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Rapport de mission
Mer 13 Jan - 12:58
RAPPORT DE MISSION: @L'Artefact du Vieux Mage
Je fus bien plus bouleversée que je ne l'imaginais par le meurtre que j'avais perpétué au nom de la vengeance. La honte d'avoir agit dans le dos de mes compagnons me paralysa et je gardais pendant des semaines mes distances. Déchirée entre la satisfaction et la colère, j'errais fiévreusement dans la Citadelle de l'Aube en ressassant le passé. Je rêvais chaque nuit des mes heures les plus sombres. Éventuellement, au bout de plusieurs mois je surmontais mes peurs.
Pour reprendre doucement mes marques, je décidais d'aider le mage qui depuis quelque temps allait et venait dans notre guilde.
Je ne comprenais certes pas grand choses à tous ce qu'il baragouinait à longueur de journée. Je me contentais de ramasser les bouquins qui semblaient pouvoir compléter la collection de notre Archonte, apparemment il en conclut que j'étais une grande érudite à son égal. Il ne me lâcha plus... Si seulement il savait! Un enfant de dix ans aurait eu plus de faciliter à lire que moi! Je ne saurais même situer Havre-tempête sur une carte.
Cependant lorsqu'il se languit d'un mystérieux artefact pour se défendre, je bondis sur l'occasion. Ça, ça me parlait! Et ainsi il fut décidé que je me rendrai en Vardenfell pour trouver le précieux sésame qui assurerait sa tranquillité. Et la mienne!
Cher Dux, il me fut bien plus difficile de ne pas égorger Neramo que de le trouver. Malgré d'évidentes bonnes intentions, sa personnalité le rend antipathique au possible. Un peu trop... Dunmer à mon goût, je suppose.
Il avait belle et bien des pistes solides sur l'emplacement de l'artefact.
Il se trouvait dans les profondeurs de la terre.
Dans une antre Dwemer envahis de leur dangereuses créations.
Dans un lac de lave garder par de terrifiantes sentinelles.
Vous trouvez ça casse-pied? Attendez la suite.
Pris dans des rivalités digne d'une cours de récréation, Neramo s'était fait voler l'objet qui aurait pu me permettre de facilement récupérer l'artefact!
Ce rapport de mission n'en finirais pas si je devez vous expliquer comment j'ai crapahuté en tout sens dans Nchuleftingth pour rassembler quelques brebis égarées. Je ne parlerais pas de comment, abandonnée par l'équipe qui m'accompagnait, j'étais péniblement venu à bout des monstres de chaire, de métal ou de magie. Peut-être devrais-je faire une mention spéciale pour les mercenaires à la botte du rival de Nemaro qui m'offrir un certain répit dans cet enfer, mais la lassitude m’en empêche.
Je vous épargnerais la laborieuse progression en ses lieux étrangers où aucun couloir ne ressemble plus à un autre si ce n’est le précédant. J'avoue m'être laisser peut-être distraire une ou deux fois par les fascinants mécanismes qui couraient dans les murs. Cela s'avéra finalement bienvenue quand je due résoudre quelque obscures énigmes pour devancer les racailles de bac à sable. Ma curiosité avait payée, je devinais comment éviter les pièges et activer les mécanismes.
Enfin, je récupérais la relique: un bâton de foudre à la puissance impressionnante. Par peur d’attirer la colère d’une divinité ou d’un quelconque ectoplasme, je décidais prudemment de ne rien prendre avec moi. En faite je ne touchais à rien contrairement au entreprenants assistants de Neramo, qui sait quel piège les Dwemers avait pu imaginer pour protéger leurs biens?
Estimé maître de guilde, vous serez ravie de savoir que j’ai pu remettre en bonne et du forme à Hérédote l’artefact. Il était enchanté et me remercia abondamment. Je crois savoir qu’il compte se mettre à l’étudier au plus vite et qu’il nous quittera bientôt. Finalement, il me manquera peut-être.
Je conclurais avec une demande, si notre Grand Dux le permet: peu importe à quel point cette aventure fut enrichissante, par pitié ne m’envoyez plus chaperonner des mages tête-en-l’air comme Neramo. Si vous pouviez éviter, par ailleurs, les endroits pullulant de ses maudits elfes à la peau crasseuse, je vous en serais éternellement reconnaissante.
