Pèlerinage en Alik'r

Les Disciple ayant bravés les Épreuves du Temple peuvent cependant poursuivre leur formation initiale dans la Guilde de L'Aube à travers un Pèlerinage en Alik'r où le Pèlerin devra traverser tout le désert, et ce à pied, sans armes, à travers de magnifiques édifices abandonnés et vestiges des temps perdus.
Mettant le mental à rude épreuve, cette épreuve symbolique se voit être l'accomplissement de volonté de la guilde.
Le membre recevra comme titre d'honneur Pèlerin d'Alik'r  qui sera célébré comme il se doit, et recevra une Distinction .

**ACTIVITÉ SOLO**

Après mes combats à la cité impériale avec mes compagnons de l'Aube, je me trouvais étrangement enivré par le besoin de démontrer mon engagement. Je souhaitais prouver ma valeur coûte que coûte. Cependant la peur me tétanisait à l'idée de mourir au champs d'honneur. La possibilité de faufiler en Oblivion pour occire d'abjects créatures impies ne manquait pas de charme, pourtant une fois encore la vision de mon corps sans vie profané par mes ennemis me retint. Je décidais cependant d'effectuer comme nombre de mes camarades un pèlerinage dans le désert d'Alik'r. C'est sans arme mais la tête haute que j'éprouverai ma vertu!



Pourquoi fusse-t-il que ce fut le bateau? N'aurais-je pas pu galoper à travers les contrées pour m'y rendre dans ce foutu dessert? Ou alors prendre une calèche, un bourriquet, même un guar, qu'importe! Et la guilde des mages, n'aurait-elle pas pu m'accorder une petite faveur en me permettant de m'y téléporter? Non, bien entendu, il fallait que se soit en bateau! Et me voilà sur la mer, pendant des semaines, à fixer l'horizon imbécile dont l'infini n'a d'égale que la profondeur des flots. Je ne fais que mentionné l'odeur d'iode qui vous altère les sinus à jamais car je m'attarderai plutôt sur une autrement plus désagréable sensation. Je parle de cette impression de macération qui ne vous quitte pas à cause des embruns et de la sueur. Je ne l'ai peut-être pas exprimer assez clairement? Je hais les bateaux!



Ce fut dans les premiers temps de mon périple que je réalisais ma naïveté. Aveuglé par mes envies de grandeur, j'avais ignoré le péril que représentait cette traversée du désert. Seule et désarmée, je n'en menais pas large. Je n’avait pas même une monture pour compagnie Je n'étais plus dans même jeunes années, je souffrais de la chaleur et de la soif. Devant cette dépouille inconnue au pied d’un mémorial oublié, je comprenais enfin mon arrogance. La petitesse de mon existence me frappait. Je me félicitais cependant de m’être renseigné sur la région: plantes vénéneuses, insectes mortels et pièges sableux ne me faisait pas peur.



Alors que je cherchais la fraîcheur d’une grotte pour reposer mes jambes endoloris et soigner ma peau que le soleil avait couvert de cloques, un scorpion au proportions cauchemardesques surgit. Je l’affronter vaillamment avec mes poings. J’avais de quoi me motiver: bien cuisiné il me composerait un parfait repas.



Pour la première fois, une once de respect s'allumant en moi en pensant à ceux qui avait élu domicile ici. Je pensais également à ce qui, tout comme moi, avaient fais ce pèlerinage. La pensée que leurs pas guidaient les miens me fut d'un surprenant réconfort.Dans la sérénité du soir, je reste anxieuse. Le silence m'incommode et je craints qu'on ne tente de me surprendre si je baisse ma garde. Le sommeil me fuis et les fantômes de mon passé me guette. Je repense au foyer que j'ai abandonné et a ma vie passée. C'est aux étoiles que je me confie tandis que le froid glaçant du désert descend sur moi.



Oh whoua du sable. serait-ce de la poussières? Mais non, c’est du sable bien évidemment!  Et là? Plus de sable! Nan, nan attendez j'ai vu autre chose.... Des cailloux! Parfait ça des cailloux! Oooooh il y a aussi des vieux arbres rabougris et même des buissons ratatinés pour eux qui veulent. Et du sable. Des hectolitres de sable. Des tonnes de sables. Je me demande ce que demain me réserve.... j’espère vraiment avoir l’occasion de voire quelques dunes, ça manque par ici.
Quoi? Irritable, moi? Je ne suis pas irritable! De mauvaise fois, aigris? Jamais.



