Une fois changé je fus rapidement dirigé vers le camp d’entraînement de l’Alliance et équipé avec une armure lourde, trop lourde pour moi, portant l’emblème de la faction.
Pour la première fois, j’avais un sentiment d’appartenance à quelque chose, ce qui ce jour là se rapprochait le plus d’une famille..

Les jours, puis les semaines et les mois passèrent et je m’entraînais sans relâche tous les jours, j’avais enfin un "foyer" même si c’était une caserne et que je la partageais avec une douzaine d’autres soldats. Je pouvais avoir deux repas par jours ! Manger à ma faim et ne plus avoir à voler, ENFIN .. !
Les premiers jours je m’empiffrais tel un affamé sans me soucier du regard des autres, après tout, même si la cuisine n’était pas luxueuse, c’était toujours mieux que des restes ou des petits morceaux de pains…


Durant les trois années qui suivirent, je continuais mon entraînement, tant de soldat que de citoyen honorable et respectable. J’appris la discipline et l’art de l’épée, je me trouvais d’ailleurs un don pour le maniement de deux armes à une main. Très vite, on m’envoya en renfort dans des villes ou villages attaqués par nos ennemis. Je commençais à prendre ses missions pour des routines assez régulières, toutes les unes ou deux semaines nous étions amenés à aller repousser des offensives sauvages un peu partout dans les territoires de l’Alliance menées par des groupuscules sans réel meneur.


Un jour, une alerte m’interpella, il s’agissait cette fois d’une mission bien plus importante et beaucoup plus longue et risquée. Il devait y avoir une offensive en Cyrodiil contre le Domaine Aldmeri qui devait nous assurer la prise de plusieurs points stratégiques et une domination assurée sur nos ennemis, ces sous races d’elfes.
Tous savaient que c’était un enjeu très important et une énorme armée était en construction des deux côtés pour se préparer à la bataille. Les plus grands chefs de guerres et conseillers s’étaient rassemblés pour l’occasion et le bruit courrait que la personne qui mènerait l’offensive sur le champ de bataille serait un illustre stratège Orque qui avait déjà plusieurs grandes victoires et conquêtes à son actif pour le compte de l’Alliance.
Cette information était parvenue dans toutes les garnisons et aux quatre coins de nos terres, tous se portaient volontaires pour prendre part à ce combat, en quête de gloire et de combats.


Évidemment, je ne pu résister à cet appel et surtout à l’envi et à la curiosité de rencontrer un guerrier si reconnu qu’il était respecté de tous. Peu de temps après je fus assigné à un groupe d’une vingtaine de personnes et nous nous mîmes en route pour Cyrodiil, où notre futur et notre possible mort se joueraient.
Après deux semaines de voyages à cheval très calmes et même trop calmes sans aucun incident ni aucune rencontre venue interrompre notre route. C’est donc sans problème que nous parvenons à rejoindre notre base principale et dès notre arrivée nous contemplons les soldats de toute l’Alliance venus pour livrer cette bataille.


"C’est .. incroyable" pensais-je, stupéfait devant l’incommensurable élan de patriotisme (ou de besoin de reconnaissance..) que cet appel a suscité. A peine avions nous posé pieds à terre que l’on nous convia à nous rendre devant l’une des tours principales pour recevoir des instructions.
Je ne me souviens pas vraiment de quoi est ce qu’il était question mais durant tout le discours qui nous a été fait, tous présents n’étions obnubilés que par une chose :


«Où est cet Orque dont tout le monde parle depuis le début ?!»


Soudain le son d’un Cor de guerre retentit, effaçant toute l’indiscipline des troupes et instaurant un silence de cimetière parmi les soldats. Une voix hurla au rassemblement et, dans une rapidité et une organisation digne d’une fourmilière, tous se dispersèrent et en un instant les troupes étaient déjà en rang, selon les instructions reçues plus tôt.