Sincèrement,
Votre dévouée compagne de l’Aube,
Phèbe.
Je fus bien plus bouleversée que je ne l'imaginais par le meurtre que j'avais perpétué au nom de la vengeance. La honte d'avoir agit dans le dos de mes compagnons me paralysa et je gardais pendant des semaines mes distances. Déchirée entre la satisfaction et la colère, j'errais fiévreusement dans la Citadelle de l'Aube en ressassant le passé. Je rêvais chaque nuit des mes heures les plus sombres. Éventuellement, au bout de plusieurs mois je surmontais mes peurs.
Pour reprendre doucement mes marques, je décidais d'aider le mage qui depuis quelque temps allait et venait dans notre guilde.
Je ne comprenais certes pas grand choses à tous ce qu'il baragouinait à longueur de journée. Je me contentais de ramasser les bouquins qui semblaient pouvoir compléter la collection de notre Archonte, apparemment il en conclut que j'étais une grande érudite à son égal. Il ne me lâcha plus... Si seulement il savait! Un enfant de dix ans aurait eu plus de faciliter à lire que moi! Je ne saurais même situer Havre-tempête sur une carte.
Cependant lorsqu'il se languit d'un mystérieux artefact pour se défendre, je bondis sur l'occasion. Ça, ça me parlait! Et ainsi il fut décidé que je me rendrai en Vardenfell pour trouver le précieux sésame qui assurerait sa tranquillité. Et la mienne!
Cher Dux, il me fut bien plus difficile de ne pas égorger Neramo que de le trouver. Malgré d'évidentes bonnes intentions, sa personnalité le rend antipathique au possible. Un peu trop... Dunmer à mon goût, je suppose.
Il avait belle et bien des pistes solides sur l'emplacement de l'artefact.
Il se trouvait dans les profondeurs de la terre.
Dans une antre Dwemer envahis de leur dangereuses créations.
Dans un lac de lave garder par de terrifiantes sentinelles.
Vous trouvez ça casse-pied? Attendez la suite.
Pris dans des rivalités digne d'une cours de récréation, Neramo s'était fait voler l'objet qui aurait pu me permettre de facilement récupérer l'artefact!
Ce rapport de mission n'en finirais pas si je devez vous expliquer comment j'ai crapahuté en tout sens dans Nchuleftingth pour rassembler quelques brebis égarées. Je ne parlerais pas de comment, abandonnée par l'équipe qui m'accompagnait, j'étais péniblement venu à bout des monstres de chaire, de métal ou de magie. Peut-être devrais-je faire une mention spéciale pour les mercenaires à la botte du rival de Nemaro qui m'offrir un certain répit dans cet enfer, mais la lassitude m’en empêche.
Je vous épargnerais la laborieuse progression en ses lieux étrangers où aucun couloir ne ressemble plus à un autre si ce n’est le précédant. J'avoue m'être laisser peut-être distraire une ou deux fois par les fascinants mécanismes qui couraient dans les murs. Cela s'avéra finalement bienvenue quand je due résoudre quelque obscures énigmes pour devancer les racailles de bac à sable. Ma curiosité avait payée, je devinais comment éviter les pièges et activer les mécanismes.
Enfin, je récupérais la relique: un bâton de foudre à la puissance impressionnante. Par peur d’attirer la colère d’une divinité ou d’un quelconque ectoplasme, je décidais prudemment de ne rien prendre avec moi. En faite je ne touchais à rien contrairement au entreprenants assistants de Neramo, qui sait quel piège les Dwemers avait pu imaginer pour protéger leurs biens?
Estimé maître de guilde, vous serez ravie de savoir que j’ai pu remettre en bonne et du forme à Hérédote l’artefact. Il était enchanté et me remercia abondamment. Je crois savoir qu’il compte se mettre à l’étudier au plus vite et qu’il nous quittera bientôt. Finalement, il me manquera peut-être.
Je conclurais avec une demande, si notre Grand Dux le permet: peu importe à quel point cette aventure fut enrichissante, par pitié ne m’envoyez plus chaperonner des mages tête-en-l’air comme Neramo. Si vous pouviez éviter, par ailleurs, les endroits pullulant de ses maudits elfes à la peau crasseuse, je vous en serais éternellement reconnaissante.
Sincèrement,
Votre dévouée compagne de l’Aube,
Phèbe.
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