Je tombe pendant un détour sur la plus gigantesque épée qu’il m’est jamais été donné de contempler. J’ignore ce qu’elle représente mais je décide de rendre hommage ici à tous ceux qui chaque jour combattent et meurent pour faire régner à nouveau la loi et la paix en Tamriel. Un jour, frères et sœurs, je verserai moi aussi mon sang.



L'un de mes cousins affirmait souvent que les Rougegardes ressemblaient au Argoniens en cela qu'ils seraient une variété toute à fait particulière de primates plutôt que de réptile . Aujourd'hui entouré de ses individus indélicats et massif, cette théorie folle me revient. Mais je m'abstiendrai bien de l'exposer ici, personne n'aime se faire traiter de macaque! Imaginez un peu être rabaissé au statu de descendant de singe. Et oui, ça ne vous plairez pas non plus.



Pas mal la vue hein? Je dirais même incomparable! La course du soleil impitoyable à modeler ces paysages avec rigueur leur offrant un caractère cru, dur et intense. En d'autres circonstances, je me serais probablement émerveillé de ses terres inhospitalières. 
Mais pas là. 
Là, je suis perdue. 
Encore.
Et sans la moindre idée de où je suis ni où je me rend, je ne vais pas faire long feu. La détresse me rend aveugle à tout enthousiaste candide. Je dois trouver de l'aide, vite. Il est peut-être temps pour une petite prière?



Enfin! Je trouve une oasis dans cet enfer! Cependant je ne suis pas la seule à convoiter eau et ombrage. Je tente pendant un temps de résister au assaut d’un serpent mais bientôt d’autres rappliquent. Combat inégal et perdu d’avance. Je ne doute pas un instant qu’ils puissent me gober en une bouchée. Je ravale ma fierté et fuis.



Marre des scorpions dans mes sandales. Marre de la peau qui pèle et des lèvres gercées. Marre des regards inquisiteurs des autochtones. Marre des vielles ruines sans intérêt. Marre de oasis coupe-gorge. Marre du sable jusqu'à dans ma culotte. Marre du soleil de plomb. Marre du sifflement du vent et de la griffure du sable. C'est décidé je n'aime pas le désert. Je veux rentrée chez moi.



Bon finalement, je n'ai pas fais demi-tour. Sur le point de tout abandonner, je me suis souvenu de pourquoi je faisais cela. Je ne voulais pas seulement prouver autres ce dont j'étais capable. Je voulais me confronter à moi même, réaffirmer mes choix de vie. Alors une petite voix en moi crie: "Résistes! Prouves que tu existes!". 
Si j'arrivais au bout, j'en étais sûre, ce serait un signe que j'avais fais la bonne chose. Ce serait un signe que je pouvais aspirer à une vie honorable. 
Sur la route, cet lion monumental me rappelle les terres lointaines où mes ancêtres virent le jour : Je le dédie à tous ceux né sous la bannière rouge orné de deux lions d’or.



Dans me pérégrinations, je tombe sur des adorateurs de Molag Bal qui s’amusent à ouvrir des portail sur Oblivion. Ils ont été bercé trop prêt du mur, c’est pas possible? J’ai ainsi l’occasion d’occire quelque deadras et infidèles, rien de mieux pour se remonter le moral et repartir du bon pied.



Témoins de mes actes, des nomades m’invitent à un banquet. J’ai enfin l’occasion de me reposer en de bonnes conditions et de goûter à la cuisine locale. Plusieurs autochtones pensent pouvoir ajouter une conquête exotique à leur tableau de chasse. Et bien ils se fourrent le doigt dans l’œil. Posez un regard de plus sur moi et tirez un croix sur votre descendance.



Quand je vois s’élever au loin les mats annonçant le port, je sais que mon pèlerinage touche à sa fin. Ce fut long et douloureux et pourtant je suis satisfaite. J’ai hâte cependant d’enfiler à nouveau mon armure et mon bâton pour évincer quelque brigand. Je ne peux retenir mon émotion en comprenant qu’enfin j’abandonnais les terres stériles du désert pour prendre la mer. La mer.... Horreur, j’avais oublié ce détail J’en viens presque à regretter les insolations et les sables mouvants. Presque.