Devant une telle discipline, je n’osais pas dire mot ou même bouger le petit doigt si l’ordre ne nous en avait pas été donné. Puis un son de cor encore plus fort et long tonna dans les airs et lança le départ des troupes qui se mirent à se déplacer comme un seul homme.

Il ne fallut que 2 jours pour traverser les terres sous le contrôle de l’Alliance et atteindre le premier bastion sous la bannière du Domaine, à ce moment, nous étions tous soit excités soit effrayés à l’approche du combat imminent mais aucun ne rebroussa chemin et telle mer silencieuse, nous attendions l’ordre de lancer l’assaut.

Quelques minutes plus tard nous vîmes les troupes d’elfes et d’hommes chats former leurs lignes de défense. La tension redescendit d’un coup et d’un côté comme de l’autre, l’atmosphère devint lourde et aucune lance ne bougeait. Puis dans le silence absolu, un bruit de bottes lourdes et de claquement d’armure vint de l’arrière des rangs, se dirigeant inlassablement d’un pas régulier vers l’avant de la ligne de front.

Sans se retourner, tous s’écartèrent sur son chemin et resserraient les rangs derrière lui. C’était «Lui», l’homme, enfin.. plutôt l’Orque, dont tout le monde parlaient. De ma positon je ne pouvais le voir mais il n’y avait pas besoin de le voir pour sentir que son arrivée avait instauré un regain de vigueur et de confiance en chacun de nous et qu’il était temps de se lancer dans le combat.



Après un bref instant, Il se tourna vers nous et dit simplement :


- ‘’N’ayez peur de la mort, attaquez sans crainte, ne battez pas en retraite.’’


Sur ces mots, il se retourna pour faire face aux ennemis et cria :


- ’’CHARGEZ !!’’



Sans plus une hésitation, je tapais du talon les flans de mon cheval pour me ruer sur mes ennemis. Je sortais mes armes et taillais de chaque côté sans même voir où et qui je frappai sur mon passage, tant que c’étaient des forces ennemis .. qui avait besoin de connaître sa ou ses victimes après tout ..? Cette bataille sembla durer des heures tant le nombre de soldats de part et d’autre était important, pourtant il ne faisait pas l’ombre d’un doute que nous étions ressortis vainqueurs. Nous récupérâmes nos blessés et nos morts puis nous nous remîmes en route en direction du prochain camp ennemi.


Peu après, les combattants du premier assaut furent regroupés et Ghorthul, toujours aussi calme, annonça :


- ‘’Vous avez pu vous reposer un peu ? Bien. Dans 5 minutes je veux tout les combattants encore capables de se battre à cheval et en rang, nous devons atteindre le prochain fort avant la fin de l’après midi.’’



Sur ces mots, même les traînards qui semblaient las de leurs derniers affrontement repartirent avec encore plus d’entrain. Moi ?! Je restais bouche béante, admirant cet Orque puissant et humble, redonner courage et vigueur à ses troupes en une simple phrase alors que celle ci aurait découragé n’importe qui venant d’une autre personne.
Je me précipitais pour rejoindre notre leader et, tout en gardant mes distances, l’observer de jusqu’à la fin du prochain combat.


5 minutes plus tard, nous étions déjà tous en ligne, prêts à débouler comme un raz de marée sur notre prochaine destination. Je me tenais en première ligne légèrement en retrait dans le dos de Ghorthul. Nous ne tardâmes pas à nous mettre en route et peu de temps après nous commencions déjà à apercevoir les bâtiments du fort ennemi.



Contrairement au précédent, celui ci était bien mieux protégé et peuplé, les guerriers étaient déjà postés, attendant notre arrivée. Il y avait même des mages de batailles qui préparaient leurs défenses et faisaient des runes magiques au sol. Les soldats ennemis attendaient armes en mains, comme des gardes devant une porte de coffre fort, attendant de pieds fermes que nous arrivions à eux. Lorsque nous fûmes à porter d’attaque, le chef Orque leva la main pour nous arrêter, sans dire un mot, puis fit signe à quelques soldats qui partir vers l’arrière puis revinrent avec du matériel.