Mes frères, mes sœurs, mes compagnons... Tous m'avait conté leur périple voyage dans le Désert d'Alik'r. Mais qu'en était-il vraiment, qu'avait-il découvert... Je me posais tant de questions. C'est donc avec l'esprit envahi de curiosité que j'ai décidé de m'y rendre pour me faire ma propre opinion... Mon voyage commença par une longue traversée en bateau mais étant du nord, la mer est ma deuxième maison... A mon arrivé, je ne pu que constater une écrasante chaleur et un paysage aride et dépourvu de végétation... Qu'importe, je devais découvrir les mystère de ce désert...



Avançant péniblement dans cette terre bizarre et très fine, je me suis rendu à "Salas En"... A mon arrivé, je ne peux que constater de grands édifice en ruine mais surtout des gardes du Domaine d'Aldméri... Arfff, ils étaient beaucoup trop nombreux pour tenter quoi que ce soit. Je reviendrais avec mes frères "nettoyer" ce paysage...



Je ne m'attarde donc pas ici et continue mon voyage. Tout à coup j'aperçois un point d'eau! Je vais pouvoir en profiter pour me laver et surtout me rafraichir... Je n'en reviens pas de cette chaleur...





Après mettre bien rafraichi, je repars en direction de "Bergame". Sur la route un petit campement m'interpelle... A quoi pourrais bien servir ces cages!? Surement pour enfermer des être inférieur, un viking ne rentrerais jamais dans une si petite cage... En revanche je pourrais bien y mettre une dizaine de ces gardes d'Aldmeri "ha ha ha"... Mon dégout pour les autres alliances ne pouvait me quitter.






Me voici maintenant arrivé à "Bergame". L'architecture ce cette ville était plutôt réussi je dois dire. J'ai pris de la hauteur pour pouvoir contempler tout ça...





C'est à lors qu'au loin j'aperçois une lumière qui m'intrigue... Les dieux me font des signes j'en suis persuadé... Je décide donc d'aller voir de plus près et je découvre une petite pierre qui dégage une force que je ne peux que ressentir... En m'approchant un peu plus, cette force se dirige vers moi et m'en imprègne totalement... Qu'est ce que cela pouvais être... Je le découvrirai surement par la suite...





En repartant je décide de m'arrêter au "Trône de Tu'whacca"... Encore des ruines... Ce décor est si triste...






Mais que vois-je!!!??? Une ancre daedrique venait d'apparaitre... Vite à l'assaut!!! Le temps de m'y rendre, des camardes de l'Alliance c'était chargé de la détruire. Heureusement que d'autres combattants protègent ces terres de toutes les menaces... Je repris donc mon chemin vers "La Lame de Léki".






Par tous les dieux!! Je n'ai jamais vu une si grande épée... Thor lui-même serait impressionné! Quel type de guerrier pouvais se servir d'une telle arme? C'est sans aucun doute que seul un dieux aurait pu la manier... Je décide de descendre dans le village voisin est là... Je tombe sur une étrange bête...






Mais qu'est-ce que cela puisse t-il bien être? Quel étrange animal! Dans le Nord je n'ai jamais vu une telle créature... Et quel tête bizarre!! On dirait un khajiit dont j'aurais écrasé la tête avec mon bouclier "ha ha ha"...




Je ne m'attarde pas plus sur cet animal et me rend à "Konzanset"... Enfin autre chose que des ruines... J'y croise quelques braves gens qui me propose un bout de pain et un peu d'eau que je ne refuse pas... Je pense n'être plus très loin de l'arrivé de mon pèlerinage. Fatigué par cette chaleur je ne m'attarde donc pas...





"Satakalaam"! Une très grande ville mais envahi de gardes impériaux... Je ne devrais pas rester trop longtemps ici, je risquerai d'être obligé de rejoindre le "Valhalla" plus tôt que prévu. Ca ne me déplairai pas mais je pense avoir encore des choses à accomplir avant de partager un bon festin avec "Odin" et les autres...





je suis exténué... Ce soleil est tellement puissant, je suis à bout de souffle! Ou sont mes drakar, mon hydromels, ma mer... mes femmes!! Je puise dans les dernières ressources qu'il me reste pour continuer d'avancer






"La Bénédiction de Tava"! Ca y est mon voyage touche à sa fin! Quel joie de revoir des bateaux! Et que dire de la mer...! Ce voyage m'a apporté beaucoup de chose et ma fait découvrir un paysage époustouflant mais très aride. Il fait vraiment meilleur chez moi!




Il est temps pour moi de revêtir mon armure et mes armes et surtout mon tabard au quel je suis tant attaché... Mes frères, mes sœurs, mes compagnons, je reviens vers vous, votre amitié me manque tellement... "En route, cap vers Haltevoie..." (THE END)

Tandis que je contemplais les eaux pures de la Brèche, non loin de ma maison à la Porte de l’Automne, je réalisais soudain à quel point j’étais lassée. Lassée de toutes ces aventures héroïques, du temps frais du Nord, des innombrables chevauchées à travers Tamriel sans même prendre le temps de contempler le magnifique paysage qui se trouvait devant moi. Cela faisait  bien trop longtemps que je me privais des plaisirs simples de la vie, il était donc grand temps de prendre des vacances ! De préférence au chaud. Dans un endroit qui ne me serait jamais venu à l’idée de visiter. C’est alors que j’eus le déclic. Alik’r ! Bien sûr, quelle drôle d’idée que de visiter la terre des Rougegardes, ces créatures étranges…




Ni une ni deux, je retourne à grand pas jusqu’à ma demeure pour empaqueter un goûter (de la viande séchée et un bon cru de Surilie) et je menais déjà ma monture jusqu’au port le plus proche, accompagnée de Pattoune, mon loup.




L’aventure s’offrait à nous ! Mais avec plus de détente. Cette fois-ci - me jurais-je - ce serait un moment rien qu’à moi. Adieu ciel gris et froid de Bordeciel !




Et bonjour temps radieux et sucré des quais de Sentinelle ! À vrai dire, l’odeur sur les quais était plutôt âcre… Il flottait dans l’air une odeur de poisson mélangée à celle de vomi et d’épices. Il semblerait qu’il y ait eu une sacrée grosse fête hier soir ! Mon seul regret fut de ne pas avoir pu y participer… Je fus accueillie par une gerbe de régurgitation et dû calmer quelque peu la population locale à l’air douteux. Vu leur teint, ce devait être une sacrée fête !

En avançant, je rencontre le cadavre d’un Rougegarde qui me rappelle, mon ami et ennemi de toujours, Mazar… Ça me fait rire.




Je profite donc de l’occasion pour collecter mon premier souvenir avec la population locale !




À peine entrée dans la ville, je découvre qu’on y fait brûler des véhicules… La racaille ne changera décidément jamais.




Je fais la rencontre d’étranges créatures bossues. J’ai l’impression qu’elles se moquent de moi…

J’apprends de nouvelles coutumes locales étranges entre un homme, un dénommé Mirzad, et sa chèvre…




Après avoir marché une bonne heure dans le désert, j’aperçois une source d’eau stagnante ! Idéal pour un bain en toute décontraction. Je saisis l’occasion et complète ma collection de mycoses plantaires.



Après ce petit interlude des plus bienvenus, j’aperçois un bivouac. Je me réjouis à l’idée de faire une pause bien méritée ! Ce voyage n’est pas de tout repos et mes pieds délicats n’ont pas l’habitude de fouler le sol pendant si longtemps.




Malheureusement, toutes les bonnes places étaient déjà prises et ces Rougegardes soit disant « blessés » ne sont pas très partageurs…




Je décide donc de rentabiliser ce détour en achetant un tapis, mais l’autochtone me dit que c’est sa tente et qu’elle ne peut pas me le vendre. Je repars, déçue.

Je continue mon périple en allant visiter les ruines de Salas En, mais les archéologues - des altmers grincheux - ne veulent pas me laisser voir ce  magnifique site historique Ayléide. Je décide de braver le danger.





Toutes ces morts valaient le coup ! Pas vrai, Pattoune ?





Petite pause dans le sable. Où donc est la prochaine taverne ?






Je décide de faire connaissance avec les locaux, mais mon nouvel ami ne se prête pas trop au jeu…
Heureusement, il m’apprend que la prochaine ville n’est plus très loin.