Il s’agissait d’une machine de siège, une sorte de catapulte peut être ? Je n’en avais encore jamais vu de pareille. Il ordonna aux mages, qui nous accompagnaient passivement jusqu’à présent, de surcharger le projectile de la catapulte avec de la magie puis de plonger le terrain tout autour du fort sous un épais brouillard pour nous dissimuler.
En quelques secondes, l’horizon disparu dans un nuage gris si compacte qu’il m’était impossible de voir clairement à plus de trois mètres autour de moi. Soudain, il se chuchota quelque chose et les mages s’activèrent de plus bel, exécutant comme une sorte de rituel d’invocation.

Un mélange de bruits de râles légers et de plaques de métal qui s’entrechoquent nous entoura, se déplaçant comme le vent entre les soldats jusqu’à atteindre la première ligne.



Ghorthul fit signe d’avancer discrètement et de nous séparer pour encercler l’édifice, ce que tous exécutèrent sans attendre dans un silence absolu alors que moi, je restais toujours proche de notre leader. Lorsque ce dernier ordonna une première fois de commencer à avancer pour attaquer je ne perdis pas une seconde et entrepris de me lancer dans l’assaut mais je fus arrêté trois pas plus loin par le bras massif de l’Orque qui, d’un geste, nous ordonna de nous arrêter et d’attendre. Dans l’incompréhension mais sans discuter, plus personne ne bougea et c’est alors qu’une série d’explosion s’enchaîna à l’avant, ce qui eut pour effet de faire sortir les soldats ennemis de leur Forteresse.



Je me tenais prêt à bondir sur nos ennemis lorsque je compris.. la brume, les sortilèges des mages, la dispersion .. le grand stratège était enfin en action sous nos yeux. Nos adversaires, se pensant maintenant en position de force car sûr que notre nombre était grandement diminué dût aux multiples pièges runiques qui ont détonné, étaient dorénavant exposés et à porter. Le rideau de fumé commençant à se dissiper peu à peu soufflé par les explosions laissa place à un terrain accidenté et vide de parsemé de bouts d’armures et d’ossements brisés. C’est à ce moment que le Cor donnant le départ de l’assaut gronda et qu’une salve de flèches, de projectiles et de sorts s’abattit sur nos ennemis, surpris et sans défenses. Ce qu’ils prirent pour nos soldats n’étaient en réalité que des cadavres invoqués par nos mages et qui servirent de leurres pour contrer les pièges et les attirer sans risquer la vie de nos guerriers. Je vis un sourire de satisfaction se dessiner sur le visage de l’Orsimer qui nous dirigeait alors qu’il dégainait son Imposante Masse d’arme à deux mains ..
Je fis de même et commença enfin à me jeter dans la bataille. Nos ennemis, acculés et toujours désorientés, ne furent pas difficiles à vaincre.


Ghorthul avait tout prévu, son génie au combat nous permit de remporter la victoire presque sans effort. Et c’est après avoir vu le stratège à l’œuvre et terminé cette prise de Fort que je décidais de demander à l’Orque de me permettre de le suivre dans tous ses combats et d’apprendre à ses côtés. D'abord pensif, puis après une courte réflexion, ce dernier se tourna vers moi, accepta et me dit :


"Tu sais te battre, mais tu vas maintenant apprendre à vaincre ton adversaire avant de combattre."


Voici donc comment, depuis près de 10 ans maintenant, je fais route avec notre Dux et si je suis à cette place, c’est car depuis le début j’ai été à ses côtés, prouvant ma valeur, tant en combat qu’en apportant soutiens et conseils (faut pas se leurrer, c’est surtout lui qui m’a conseillé…). Il m’a offert ce qui se rapproche le plus d’une famille, d’un frère et surtout d’un Ami.


Je suis Mazar Al’Hafik, et je suis fier de pouvoir clamer haut et fort être membre des Compagnons de l’Aube.
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