Me voilà enfin arrivée à la ville très pittoresque de Bergame. Un endroit proprement charmant ! Je décide d’essayer quelques instruments dans une petite boutique des plus typiques ! J’en profite pour ramener quelques souvenirs.



Je suis sidérée de voir que la population locale est si pauvre. Je profite de l’occasion pour montrer à un mendiant à quoi ressemble une vraie pièce d’or. Ma générosité est sans borne !



Après un détour par la majestueuse salle du Jugement, je me rends enfin à la taverne. J’en profite pour me faire une petit en-cas.





Après avoir descendu quelques pintes, je pars m’amuser sur la piste avec mes nouvelles amies !

« Un autre verre tavernier ! »




Petite « pause » près de l’entrée avant de repartir.




Je continue ma route jusqu’à un lieu nommé la Lame de Léki. J’y trouve un petit bassin dans lequel je rafraîchis mes pieds échauffés par toute cette marche. L’occasion de siroter un petit Daïquiri. Dur d’expliquer à ces nomades de quoi il s’agissait, la notion de cocktails et même de vacances leur semblaient étrangers. Je profitais de cet instant délicieux dans la chaleur des rayons du soleil.



Je décide finalement, de visiter le fameux monument de la lame de Léki, mais bon sang, combien de marches ont-ils mis ?! Où est donc le porteur ? Ce voyage est plus fatiguant que je ne le croyais.



Heureusement, la récompense fut à la hauteur de mes efforts. Devinez ce qui m’attendait là-bas ? Un groupe entier de locaux entièrement dévoués à ma personne. Ils semblaient boire mes paroles !  Je leur offris donc l’honneur d’un cours magistral sur la magie et mes exploits. Ils étaient fascinés ! Quelle abnégation, c’était admirable !




Je me suis perdue ! Les chacals et autres créatures de l’Oblivion me poursuivent ! AAAAAH !



J’arrive enfin dans une autre petite ville, Konzanset, celle-ci un peu miteuse, je me précipite vers la taverne, bien décidée à m’amuser encore un peu, mais je me rends compte avec déception que la fête est déjà finie. « Il fallait venir hier soir » qu’ils ont dit, « on a mis le feu à cette fête comme des atronachs ! » Pfff… ils auraient pu m’attendre. Vu l’état de la pièce, ça avait l’air bien.

Je profite de mon passage dans la ville pour faire un stage « Mendiante ». Mon maître d’apprentissage n’était pas très coopératif, elle a voulu que je partage mes gains en plus…




Heureusement, forte de cette première expérience dans le monde du travail en Alik’r, j’ai expérimenté le métier de racketteur, celui-ci est bien plus lucratif et assez amusant.






Le soleil commençait très sérieusement à décliner, il était temps de songer au dîner. Je chasse ma première proie ! N.B. : le goût était… particulier. J’aurais peut-être du le cuire ?



Petit instant contemplatif au lieu mystique des Larmes des Déshonorés.




« Hé, tu as un truc dans le nez ! »




La nuit est presque arrivée et je meurs de soif… Heureusement, je tombe sur un fêtard qui m’a laissé de quoi me sustenter. C’est de l’eau, mais bon… ça fera l’affaire.



J’arrive à un campement militaire. Le capitaine, un orc, est très accueillant et nous échangeons de bonne tranches de rire (et de lard) sous sa tente !



Mais je dois repartir, mon voyage n’est pas terminé ! La température a baissé drastiquement et j’ai si froid désormais… Il me tarde d’arriver.






Mais je dois repartir, mon voyage n’est pas terminé ! La température a baissé drastiquement et j’ai si froid désormais… Il me tarde d’arriver.




J’arrive enfin à la Bénédiction de Tava. Et moi qui croyait prendre une chambre confortable à l’auberge, j’ai été bien déçue ! Un groupe de touristes se faisant appeler la Main de la Gloire avait déjà réservé toute les chambres de la ville et ils n’avaient pas l’air heureux que je vienne gâcher leur petit village-vacances. J’ai dû me débarrasser d’eux pour me faire une petite place au calme.

Ce voyage est enfin fini ! Ce ne fut pas de tout repos, mais qu’il était bon de découvrir une culture si originale et atypique ! 10/10.